• Comité de Salut Public :

     

    Le 28 avril le vieux « jacobin », Jules Miot, propose la création d’un Comité de Salut Public. Le 1° mai, par 45 voix contre 23, la proposition de Miot est adoptée. Il est composé d’Antoine Arnaud, de Léo Melliet, de Gabriel Ranvier, de Félix Pyat et de Charles Gérardin. Le 8 mai, Gérardin, Melliet et Pyat sont remplacé par Gambon, Eudes et Delescluze. Ce dernier, nommé délégué à la Guerre, laisse sa place à Billioray.

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  • « Les maçons se divisent. Certains, dont les généraux, rejoignent le gouvernement provisoire conservateur qui s’installe à Versailles. D’autres se rallient à la Commune, dont les dirigeants comprennent maintenant seize frères. »

    Source : Pierre Marion Mes bien-aimés frères Histoire et dérive de la franc-maçonnerie Flammarion 2001.

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    1. LA PRESSE

    Jamais dans Paris on ne s’était exprimé aussi librement, que depuis la proclamation de la République.

     

    Le Journal officiel de la Commune de Paris, puis Journal Officiel. L’édition va du n° 79 datée du 20 mars au n° 144, datée du 24 mai.

     

    L’Action : Edmond Bazire. Lissagaray, rédacteur en chef. Feuille vendue 10 centimes. Six numéros sont édités du mardi 4 avril au dimanche 9 avril 1871.

     

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  •  

    La Commune est l’expression de diverses tendances : jacobine, blanquiste, internationaliste,…

    Les éléments participant à la Commune sont très hétérogènes :

    • Les ouvriers internationalistes ;

    • Les blanquistes, fidèles à la tradition du coup de force politique ;

    • Les proudhoniens, qui admettaient en théorie la lutte des classes, mais s’enlisaient dans un vain corporatisme ;

    • Les petits-bourgeois, qui s’élevaient avec fureur contre la loi des loyers et la loi des échéances ;

    • Les républicains, qui s’insurgeaient contre l’assemblée réactionnaire de Bordeaux ;

    • Les autonomistes, qui ne voulaient ni du centralisme napoléonien, ni de la décapitalisation de Paris ;

    • Les patriotes, meurtris par la défaite militaire.

     

    L’action de la Commune a été indécise et vacillante : on a tardé à marcher sur Versailles, et on a respecté avec une sorte de piété la Banque de France.

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  • Vous avez répondu héroïquement ; continuez avec l’aide de tous les compagnonnages.

    L’instruction que nous avons reçue dans nos respectables ateliers dictera à chacun de nous, à tous, le devoir sacré que nous avons à remplir.

    Heureux ceux qui triompheront ; glorieux ceux qui succomberont dans cette lutte sainte.

     

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