• (Partie 8) La mission de la franc-maçonnerie en France au XXI° siècle.

    Robespierre et son groupe ont-ils été incapables de dresser un programme social cohérent ?

    « Citoyens, déclarait Billaud le 1° floréal, nous avons promis d’honorer le malheur, il sera bien plus beau de le faire disparaître. ». Tel était déjà le projet social qu’annonçait Saint-Just le 8 ventôse dans son Rapport « Sur les personnes incarcérées » : « Abolissez la mendicité qui déshonore un état libre. », et le 13 ventôse, il lançait la proposition « d’indemniser tous les malheureux avec les biens des ennemis de la révolution. » En ce sens, le décret du 22 floréal complète le maximum général décrété en septembre 1793. Selon Saint-Just il s’agit de rallier les patriotes indigents pour lesquels on n’a encore rien fait, de montrer que le bonheur, « idée neuve en Europe », n’est pas une idée creuse. Ayant pour objectif, comme les décrets de ventôse, de « faire tourner la révolution au profit de ceux qui la soutiennent », elle inaugure aussi un nouveau lien social. Elle réalise les promesses de la Déclaration des droits, et fit des secours publics une « dette » de la société.

     

    (Partie 8) La mission de la franc-maçonnerie en France au XXI° siècle.

     

     

     

    LA LUTTE CONTRE LES « BRAS NUS »

    Robespierre et son groupe ont-ils été incapables de dresser un programme social cohérent ?

    « Citoyens, déclarait Billaud le 1° floréal, nous avons promis d’honorer le malheur, il sera bien plus beau de le faire disparaître. ». Tel était déjà le projet social qu’annonçait Saint-Just le 8 ventôse dans son Rapport « Sur les personnes incarcérées » : « Abolissez la mendicité qui déshonore un état libre. », et le 13 ventôse, il lançait la proposition « d’indemniser tous les malheureux avec les biens des ennemis de la révolution. » En ce sens, le décret du 22 floréal complète le maximum général décrété en septembre 1793. Selon Saint-Just il s’agit de rallier les patriotes indigents pour lesquels on n’a encore rien fait, de montrer que le bonheur, « idée neuve en Europe », n’est pas une idée creuse. Ayant pour objectif, comme les décrets de ventôse, de « faire tourner la révolution au profit de ceux qui la soutiennent », elle inaugure aussi un nouveau lien social. Elle réalise les promesses de la Déclaration des droits, et fit des secours publics une « dette » de la société.

     

    LA LUTTE CONTRE LES REPRESENTANTS DES BRAS NUS :

    Selon Victor Hugo, dans les Reliquats de Quatre-vingt-Treize, « Le peuple qui suivait Robespierre, c’était le peuple, le peuple qui suivait Danton, c’était la nation […] Le peuple qui suivait Marat, c’était la populace. »

    La lutte contre les bras nus a pour objectif d’asseoir la domination de la bourgeoisie.

    Fondamentalement conservatrice, la première révolution n’avait ni allégé l’impôt, ni détruit le féodalisme. Elle avait, en revanche, coïncidé avec une paupérisation accrue des masses et un schisme religieux.

    La Convention, au nom de la défense de la révolution, s’engagea de plus en plus dans la voie de l’extrémisme. Autour de Robespierre, certains commençaient à mettre en cause le libéralisme économique.

    Grâce à l’appui ambigu des sans-culottes, les jacobins réussirent à imposer leur dictature.

    Les bras nus se dressaient contre la révolution. Ils protestaient contre une révolution inachevée.

    Les 730 élus de la Convention firent cependant une politique économique favorable à la propriété privée et à la liberté du commerce des grains, hostile aux émeutes de subsistances et aux troubles agraires. Aucun conventionnel, même à l’extrême gauche, ne s’identifia jamais aux aspirations populaires sur ce point.

    La Commune de Paris : les militants parisiens obtinrent le 5 avril, un impôt forcé sur les riches, destiné à financer le pain des pauvres.

    A  partir de novembre 1793, Robespierre va se poser sous un aspect nouveau, « en guillotinant l’anarchie ». C’est ainsi qu’il appelait les premiers socialistes, Jacques Roux, etc. Au cœur de Paris même, dans les noires et profondes rues ouvrières (les Arcis, Saint Michel) fermentait le socialisme, une révolution sous la révolution. Robespierre s’alarma, frappa, et se perdit…Dès cette heure, il était perdu.

    Les enragés, les hébertistes et les babouvistes tentèrent de dépasser le cadre de la révolution bourgeoise. De 1789 à 1794, la révolution a progressé par bonds successifs. Ensuite, la bourgeoisie a empêché les sans-culottes de pousser plus loin.

    Fin novembre 1793, puis le 9 thermidor (27 juillet) 1794 sont les points où la révolution atteint son apogée, et où le reflux commence.

    Karl Marx : « La théorie devient une force matérielle lorsqu’elle s’empare des masses. » (Critique de la philosophie du droit de Hegel).

    Karl Marx : « Des idées ne peuvent jamais mener au-delà d’un ancien état du monde, elles ne peuvent jamais que mener au-delà des idées de l’ancien état de choses. Généralement parlant, des idées ne peuvent rien mener à bonne fin. Pour mener à bonne fin des idées, il faut des hommes qui mettent en jeu une force pratique. » (La Sainte Famille)

    Dans les fracas de l’écroulement d’une vieille société, en même temps qu’il faut se battre aux frontières, la contre-révolution est là, partout, avec ses traîtres avoués, issus de l’ancien règne des rois et des prêtres, ou cachés en faux révolutionnaires qui ont peur d’être entraînés au-delà de leurs intérêts nés de la révolution.

    Ce qui distingue l’avant-garde des sans-culottes des Robespierristes et des Jacobins, c’est déjà une notion de classe, diffuse, certes, et que pour eux les mesures révolutionnaires ne sont pas de circonstance.

     

    Hébert et les hébertistes :

    Plébéiens : par plébéiens, j’entends des hommes issus du peuple ou proche du peuple, mais déjà élevés au-dessus du peuple, différenciés de celui-ci, et ayant, par conséquent, des intérêts particuliers distincts des siens. Qu’ils fussent d’origine populaire, comme Chaumette et Rossignol, où qu’ils fussent des bourgeois déclassés comme Hébert et Ronsin, ils n’étaient pas les interprètes directs et authentiques des bras nus.

    Les mots d’ordre du mouvement « exagéré », en partie repris de ceux de Jacques Roux et des Enragés sont : répression contre les accapareurs, taxes sur les « riches », création d’armées révolutionnaires, etc. Mis en cause pour ses positions « extrémistes », et pour son soutien à la déchristianisation, Hébert est attaqué par les « Indulgents », mais aussi par Robespierre.  En ventôses an II, les Cordeliers dénoncent les « endormeurs » du Comité de salut public et en appellent à une nouvelle insurrection. Le 23 ventôse (13 mars 1794), Hébert et ses amis (Ronsin, Momoro, Vincent, etc.) sont arrêtés. Condamnés à mort par le Tribunal révolutionnaire, ils sont guillotinés le 4 germinal (24 mars), quelques jours avant les Indulgents. Avec ce « drame de germinal », le gouvernement révolutionnaire se coupe d’une partie de son soutien révolutionnaire.

    Pour contenir les bras-nus, il fallait d’abord écraser l’hébertisme. Mais avant de frapper les hébertistes, il fallait, par une habile démagogie, les dissocier des masses.

    Saint-Just : « Ceux qui font des révolutions à moitié n’ont fait que se creuser un tombeau. La Révolution nous conduit à reconnaître ce principe que celui qui s’est montré l’ennemi de son pays n’y peut être propriétaire. […] Les propriétés des patriotes sont sacrées, mais les biens des conspirateurs sont là pour tous les malheureux. Les malheureux sont les puissances de la terre. Le gouvernement repose sur la liberté, l’état civil sur l’aristocratie. […] Pouvez-vous rester loin du peuple, votre unique ami ? […] Osez ! Ce mot renferme toute la politique de notre révolution. […] Ne souffrez point qu’il y ait un malheureux ni un pauvre dans l’Etat. »

    Hébert était partagé entre deux sentiments contraires : d’une part, la crainte (crainte du mouvement des masses, crainte de la répression gouvernementale) ; d’autre part, l’envie qu’il avait d’entrer au ministère de l’Intérieur, et d’y remplacer Paré, qui, protégé par Danton et Robespierre, lui avait soufflé ce portefeuille l’été précédent.

    Ecartelé entre la bourgeoisie et l’avant-garde populaire, Hébert n’avait eu que des velléités d’action, stimulées par l’ambition, refoulées par la peur.

    La bourgeoisie montagnarde hésita. La guerre n’était pas finie et, dans une certaine mesure, elle avait encore besoin de ménager les sans-culottes.

    Dans la nuit du 13 au 14 mars, Hébert et ses partisans se laissèrent prendre sans avoir tenté un geste de résistance. Le 24 mars (Hébert et 21 partisans guillotinés) sonna le glas de la démocratie populaire.

    La bourgeoisie écrasa, à travers l’hébertisme, l’embryon de la démocratie populaire qui, tout au long de la Révolution, l’avait fait trembler.

    Couthon, avec sa mauvaise foi coutumière, prononça : « Quarante-huit sociétés populaires dans Paris formaient le spectacle hideux du fédéralisme ; il est temps qu’il disparaisse de nos yeux. »

    La Commune de Paris, depuis longtemps, portait ombrage au pouvoir central. A travers les hébertistes, c’était la Commune qui était visée.

    Ainsi se termina le règne des plébéiens au ministère de la Guerre. Ainsi furent liquidés les hommes qui avaient réalisé l’œuvre peut-être la plus importante de la Révolution : la sans-cullotisation de l’armée.

    Les hébertistes furent éliminés essentiellement parce qu’ils étaient devenus un obstacle à la réalisation des desseins de la bourgeoisie révolutionnaire.

    Pendant quelques mois, le Montagne avait tendu un os à ronger aux sans-culottes. Ayant besoin d’eux pour vaincre la contre-révolution intérieure, et surtout, l’ennemi extérieur, elle leur avait fait un certain nombre de concessions ; elle avait tenté, dans une certaine mesure, d’atténuer les effets de l’inflation et de la vie chère ; elle avait agi, simultanément, sur la monnaie et sur les prix. L’heure du péril extrême était passée. Elle n’avait plus autant besoin des bras nus. Elle jugea le moment venu de commencer à leur reprendre ce qu’elle leur avait concédé.

    Par eux-mêmes, les hébertistes ne constituaient pas un obstacle sérieux. L’obstacle véritable, c’était l’avant-garde populaire.

    La liquidation des hébertistes laissa le mouvement des masses démoralisé, désarticulé, décapité, incapable d’opposer une résistance quelconque aux entreprises de l’adversaire.

    La chute de l’hébertisme créa les conditions permettant l’abandon progressif de la taxation et de la contrainte, le retour progressif au libéralisme économique.

    De plus en plus ouvertement la Terreur, détournée de son objet primitif, devenait une arme anti-ouvrière.

    Le journal Le Messager du soir raconta que, tandis que les municipaux robespierristes étaient conduits à la place de la Révolution pour y être guillotinés, les ouvriers leur témoignaient « un peu d’humeur », en les appelant plaisamment : « foutu maximum ».

    Sur la charrette qui l’emmène à la guillotine, Robespierre est insulté par des gens qui lui reprochent d’avoir institué la loi du maximum des salaires.

     

    Les sans culottes

    Jacques Roux, Théophile Leclerc, Jean Varlet. Les représentants principaux du mouvement révolutionnaire populaire.

     

    L’hostilité à l’ancien régime s’affiche par un vêtement : le sans-culotte s’impose sur le pavé parisien avant d’être chassé en Thermidor par le muscadin, réhabilitant l’élégance et le parfum, rétablissant une différence visible entre le pauvre et le riche.

    En 1789 et 1790, révolutionnaires et contre-révolutionnaires rêvent de régénérer le royaume.

    Selon Gabriel Sénac de Meilhan (1736-1803), auteur « Des Principes  et des causes de la Révolution en France », l’ancien régime est un « ordre de choses qui a longtemps duré ». Une même question hante tous ceux qui regrettent cet ordre ancien. Comment une tradition millénaire a-t-elle pu disparaître en quelques séances de l’Assemblée nationale ?

    « Dans six mois, dix siècles de respect et d’amour ont été effacés de la mémoire des cœurs », écrit Sénac à l’abbé Sabatier de Castres en 1792 et il reprend dans l’Emigré : « Je ne puis concevoir comment dans un si court espace des souvenirs gravés par la main des temps, pendant douze siècles, ont été effacés. ».

    La plupart des témoins effarés de cet effacement cherchent une explication extérieure. Si le système était bon, sa disparition provient de causes externes.

    En 1789, l’abbé Barruel écrit « Le Patriote véridique ou discours sur les vraies causes de la Révolution actuelle ». Le Comte Ferrand publie « Les Conspirateurs démasqués. ». L’abbé Jabineau écrit : « La vraie conspiration dévoilée ». Selon ces différents auteurs, développant la thèse du complot, les auteurs de la Révolution seraient : la franc-maçonnerie, les philosophes, les jésuites, les protestants, le duc d’Orléans,…

    Selon Sénac de Meilhan, à propos de la Fronde : « Les plus soudaines révolutions ont presque toujours des causes éloignées, et lorsqu’une légère circonstance amène un prompt renversement d’un Etat, c’est que tout était depuis longtemps préparé pour une révolution. »

    Montesquieu, dans Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence (1734) : « Si le hasard d’une bataille, c’est-à-dire, une cause particulière, a ruiné un Etat, il y avait une cause générale qui faisait que cet Etat devait périr par une bataille. »

    Il y a une différence entre les Jacobins (dont Robespierre) et les enragés. L’idéal des enragés n’est pas une société où richesse et pauvreté – avec moins d’écarts – s’équilibreraient harmonieusement. Ils ont bien senti que la richesse, en soi, était contre-révolutionnaire par les pouvoirs économiques et politiques qu’elle réservait à une minorité. Ce qu’ils souhaitent – mais il faut se sortir d’abord de la guerre, de la famine latente – c’est un bien-être en progression.

    Il y a donc des antagonismes entre les « hommes d’Etat », qui avaient à établir les armes à la main, la république bourgeoise, et les enragés qui, alors même que la république bourgeoise n’était pas assurée, tendaient vers une république populaire, sans avoir les moyens, eux, de faire de ce peuple – en immense majorité paysan – la classe dominante. Et ceci, en grande partie, à cause de la puissance de l’Eglise, objectivement alliée à la bourgeoisie possédante.

    Dès avant l’ouverture des Etats généraux, de nombreux auteurs opposent le riche et le pauvre tiers-états et estiment à l’approche des élections, en ce début de 1789, que les pauvres ne seront représentés que par des gens qui sont en opposition d’intérêt avec eux. Ce qui sera effectivement le cas.

    Exemple : le Chevalier de Moret, dans une lettre adressée à Necker en 1789 : « Cette classe du Tiers-État de la ville de Paris, dont les individus paient au-dessous de six livres de capitation… la dite-classe est sans contredit la plus nombreuse de la capitale, la plus utile et la plus précieuse à l’Etat. C’est elle en un mot, qui convertissant en or les matières les plus abjectes, est l’âme du commerce, donne l’existence et enrichit l’autre classe du Tiers-État. »

    Les enragés, Jacques Roux, Théophile Leclerc, Jean Varlet furent en 1793, les interprètes directs et authentiques du mouvement des masses. Pour Karl Marx, ils furent « les représentants principaux du mouvement révolutionnaire ».

    Saint-Just : « Les malheureux sont les puissances de la terre ; ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent. »

    Avec Gracchus Babeuf, tous quatre présentent un certain nombre de points communs. Ils avaient fait de bonnes études. Jacques Roux appartenait à une famille aisée. Il était fils d’un officier devenu magistrat. S’étant fait prêtre, il avait enseigné la philosophie et la physique expérimentale dans divers séminaires, pour exercer ensuite la fonction d’aumônier dans un château. Leclerc, fils d’un ingénieur des Ponts et Chaussées, avait reçu une certaine instruction. Varlet, commis des postes, appartenait également à une « bonne famille ». Il possédait un revenu annuel de 5800 livres et avait été un brillant élève du collège d’Harcourt. Babeuf, fils d’un officier, et lui-même arpenteur-géomètre et spécialiste du droit féodal, était fort instruit.

    Ils entrevirent que la guerre – la guerre bourgeoise, la guerre pour la suprématie commerciale – aggravent la condition des bras nus ; ils aperçurent la grande escroquerie de l’inflation, source de profils inouïs pour le riche, ruineuse pour le pauvre.

    Jacques Roux, le 25 juin 1793 : « La liberté n’est qu’un vain fantôme, quand une classe d’hommes peut affamer l’autre impunément. L’égalité n’est qu’un vain fantôme, quand le riche, par le monopole, exerce le droit de vie et de mort sur son semblable. La république n’est qu’un vain fantôme, quand la contre-révolution s’opère de jour en jour par le prix des denrées auquel les trois quarts des citoyens ne peuvent atteindre sans verser des larmes. […]. Les riches […], depuis quatre ans, ont profité des avantages de la révolution. L’aristocratie marchande, plus terrible que l’aristocratie nobiliaire et sacerdotale, s’est fait un jeu cruel d’envahir les fortunes individuelles et les trésors de la république. […]. ». « Les biens du clergé et les domaines nationaux ont presque tous passé dans les mains de personnes enrichies du sang de la veuve et de l’orphelin. »

    Ne pouvant sortir du cadre de la propriété privée, les enragés se contentèrent de réclamer des mesures destinées à limiter, et non à supprimer, les effets du système capitaliste alors naissant.

    Société des Amis de la Liberté et de l’Egalité – Séance du 5 août 1793 – Contre Jacques Roux et Leclerc.

    Revenant sur la proposition de Danton à la Convention, le 1° août, d’ériger le Comité de salut public en gouvernement provisoire, Vincent, secrétaire général du ministère de la guerre, la considère « comme attentatoire à la souveraineté du peuple, comme émanée de conspirateurs ». La vivacité de ces attaques amena une riposte immédiate de Robespierre. Délaissant Vincent, dont il sait la forte position au ministère de la guerre, mais l’audience bien moindre auprès des sans-culottes, Robespierre attaque Jacques Roux et Leclerc, adversaires plus redoutables par le rayonnement de leurs journaux dans les sections et dont les attaques systématiques contre la politique gouvernementale risquaient d’entraîner la sans-culotterie.

    Leclerc répliqua le 8 août, dans son Ami du peuple, en dénonçant le « système de calomnie dirigé contre les vrais amis de la liberté ». Dans son numéro suivant, il mettait Robespierre au défi de prouver ses accusations. Quant à Jacques Roux, il ne daigna pas répondre et poursuivit avec une vigueur accrue sa campagne contre les agioteurs et les accapareurs.

    Robespierre : « …Ces deux hommes, dénoncés par Marat, comme des intrigants, deux émissaires de Cobourg ou de Pitt qui, pour mieux empoisonner les sources de la crédulité populaire, ont pris, pour séduire le nom de Marat. ».

     

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