• Les 32 sentiers de la Sagesse (10 sephiroth, 22 semiroth) : Le 32° degrés, dont le 32° degré, sont initiatiques. (Sentiers, voies, grades maçonniques ou états de conscience).

    Aïn Soph et 12, Le monde profane, sont au-delà et en-deça du Tableau, car en-dehors du Temple. .

    Mots-clés : Vertus à acquérir, Vices à transmuter.

    Témoins : le monde, l’année, l’âme mâle et femelle .De l’ego au « Je Suis » par l’espace, le temps et la personne.

    L’Arbre de Vie, l’arbre de mort 

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  • La franc-maçonnerie est, non une voie de croyance, mais une voie de connaissance. Ce qui compte, c’est le processus d’élévation de la conscience, et non l’adhésion à des dogmes. Elle n’a de sens que si elle est mise en œuvre dans la vie quotidienne. Les trois premiers grades, qui donnent la plénitude de l’état maçonnique, donnent à l’initié une vision du monde qui repose sur l’humanisme et la spiritualité. 

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  • Que signifie « initiation ? Le sens le plus élémentaire, c’est « commencer quelque chose de nouveau, apprendre, passage,… ». Dans ce cas, il y a de nombreuses initiations profanes et maçonniques, comme par exemple, apprendre une langue, apprendre à conduire un véhicule, etc. Et dans ce cas, tous les grades maçonniques sont initiatiques.

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  • « Une progression ou plutôt des cercles concentriques que l’on parcourt, une sorte de spirale qui va se resserrant… Poursuivant sa voie initiatique, le maître travaille donc toujours pensant qu’il peut agir sur le monde sans toutefois avoir la moindre illusion. Mais il ne veut pas tomber dans le néant et s’exposer à une rupture de l’unité de l’être, source d’illusion.

    S’il revoit son cheminement, s’il se tourne vers l’arrière, il peut se recycler :

    Le moment où il a découvert qu’il faisait partie d’un tout, de l’univers. Avant, il existait coulant sa conscience dans la conscience universelle, il était une partie de cet univers :

    Je suis celui qui suis.

    Puis c’est l’émergence du Tout par l’acquisition d’une personnalité de désir de volontés… La loge est de première importance pour ce stage : il nous faut des signes, il nous faut mettre de l’ordre, séparer fins et moyens, objectifs réels et supposés, nécessaires et imaginaires… C’est le stade le plus long sinon le plus difficile : on commence à comprendre que l’on est seul, et que cette émergence nous conduira à la recherche d’une solution personnelle, hors de tout modèle.

    Je suis ce que je suis.

    La poursuite de cet effort de dépersonnalisation conduit paradoxalement à un stade de la pensée tout à fait inattendu : on quitte le manifesté, noms, formes, distinctions, pour entrer dans l’intemporel.

    Nous redevenons le Moi, mais pas celui que l’on avait isolé du Tout. C’est un moi pur, dépouillé, non asservi, non conditionné. Tout aussi dérisoire, mais lumineux, créateur.

     

    JE SUIS. »

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  • En conclusion, l'état à atteindre est la Béatitude, définie de la façon suivante par le philosophe André Comte-Sponville: "J'avais vécu un moment parfait - juste assez pour savoir ce qu'est la perfection. Un moment bienheureux - juste assez pour savoir ce qu'est la béatitude. Un moment de vérité - juste assez pour savoir, mais d'expérience, qu'elle est éternelle.  «Nous sentons et expérimentons que nous sommes éternels », écrit Spinoza dans l'Éthique - non que nous le serons, après la mort, mais que nous le sommes, ici et maintenant. Eh bien voilà : je l'avais senti et expérimenté, en effet, et cela fit en moi comme une révélation, mais sans Dieu. C'est le plus beau moment que j'aie vécu, le plus joyeux, le plus serein, et le plus évidemment spirituel. Comme les prières de mon enfance ou de mon adolescence, à côté, me semblent dérisoires ! Trop de mots. Trop d'ego. Trop de narcissisme. Ce que j'ai vécu, cette nuit-là, et ce qu'il m'est arrivé d'autres fois de vivre ou d'approcher, c'est plutôt le contraire comme une vérité sans mots, comme une conscience sans ego, comme un bonheur sans narcissisme. Intellectuellement, je n'y vois aucune preuve de quoi que ce soit ; mais je ne peux pas non plus faire comme si cela n'avait pas eu lieu. " Mais si pour André Comte-Sponville, cet état de Béatitude peut être atteint par hasard, et pour une durée déterminée, la méthode maçonnique, par un travail de connaissance de soi-même, permet d'atteindre cet état et d'y demeurer pour toujours. 

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