• ( Partie 7) Moi, résidente en maison de retraite, anciennement femme de ménage, centenaire et en fin de vie, je témoigne des maltraitances dans les maisons de retraite, y compris dans les établiss

    Faire en sorte que le système soit perçu comme une machine anonyme, quelque chose de nécessaire, et ainsi dédouaner les vrais responsables que sont les élus, depuis la représentation nationale jusqu'aux élus de la base, voilà quelque chose qui est mis en place. Il est entretenu une confusion administrative, où tout est camouflé, souterrain, de sorte que cela apparaisse comme un mal nécessaire, irréformable. Mais quelques « élus » et notables savent bien vivre sur cette « bête ». Mais le jeu mené dans ces organismes est de plus en plus apparent et discrédité, et voilà pourquoi il n'est pas étonnant que ces élus soient de plus en plus pris à partie et parfois de façon violente, car il s'agit vraiment de truands « aux cols blancs », mais aux mains sales.

     

    ( Partie 7) Moi, résidente en maison de retraite, anciennement femme de ménage, centenaire et en fin de vie, je témoigne des maltraitances dans les maisons de retraite, y compris dans les établissements gérés sous statut associatif !

    Faire en sorte que le système soit perçu comme une machine anonyme, quelque chose de nécessaire, et ainsi dédouaner les vrais responsables que sont les élus, depuis la représentation nationale jusqu'aux élus de la base, voilà quelque chose qui est mis en place. Il est entretenu une confusion administrative, où tout est camouflé, souterrain, de sorte que cela apparaisse comme un mal nécessaire, irréformable. Mais quelques « élus » et notables savent bien vivre sur cette « bête ». Mais le jeu mené dans ces organismes est de plus en plus apparent et discrédité, et voilà pourquoi il n'est pas étonnant que ces élus soient de plus en plus pris à partie et parfois de façon violente, car il s'agit vraiment de truands « aux cols blancs », mais aux mains sales.

    Chaque fois qu'un scandale éclate (sang contaminé, morts excessive dans les EHPAD, publication d'un plaidoyer, comme « Les Fossoyeurs »), les élus font semblant de découvrir le problème. Ou alors ils minimisent le problème en le circonscrivant à un établissement particulier. Mais surtout , il ne faut pas mettre au grand jour le système en son entier : ce serait la fin de leur « commerce » lucratif et inhumain. Alors, ils s'insurgent, créent des commissions d'études, et font en sorte de faire retomber le soufflé. « Circulez, il n'y a rien à voir ». Et le système peut poursuivre sa marche inexorable.

    Ainsi, il est normal qu'il y ait une justice qui s'applique à tous ces élus, notamment aux maires de la ville de Metz. Mais bien entendu, quand il y a un recours juridique la justice bourgeoise est purement formelle, rien à voir avec une justice populaire, qui irait au fond des choses.

    Peut-être tous ces élus, maintenant très âgés , parfois dépendants et utilisant des déambulateurs et des fauteuils roulants, voudront-ils libérer leurs consciences avant de mourir, et alléger leurs bagages pour passer dans l'au-delà. ? Imaginons-le ... De toutes façon, ; il y a de nombreuses personnes qui savent, actuellement à la retraite, et libres de paroles, plus soumises à divers chantages, anciens membres du personnel des maisons de retraite, ou des organismes publics. Libérées de toute contrainte de la part de leurs anciens employeurs (AMAPA, CCAS, Conseil départemental, etc.) les bouches sont prêtes à s'ouvrir. La classe dominante, qui comporte les plus riches, par égoïsme, ne lâchera rien, si elle n'est pas contrainte par la force.

    L'appauvrissement des classes moyennes et des classes laborieuses conduit à faire passer l'argent des poches des résidents et de leurs familles dans les coffres-forts et les paradis fiscaux des plus riches, tel est bien leur objectif.

    Il y a déshumanisation du personnel en même temps que des résidents. Cette déshumanisation ressemble beaucoup à celle qui touche beaucoup d'autres métiers, tels que les fossoyeurs ou les agents travaillant dans les abattoirs. Il serait temps de prendre en compte les maltraitances quotidiennes subies par le vieilles femmes comme moi dans le cadre des luttes féministes, ce ne serait pas du luxe.. A force d'être traités de façon inhumaine, en contradiction avec tous les beaux principes énoncés par les juristes bourgeois, tels que la liberté, l'égalité, la fraternité, etc. tous les êtres humains sont traités comme des riens et des choses. Humaniser la société, ce serait en somme détruire ce régime pour le remplacer par un régime populaire, qui met véritablement en œuvre les principes essentiels des déclarations des droits de l'homme et de la femme. Il serait temps qu'une association, similaire à l'association de défense des animaux , tel que L 214, soit créée pour défendre les mamies et les papys maltraités. Par exemple, s'il y a bien la présence de sonnettes d'alarme dans chaque chambre – obligatoires- encore faudrait-il qu'à l'autre bout de la sonnette, il y ait une personne pour répondre (infirmière, aides-soignants, etc.) . Ainsi, quelle absence de personnels les week-end, lors des périodes de vacances, ou même en temps ordinaire ! Ainsi, une personne âgée, tombée de son lit, est morte un dimanche, étouffée dans son vomi, sans que personne ne trouve rien à redire. Ou bien une personne passe sa journée à pleurer et à crier : »J'ai mal... J'ai mal ! » sans cesse , alitée dans sa chambre, la porte grande ouverte, sans que personne n'intervienne, au plus grand scandale des visiteurs.

    Ce que l'on ressent, comme la pire des maltraitance psychologique, c'est l'ennui. Passez à n'importe quelle heure dans une maison de retraite, vous rencontrerez tant dans les chambres que dans le réfectoire, l'ennui.

     

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