• LE PERE DUCHESNE -- NUMERO TROIS -- OCTOBRE 2017 (Partie 1)

    Les avantages, du point de vue du communisme, du macronisme :

    ·        Le président de la république, et le gouvernement, apparaît comme l’homme lige du capital financier ; c’est le cache-nez du capitalisme monopoliste d’Etat.

    ·        Le parlementarisme bourgeois a fait son temps : par sa composition, il ne représente que les fractions de la bourgeoisie ; par ses décisions, c’est la chambre d’enregistrement du gouvernement et donc du capital financier.

    Les limites des syndicats réactionnaires, des révisionnistes et de Jean-Luc Mélenchon :

    ·        Ils restent de chauds partisans de l’électoralisme : « Elections partout, démocratie nulle part », en régime bourgeois.

    ·        Ils n’adoptent pas une tactique et une stratégie en adéquation avec la période nouvelle. Mais ils se cantonnent à reproduire les habitudes de la période d’avant, du monde d’avant, quant il y avait un développement relativement pacifique du capitalisme français : culture de la légalité, de la réforme et de la négociation.

    ·        Leurs buts : moderniser le capitalisme, gommer ses aspérités les moins acceptables, être de fidèles valets de la classe bourgeoise au sein du peuple.

     

    LE PERE DUCHESNE -- NUMERO TROIS -- OCTOBRE 2017 (Partie 1)

     

    Les avantages, du point de vue du communisme, du macronisme :

    ·        Le président de la république, et le gouvernement, apparaît comme l’homme lige du capital financier ; c’est le cache-nez du capitalisme monopoliste d’Etat.

    ·        Le parlementarisme bourgeois a fait son temps : par sa composition, il ne représente que les fractions de la bourgeoisie ; par ses décisions, c’est la chambre d’enregistrement du gouvernement et donc du capital financier.

    Les limites des syndicats réactionnaires, des révisionnistes et de Jean-Luc Mélenchon :

    ·        Ils restent de chauds partisans de l’électoralisme : « Elections partout, démocratie nulle part », en régime bourgeois.

    ·        Ils n’adoptent pas une tactique et une stratégie en adéquation avec la période nouvelle. Mais ils se cantonnent à reproduire les habitudes de la période d’avant, du monde d’avant, quant il y avait un développement relativement pacifique du capitalisme français : culture de la légalité, de la réforme et de la négociation.

    ·        Leurs buts : moderniser le capitalisme, gommer ses aspérités les moins acceptables, être de fidèles valets de la classe bourgeoise au sein du peuple.

    Il convient d’étudier dans quelles conditions ont lieu les élections aujourd’hui et quels en sont les résultats, puis d’envisager les conditions à remplir pour que les élections soient véritablement démocratiques.

    La propagande dominante déclare que l’organisation d’élections est synonyme de système démocratique, que chaque citoyen a le devoir de participer à ces élections.

    Or la réalité quotidienne nous démontre qu’il n’en est rien : En effet, quelle influence a le citoyen d’en bas sur la gestion de la réalité sociale ? Quasiment aucune ! Comme le disait Coluche, si les élections changeaient quelque chose, en vrai, il y a longtemps que le système bourgeois les aurait supprimé. En fin de compte, les élections, au suffrage universel, ont été instituées de telle sorte que le système social bourgeois soit maintenu en l’état.

    Le résultat des élections permet de maintenir les représentants de la classe bourgeoise aux diverses manettes de direction des affaires sociales : assemblée nationale, régions, départements, villes, etc. On demande aux masses de choisir entre diverses écuries, ou fractions, de la classe bourgeoise, qui se gardent bien de remettre un peu d’ordre, d’égalité et de liberté dans le système existant, et cela dure depuis l’instauration du capitalisme.

    Les mass médias (télévision, presse, etc.) appartiennent aux monopoles. Ainsi que tous les moyens de l’appareil d’Etat, qui est devenu un Etat aux mains du capitalisme monopoliste, aux mains du capital financier.

    Pour que les élections deviennent démocratiques, la seule solution serait de supprimer la propriété privée des moyens de productions, et de les socialiser : autrement dit, de remplacer le capitalisme par le socialisme, de détruire l’Etat bourgeois et de le remplacer par un Etat socialiste. C’est la seule façon d’en finir avec la dictature réelle de la classe de la bourgeoisie, et d’instaurer un système mettant en œuvre une égalité réelle, « un homme, une voix », permettant à des ouvriers de gérer l’Etat socialiste.

    Ainsi, on peut dire que le système parlementaire démocratique bourgeoisie a montré ses limites : c’est devenu le contraire de la démocratie populaire. Il convient d’imaginer un nouveau système plus moderne, de demain.

    Cela ne veut pas dire que le Parti du prolétariat ne participera jamais aux élections bourgeoises. Mais il sait que ces élections ne mettront jamais un terme au système bourgeois, au contraire : elles tendent à le renforcer.

    C’est pourquoi les promesses de divers démagogues, comme Jean-Luc Mélenchon, qui refusent de dire la vérité, et appellent à des élections bourgeoises, à une VI° république bourgeoise, sont des représentants de la classe bourgeoise au sein du mouvement ouvrier : ce sont de véritables Tartuffe !

    Premier de cordée : Avec les représentants du capital financier (Medef, CAC40, LREM,…) en peloton de tête, et divers représentants (Front National, France Insoumise, P « C » F,…) en voiture-balai, voilà un système qui encadre bien le peuple ! Et une bourgeoisie qui se gave et se dope des milliards de subventions publiques et est exonérée des impôts proportionnellement à ses revenus ! Que le peuple se réveille !

    L’égalité homme/femme : Certains lancent des pétitions pour obtenir cette égalité, ainsi que la parité, pour augmenter le budget du sous-ministère de la Femme. Comme s’il s’agissait là du nœud du problème. Il s’agit plutôt d’un problème de volonté politique. A la vitesse actuelle, l’égalité homme-femme sera obtenue en 2150 ! Et même multiplier le budget de ce sous-ministère par cent n’y changera rien. Il suffirait que le président Emmanuel Macron propose un projet de loi, qui sera forcément voté par l’Assemblée nationale croupion, instaurant cette égalité et cette parité dès 2018, pour que soit lancé un mouvement allant dans ce sens. Après il faudra bien sûr, par l’éducation, dans la famille et à l’école, combattre les différents aspects du patriarcat et de féodalisme, dont les diverses religions, qui cherchent à tout prix à maintenir la femme sous la coupe de l’homme. Voilà une belle mission pour Brigitte Macron, qui est une femme, non ?

    On parle partout de lutte contre les paradis fiscaux, l’un des principaux étant situé au cœur de l’Union Européenne ! La bonne blague ! On dit que plus de 800 milliards d’euros sont placés là, rien que pour la France ! Combien plus,

    Sur les 40 milliards d’euro versés officiellement aux grandes entreprises par les deux gouvernements de François Hollande, combien ont atterri dans ces paradis fiscaux ? Ne peut-on pas dire que François Hollande est complice de « blanchiment » d’argent public ? Qu’attend Emmanuel Macron pour mettre un peu de clarté là-dedans et véritablement faire en sorte de rapatrier ces biens, plutôt que de continuer à « arroser » les riches ? N’est-ce pas de l’argent qui devrait être investi en France pour lutter contre le chômage ?

    La fin de l’énergie nucléaire : fin des courtisans au XVIII° siècle : ne va-t-on pas aussi supprimer les perruquiers, et de nombreux autres métiers ? Question mal posée.

    Pierre Moscovici, surpris par l’ampleur de l’évasion fiscale et son côté immoral ? Lorsqu’il était ministre de l’économie, savait-il ?

    Ne savait-il pas ?

    Arabie Saoudite : esclavage, immoralisme, etc. Cadeaux aux élus. Féodalisme.

    Les ouvrier(e)s se sont-ils "élevés" au niveau des employé(e)s :(ascenseur social) ou bien les employés sont-ils "descendus" au niveau des ouvriers (paupérisation) ? Ou bien, de nos jours, les princes/princesses acceptent d'épouser les bergers/bergères ?

    Je peux faire part de mon expérience: issu de paysans/ouvriers, grâce à l'école notamment, de manière absolue, le niveau de vie des ouvriers et des employés s'est considérablement élevé en 60 ans (logement, frigidaire, machine à laver, TV, portable, etc.), mais de manière relative, les ouvriers et employés se retrouvent tout en bas de l'échelle sociale. Et la différence entre Travail et Capital ne cesse de se creuser, en faveur des plus riches! Avec la "loi travail", de nombreuses catégories sociales vont se retrouver en bas, précarisées (intellectuels, aristocratie ouvrière, etc.

     

     

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