• L’application du marxisme-léninisme aux conditions spécifiques de la France ne peut et ne doit être transposée dogmatiquement à partir d’aucune autre expérience révolutionnaire concrète. Cette vérité ne signifie nullement que les expériences historiques du mouvement ouvrier international ne comportent pas différents enseignements et principes de portée universelle. La Commune de Paris, la Révolution d’Octobre 1917, la Révolution chinoise de 1949, la grande Révolution culturelle prolétarienne de Chine et d’autres révolutions ont enrichi la connaissance du prolétariat révolutionnaire sur les plans théoriques, stratégiques, tactiques, politiques et organisationnels.

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  • « L’abolition du pouvoir d’Etat est l’objectif que se sont assignés tous les socialistes, Marx en tête. Tant que cet objectif n’est pas atteint, la démocratie véritable, c’est-à-dire la liberté et l’égalité, est irréalisable. Or, seule la démocratie soviétique ou prolétarienne conduit pratiquement à ce but car, en associant les organisations des masses laborieuses, constamment et nécessairement, à la gestion de l’Etat, elle commence sur le champ à préparer le dépérissement complet de tout Etat. » (253)

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  • Le rôle du contrôle ouvrier dans la construction du socialisme est d’empêcher la restauration du capitalisme, d’éviter le révisionnisme et de donner la direction du pouvoir à la classe ouvrière. Le pouvoir ou contrôle de la clase ouvrière est un des premiers principes du marxisme-léninisme. La classe ouvrière, sous la direction du Parti, fait la révolution, et la mène à son terme, construit le socialisme. La classe ouvrière est la classe dirigeante du pays, et elle doit contrôler la vie de tout le pays ; ne pas s’éloigner de ce principe est la condition essentielle pour que le socialisme subsiste :

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  • « Seule une organisation distincte, des ouvriers salariés, qui mène une lutte de classe conséquente, est capable d’arracher les paysans à l’influence de la bourgeoisie et de les éclairer sur la situation inextricable des petits producteurs dans la société capitaliste. » 

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  • Le premier aspect de la dictature du prolétariat, la violence nécessaire contre les anciens exploiteurs et leurs alliés révisionnistes est un héritage de l’ancienne société ; ce « reste » de l’ancienne société est destiné à disparaître au fur et à mesure du renforcement de la dictature du prolétariat, c’est-à-dire de la suppression des classes et de l’extinction de l’Etat, instrument de domination. Cette violence a complètement disparu au stade supérieur du communisme.

    Le second aspect de la dictature du prolétariat, c’est-à-dire la démocratie pour le peuple, est quelque chose de tout à fait nouveau, destiné à se développer : ce qui est essentiel c’est la discipline prolétarienne des uns sur les autres, l’autodiscipline exercée par la persuasion, la critique et l’autocritique, car le peuple ne saurait « exercer la violence sur lui-même ».

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