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    Qu’est-ce que notre époque ? La bourgeoisie se plaît parfois à parler d’accélération de l’histoire, accumulant à plaisir les conquêtes technologiques et scientifiques. Le prolétariat parle d’accélération de la révolution et il observe ce qui se passe :

    ·                     1917 : les peuples de Russie secouent le joug tsariste, et créent le premier « Etat soviétique ». Ils sont rejoints en 1945 par de nombreux peuples d’Europe centrale.

    ·                     1949 : le peuple chinois a fait sa révolution ; depuis il n’est pas un peuple qui n’entreprenne sa lutte contre l’ennemi commun.

     

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  • Contre les révisionnistes, le marxisme-léninisme affirme que le capitalisme monopoliste d’Etat n’est rien d’autre que l’impérialisme moderne. Mao Tsetoung a théorisé cela en affirmant que nous sommes toujours à l’époque de l’impérialisme et de la révolution prolétarienne. Le capitalisme monopoliste d’Etat c’est la forme moderne de l’impérialisme, celle qui est apparue, selon Lénine, au cours de la première guerre mondiale impérialiste de 1914-1918 ; les traits fondamentaux du capitalisme d’Etat sont les traits fondamentaux de l’impérialisme : domination des monopoles et du capital financier, exportation des capitaux, partage du monde entre les pays capitalistes et lutte pour les zones d’influence.

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  • Q’est-ce que la nation ? La définition de la nation a été formulée en 1913 par Staline dans un article connu aujourd’hui sous le titre Le marxisme et la question nationale :

    « La nation est une communauté stable, historiquement constituée, de langue, de territoire, de vie économique et de formation  psychique, qui se traduit dans une communauté de culture. » (212)

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  • Ce sont là des questions clés pour élaborer une stratégie révolutionnaire ; elles posent les problèmes de savoir ce qu’est la nation, l’impérialisme et leurs rapports. Ces questions sont d’une importance décisive. Il est évident que l’Etat actuel, qui est le nœud d’une stratégie révolutionnaire, ne peut être étudié que par rapport à la phase actuelle de l’impérialisme et par rapport aux effets de l’impérialisme sur l’Etat au sein de la zone des métropoles. Par exemple, quels sont les nouveaux rapports entre les formations sociales impérialistes (Etats-Unis, Europe, Japon) et leurs effets sur les appareils d’Etat ? Quelles sont les relations de ces Etats avec l’ « internationalisation du capital » ou les « firmes multinationales » ? De nouvelles firmes institutionnelles super étatiques tendent-elles à se substituer aux Etats nationaux ?...

     

     

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  • « La nécessité d’inculquer systématiquement aux masses cette idée – et précisément celle-là – de la révolution violente est à la base de toute la doctrine de Marx et Engels. » (201)

     

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