-
Mais quels que soient le temps pris pour cette libération ultime, et les moyens utilisés, pour cette conquête de TOUT le pouvoir (politique, économique, culturel) par le Peuple, ce mouvement et ce processus sera une source d’apprentissage et d’épanouissement, pour le Peuple : c’est une atteint à la maturité complète, qui lui permet ensuite d’exercer ses prérogatives historiques. Cette lutte peut être longue et prolongée, et passer même par une phase de barbarie excessive : le but final est le socialisme. Le Peuple gagne le droit de régner sur TOUT, collectivement, par tous les sacrifices, y compris en vies humaines, qu’il consent à offrir tous les jours pour atteindre son but : le pouvoir total. Comme le dit Jacques Chirac, en conclusion de ses « Mémoires », il y a encore de nombreuses Bastilles à prendre. La lutte populaire sera belle, car la lutte, c’est la vie.
votre commentaire -
La question à poser est : « Qui est dans le vrai et le juste, et qui est dans le faux et l’injuste ? » Ou bien : « Qui est dans le sens de l’Histoire ? » Qu’une frange de la population, plus ou moins importante en nombre, défende les oppresseurs, cela a existé de tout temps, et cela contribue même à faire perdurer le système ancien et injuste. Des exemples ?
votre commentaire -
Le 5 octobre 1789, à Paris, quelques milliers de femmes mécontentes de la cherté de la vie et de la disette se rendent à Versailles auprès du roi Louis XVI. Victime de ses hésitations, le roi va se trouver prisonnier des révolutionnaires parisiens. Le lendemain s’ébranle un cortège de 7000 ou 8000 femmes en direction de Versailles. On crie : « A Versailles ! » ou encore « Du pain ! ». Chacun brandit une arme improvisée, fourche ou pique. Il s’agissait de sortir le roi des ors de Versailles, pour qu’il constate de visu la misère du peuple, et apporte des solutions. « Nous ne manquerons plus de pain, nous ramenons le boulanger, la boulangère, et le petit mitron ».
votre commentaire -
La question est donc de savoir comment elle va disparaître, ou encore quel niveau de sauvagerie, d’horreur et de barbarie elle va exercer pour survivre à tout prix ? Cela dépend des moyens que le Peuple sera à même de déployer pour la contenir.
votre commentaire -
Pour ce qui est de la crise migratoire, due en grande partie à la longue exploitation des peuples du tiers-monde, par les pays riches et impérialistes, ainsi qu’aux diverses guerres de rapine et de pillage, un régime socialiste, à la fois, fermerait ses frontières à ces déplacement anarchique, tout en favorisant le développement économique et la libération nationale de ces pays, qui ont besoin de cette main d’oeuvre qui fuit la guerre et la misère. Mettre fin à l’exploitation de ces pays par les pays riches capitalistes, et débarrasser ces pays de la domination de la bourgeoisie compradore, et des couches féodales et patriarcales, mettrait rapidement un terme à ces déplacements massifs anarchiques de population. Cependant, un régime socialiste protègerait naturellement les révolutionnaires opprimés dans ces pays, ainsi que les apatrides.
votre commentaire