• La question se pose de savoir quels sont les rapports entre l’ « internationalisation du capital », les « firmes multinationales » et les Etats nationaux, ou encore quels sont les rapports entre l’impérialisme d’Etat et la nation. Ce point sera traité dans le Chapitre VII.

     

    La classe ouvrière a pour tâche de réaliser la dictature du prolétariat et le contrôle ouvrier, c’est-à-dire un pouvoir qui soit réellement un POUVOIR DU PEUPLE. Il s’agit de savoir comment ces aspirations seront réalisées, ou plus généralement, qu’est-ce que la dictature du prolétariat. Ce point sera traité dans le Chapitre VIII.

     

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  • Cependant, l’enseignement fondamental de l’histoire du Parti communiste chinois est qu’il faut un parti :

     

    « La plus importante expérience du mouvement communiste international, c’est que le développement et la victoire de la révolution dépendent de l’existence d’un parti prolétaire révolutionnaire. » (175)

     

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    1. Dans Que faire ? (mars 1902), Lénine développa les principes idéologiques du parti marxiste.

    Le parti doit fonder sa ligne et son activité sur les principes idéologiques et organisationnels élaborés et défendus par Lénine à partir des enseignements de Marx et Engels, la thèse de la dictature du prolétariat et l’importance historique de la paysannerie comme alliée de la classe ouvrière.

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  • Les opportunistes, asservis aux idées libérales, ont faussement compris cette pensée de Marx et se sont attachés à l’interpréter de travers. Ainsi, par exemple, parmi les opportunistes figurent les « économistes », tendance que Lénine eut à combattre à la fin du XIX° siècle et au début du XX° siècle. Cette conception réduit le marxisme à une « théorie économique » à partir de laquelle pourrait être interprété l’ensemble des transformations sociales. L’économisme, définissant les forces productives comme le moteur de l’histoire, fait apparaître la lutte des classes comme le produit direct et immédiat des contradictions économiques. Ces dernières sont supposées devoir « engendrer » d’elles-mêmes les transformations sociales et, le « moment venu », les luttes révolutionnaires. La classe ouvrière semble donc devoir être poussée à la révolution, la constitution d’un parti prolétarien n’est donc pas nécessaire.  

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  • « La révolution prolétarienne est impossible sans la sympathie et le soutien de l’immense majorité des travailleurs pour leur avant-garde : le prolétariat. Mais cette sympathie, ce soutien ne se gagnent pas d’emblée, ne se décident pas sur des votes ; on les conquiert au prix d’une lutte de classe difficile, dure, de longue haleine. La lutte de classe que mène le prolétariat pour gagner la sympathie, pour gagner le soutien de la majorité des travailleurs ne cesse pas quand le prolétariat a conquis le pouvoir politique. Après la conquête du pouvoir cette lutte se poursuit, mais sous d’autres formes. » (162)

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