• Réfléchissez à ce qui doit être perdu. Y a-t-il quelque chose à perdre ? Ce qui importe vraiment, c’est seulement ce qui est naturel. Car c’est ce qui est éternel et ne peut faire l’objet d’une expérience. Ce qui ne doit pas mourir. Ce qui est acquis doit être perdu. Etes-vous né ? Vous êtes depuis toujours. Le Soi ne peut jamais être perdu.

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  • Fixer son esprit dans le Soi de telle sorte que les graines imaginaires de l’illusion périssent, c’est cela l’investigation. Quiconque médite sur le Soi sous une forme mentale objective, n’atteint que cette image objective. Ceux qui sont paisibles et restent tranquilles, sans image mentale, atteignent l’état sans limite, l’état sans forme du Soi. L’espace sans pensée, c’est le Soi. L’esprit dans toute sa pureté, c’est le Soi.

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  •  Le Soi est l’unique réalité d’où l’ego apparaît et court à travers des pensées qui se manifestent comme l’Univers dans lequel des mères et des pères, des amis et des parents apparaissent et disparaissent. Ils ne sont rien d’autre que des manifestations du Soi, si bine que les parents ne se trouvent pas à l’extérieur du Soi. Il n’y a donc aucune raison de pleurer leur mort.

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  • Quand un homme réalise le Soi, que voit-il ? Il n’y a pas de vision. La vision est simplement l’être. L’état de réalisation n’est pas l’attente de quelque chose de nouveau ou d’un but lointain, mais seulement d’être ce que vous ne cessez d’être, et ce que vous avez toujours été. Tout ce qu’il vous faut, c’est de cesser de réaliser comme vrai ce qui ne l’est pas. Nous regardons tous comme réel ce qui ne l’est pas. Nous n’avons qu’à perdre cette habitude. Nous réaliserons alors le Soi en tant que Soi ; en d’autres mots, « soyez le Soi ». A un certain moment, vous vous moquerez de vous-même en vous voyant chercher à découvrir le Soi qui est tellement évident.

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  • En France, le Pari Communiste Français n’avait pas de pensée-guide. Ses chefs, dont Maurice Thorez et Jacques Duclos, «étaient à la tête d’une ligne opportuniste de droite. Si le Parti Communiste Français a mené, en tête des forces sociales françaises, la guerre contre la bourgeoisie fasciste, représentée par le maréchal Pétain et Pierre Laval, il n’a pas prôné l’autonomie prolétarienne, mais s’est mis à la remorque de la bourgeoisie « républicaine », représentée par de Gaulle. En cela, il a manqué de confiance dans le peuple, et il a fait servir au prolétariat le rôle de force d’appoint d’une fraction bourgeoise, contre une autre fraction bourgeoise. Le vainqueur de la contradiction entre bourgeoisie et prolétariat, c’est en fin de compte de Gaulle. Ainsi, la bourgeoisie a pu réinstaurer une république bourgeoise ; les deux fractions de la bourgeoisie se sont ensuite réconciliées pour mener la lutte au sein du camp impérialiste contre le camp socialiste.

     

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