• Si la répression a été féroce, inhumaine et barbare, c’est qu’elle était à la hauteur de la peur et de la frayeur ressentie par la bourgeoisie à l’égard de la dictature du prolétariat, régime démocratique à tout point de vue, tel que le peuple n’en avait jamais connu auparavant. La conception du monde prolétarienne s’oppose frontalement à la fausse démocratie des riches bourgeois. Le prolétariat parisien, avec ses alliés de la petite-bourgeoisie, a démontré au monde entier, pendant les 72 jours de la Commune, par des actes, qu’il était tout à fait capable de gérer la société sur la base de nouvelles valeurs, l’humanisme prolétarien, véritables valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité, qui sont aussi les valeurs prônées par la franc-maçonnerie.

     

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  • La caserne Lobau, proche de l’Hôtel de Ville, fut un des hauts lieux de la répression versaillaise. Pierre Dominique, collaborateur de Charles Maurras, a écrit : « A l’intérieur, c’est un abattoir. Les feux de peloton se succèdent, suivis des coups isolés qui achèvent. Les soldats sont pressés. Parfois, on tue par derrière avant que les condamnés aient atteint le mur et on pousse les morts sur le tas. S’ils sont plus de dix, on emploie la mitrailleuse… ».

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