• voici les sept lettres adressées aux dominants afin qu’un petit reste soit sauvé en se plaçant sous les ailes du prolétariat

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  • dorénavant le peuple doit se réveiller et se libérer de la classe bourgeoise qui le garrotte

    la révolution prolétarienne est violente et cruelle

    voici la relation entre la classe bourgeoise d’une part et le peuple d’autre part

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  • voici venue la fin du cycle commencé en mille sept cent quatre vingt neuf

    la bourgeoisie a fait son œuvre et a rempli pleinement son rôle historique

    elle a construit une société avec des monopoles gigantesques et monstrueux tout en accaparant égoïstement la plupart des richesses économiques

    le temps est donc venu pour elle de disparaître afin de rendre à la société ces richesses et les socialiser

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    au commencement de la soirée du quinze août deux mille seize vers dix-neuf heures

    je me suis assoupi aux pieds d’un chêne et je fais un songe

    je suis près d’une montagne

    voila qu’apparaît un être de lumière d’une taille immense vêtu d’une robe blanche

    il a une dimension qui englobe tout le cosmos et contient tout

    il a deux visages l’un celui d’un vieillard auguste et l’autre celui d’un adorable adolescent

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  • Selon le rituel du 1° degré de l’époque, le franc-maçon est par définition « également ami du riche et du pauvre, s’ils sont vertueux ». Si tous les francs-maçons acceptaient la liberté et l’égalité « en image », c’est-à-dire dans les loges, par contre pour beaucoup, ils refusèrent ces vertus quand il s’est agit de les mettre en œuvre dans la vie pratique. Certains francs-maçons ont choisi d’émigrer, d’autres ont été tués ou guillotinés. A chaque phase d’approfondissement de la révolution, de nouveaux francs-maçons ont soit émigrés, soit été tués, notamment en 1792, et lors de la Terreur. Ces francs-maçons ne voulaient pas aller jusqu’au bout de la logique révolutionnaire. Au fur et à mesure de la progression de la révolution, certains défenseurs de celle-ci dans la phase précédente, veulent ensuite freiner le train révolutionnaire, et même l’arrêter, ou lui faire faire machine arrière. Mais il est trop tard. Ainsi, pour certains, sans roi, pas de propriété. Pour d’autre (tel Billaud Varenne), la répartition des biens entre les citoyens doit s’effectuer de la manière la plus égalitaire possible.

     

     

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