• Un aboutissement inévitable au XXI° siècle en France : le socialisme ; (Partie 7)

    D'une part, Dieu a un dessein, un plan pour le monde, et , quoiqu'il arrive, ce but sera atteint. Les obstacles sont nombreux (Satan, les actions des hommes, etc.). Cet objectif ultime, c'est l'union (la réunion) avec Dieu. Il y a une infinité de chemins, ou voies, pour y parvenir : c'est la voie du bien.

     

    Un aboutissement inévitable au XXI° siècle en France : le socialisme ; (Partie 7)

    D'une part, Dieu a un dessein, un plan pour le monde, et , quoiqu'il arrive, ce but sera atteint. Les obstacles sont nombreux (Satan, les actions des hommes, etc.). Cet objectif ultime, c'est l'union (la réunion) avec Dieu. Il y a une infinité de chemins, ou voies, pour y parvenir : c'est la voie du bien.

    D'autre part, les hommes sont libres (paroles, penses et actions). Ils rempruntent des chemins qui , soit contribuent, vont dans le sens du dessein de Dieu, soit contrecarrent, font obstacles à cet objectif : c'est la voie du mal. La possibilité de faire le mal est la condition de la liberté de l'homme.

    Comment s'écrit alors l'histoire ? Il s'agit d'un film, où, à chaque moment, différents scénarios sont possibles (individuellement et collectivement). Si le scénario choisi est la voie du bien, l'histoire progresse dans le bon sens : c'est le bonheur.

    Si le scénario choisit va dans le mauvais sens, le plan de Dieu est contrecarré, l'histoire va dans le mauvais sens, : c'est le malheur, et le triomphe du mal (ou de Satan). Dieu doit donc trouver un stratagème pour rétablir la bonne orientation (punition, message des prophètes, déluge, etc.).

    Deutéronome (5.32-33) : « Gardez et mettez en pratique ! Ainsi vous l'a ordonné Yahvé votre Dieu. Ne vous écartez ni à droite ni à gauche. Vous suivrez tout le chemin que Yahvé votre Dieu vous a tracé, alors vous vivrez, vous aurez bonheur et longue vie dans le pays dont vous allez prendre possession. »

    La voie du bien est aussi, pour l'homme, individuellement et collectivement, la voie du bonheur : en choisissant cette voie, l'homme adhère au dessein de Dieu, nécessaire et inévitable.

    Sans cesse, l'homme est placé entre les deux voies : la voie du fidèle, du croyant, de Dieu, et la voie de l'impie, de Satan (l'Adversaire). Pourquoi Adam/Eve choisissent la pomme ? C'est un refus et un oubli de Dieu , de la règle, de la Loi divine. C'est se détourner, opposé à « se convertir ». C'est le choix du mal, la volonté de rompre la promesse faite à Dieu .



    Le péché originel :

    Dieu ordonne à l'homme. C'est une défense. Cela signifie que l'être auquel s'adresse Dieu possède un privilège nouveau : la liberté. La liberté est aussi une épreuve. Dieu laisse l'homme libre de choisir entre l'obéissance et la désobéissance, ce qui pour la première fois, introduit la conscience et la volonté en tant que mécanisme de progrès dans l'évolution. L'homme devient le maître de sa destinée. En vertu de cette indépendance, y compris vis-à-vis de Dieu, le progrès spirituel ne dépend plus seulement de Dieu, qui a abdiqué une partie de sa toute-puissance, au profit de sa créature, laquelle ne peut progresser que par un effort, c'est-à-dire un acte de volonté libre. Dieu accorde la liberté aux hommes afin qu'ils puissent par leur option pour le bien mériter la félicité.

    Mais Dieu sait d'avance tout ce qui se passera et ce que l'homme décidera. Voici la contradiction entre le libre-arbitre de l'homme et la prescience de Dieu :

    « Tu n'en mangeras point », premier principe moral adressé à l'homme : La condition de toute vie morale est la subordination de notre nature physique à la volonté divine. C'est par la maîtrise des tentations des sens que l'homme devient homme. Chaque jour, chacun de nous est placé devant l’arbre de la connaissance et appelle notre décision : soit pour obéir à la voix de nos sens, de notre instinct animal (Satan), soit pour obéir à la voix de Dieu. L'histoire du péché commence toujours , aujourd'hui comme jadis, par le dialogue entre l’instinct animal et la conscience humaine. Lequel des deux l'emportera ? La réponse à cette question angoissée décidera non seulement de la destinée personnelle, mais aussi du sort des générations futures. A la différence de l'animal qui ne connaît d'autre loi que celle d'obéir à son instinct individuel, l'homme doit choisir librement la voie du bien. Regarde cet arbre paradisiaque, paré de tout ce qui peut flatter les sens ; la nature individuelle dois se dire, cet arbre est bon, mais la parole divine le condamne comme étant mauvais. Comme dit Spinoza, l'homme n'est pas un état dans l'état. Il est en son pouvoir de faire régner au sein de l'humanité et de l'univers, une ère de concorde et de prospérité, à laquelle la nature collabore, comme il est également en son pouvoir de renverser l'ordre naturel, en déchaînant les puissances maléfiques et en leur asservissant les trésors et les ressources de la nature. Il dépend de sa volonté de faire de la nature un paradis terrestre ou un enfer de destruction. Et la nature prodigue à l'homme tous ses bienfaits , lorsque celui-ci respecte le plan divin de la création, tandis qu'elle devient son ennemis lorsqu'il abuse de ses pouvoirs en détruisant l'harmonie.

    Le monde étant déterminé (Providence), il est donc possible de connaître l'avenir de celui-ci, soit en étudiant les lois de l'évolution (sciences), soit parce que Dieu nous communique son dessein (prophètes, mises en garde, écritures saintes, etc.)



    1) Union d'amour avec Dieu. La religion est la science de l'union avec Dieu.

    Spinoza : « Tout le monde dit bien que l’Écriture saint est la parole de Dieu et qu'elle enseigne aux hommes la vraie béatitude ou la voie du salut. » (page 711)



    Les deux voies donnent les limites de la liberté de l'homme :

    • La voie de l'union avec Dieu, celle des justes et des fidèles, qui appliquent la Loi divine, et rendent de nouveau l’âme semblable à l'image et à la ressemblance de Dieu, saint et parfaite. L'âme participe à Dieu, sans être de la substance de Dieu (Il n'y a qu'une seule substance, Dieu).

    • La voie du refus de Dieu, de l'oubli de Dieu, celle des méchants et infidèles, malheureux.

    A partir de là s'écrit l'histoire des peuples : Dieu décrète, demande, donne … Soit l'homme reçoit, applique, reste dans la voie du Bien. Soir l'homme refuse, se révolte, ouvre une nouvelle voie, celle du « monde », qui oublie et refuse Dieu. L'homme sort du cadre.

    Dieu poursuit l'histoire : soit Dieu punit, détruit (Sodome et Gomorrhe, le déluge, chasse du paradis terrestre, …) et ramène le peuple ou l'individu dans la bonne voie (le petit reste,...) , soit l'homme reconnaît son erreur , sa faiblesse, demande pardon, et rentre dans le rang et le cadre.

    Dieu reprend alors le fil de l'histoire, et continue la réalisation de son plan, auquel il n'a jamais renoncé, en suscitant un Sauveur, un Serviteur, un Messie, …

    En conséquence, Dieu indique, propose, et de façon ultime, dispose, mais l'homme applique, choisit, la voie : soit le bonheur, la béatitude, de rester dans la voie de Dieu, soit prend l'autre voie, et en paie les conséquences.

    Les prophéties :

    Tentative de «prophétie » concernant les religions, et en particulier le devenir de l’Église catholique au XXI° siècle .

    La Religion des religions.

    Une image que l'on peut donner du mal, qui est du bien en devenir, c'est l'existence d'une battisse dans un jardin . Je souhaite remplacer cette battisse, un peu petite, par une maison plus grande et plus belle. Dans un premier temps, je dois détruire la battisse existante, puis dans un second temps construire une battisse plus grande et plus belle. La période du mal, c'est la destruction. La période du bien , c'est la construction.

    Ainsi, actuellement se déroule une phase de destruction de l’Église catholique. Celle-ci est gangrenée par des problèmes d'argent, de pouvoir, et de sexe (prédation pédocriminelle). Les trois derniers papes ont fermé les yeux sur cette situation, qui dégénère. De plus, le Concile Vatican II a élaboré une doctrine sociale de l’Église qui fait la part belle à la minorité des plus riches (hommes blancs occidentaux notamment). Sans choisir entre le capitalisme et le socialisme, les hauts gradés de l’Église ont élaboré une doctrine sociale, « ni..., ni ... » , ni capitalisme , ni socialisme, qui, dans les faits , est une défense du capitalisme réactionnaire, à l'opposé de la doctrine primitive de la communauté chrétienne (Saint Paul : « Qui ne travaille pas, ne mange pas », phrase reprise par Lénine, en Russie). La doctrine en faveur des plus pauvres, prônée par Jésus-Christ, a été trop souvent reniée, pendant deux millénaires. Et l'on sait que pour Dieu, un jour, c'est comme mille ans.

    Cette nouvelle Église concerne 90 % de la population, dont les plus pauvres et les plus humbles : elle doit entrer en débat avec toutes les autres croyances, pour constituer , terme, l'Assemblée unique universelle de tous les croyants humains, la fraternité universelle et l'adoration du Dieu des dieux. Ce sera forcément une religion populaire, qui s'inscrit en faux contre la religion des princes de l’Église, qui a prévalu trop longtemps !

    En un mot, Dieu, par son œuvre, va transformer un ensemble de « baraques de chantier » des deux précédents millénaires (ère des Poissons), qui sont les diverses religions multiples (christianisme, judaïsme, islam, bouddhisme, hindouisme, taoïsme, etc.) en une nouvelle et superbe demeure, propre à tout le genre humain (ère du Verseau) , et plus si besoin. C'est dire que pendant une certaine période, il y a une déconstruction et destruction douloureuse, puis, et en même temps, une nouvelle construction heureuse. Étant le Dieu des dieux, il construit la Religion des religions !



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