• (Partie 76) La mission de la franc-maçonnerie en France au XXI° siècle.

    Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine (1870-1924) : Il aurait été initié à la loge « L’Union de Belleville » du Grand Orient de France, à Paris, avant la guerre de 1914. Mais les archives de cet atelier ayant été dispersées, on ne possède plus de traces formelles de l’appartenance de Lénine à la Franc-maçonnerie. Il fut l’ami de Montéhus, qui était membre de la loge « L’Union de Belleville » à la même époque. Ayant pour suaire un drapeau de la Commune de Paris, la dépouille de Lénine, momifiée et exposée au Kremlin,  est figée à l’ordre d’apprenti.

    (Partie 76) La mission de la franc-maçonnerie en France au XXI° siècle. 

     

    Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine (1870-1924) : Il aurait été initié à la loge « L’Union de Belleville » du Grand Orient de France, à Paris, avant la guerre de 1914. Mais les archives de cet atelier ayant été dispersées, on ne possède plus de traces formelles de l’appartenance de Lénine à la Franc-maçonnerie. Il fut l’ami de Montéhus, qui était membre de la loge « L’Union de Belleville » à la même époque. Ayant pour suaire un drapeau de la Commune de Paris, la dépouille de Lénine, momifiée et exposée au Kremlin,  est figée à l’ordre d’apprenti.

     

    Marius Lepage :

     

    Roger Louis Emile Leray (1921-1991) : Ouvrier tourneur (1938-1943). Réfractaire au S.T.O.. Employé clandestinement dans un établissement de la Sarthe jusqu’en août 1944. Engagé volontaire dans la 2° DB. Démobilisé sergent-major, croix de guerre, deux citations. Ingénieur. Franc-maçon. Initié en 1957. Fondateur des loges de Sarcelles (1964) et Abbeville (1973). Grand Maître du Grand Orient (1979-1980) et (1980-1981).

     

    André Le Troquer (1884-1963) : Il se prononce contre la demande d’armistice en juin 1940. Il s’embarque à bord du paquebot Massilia. Membre du Conseil National de la Résistance (CNR) au 27 mai 1943.

     

    Pierre Piller, dit Gaston Leval (1895-1978) : Anarchiste. Journaliste au Libertaire. Combattant de la guerre civile espagnole. Animateur du groupe socialiste libertaire. Franc-maçon. 18° (Chevalier Rose+Croix). Chapitre « Agni ».

     

    Armand Lévêque (1889-1945 : décédé en déportation à Halberstadt, en Allemagne). Estampeur. Déporté. Franc-maçon. Vénérable de la loge « Droit et Justice », orient de Paris.

     

    Pierre André Lévêque (1922-1988) : Résistant. Franc-maçon. Compagnon de l’Arche Royale. Chevalier Bienfaisant de la Cité Sainte. Grand Maître de la province d’Occitanie (GLNF). Grand Maître de la Grande Loge de district d’Espagne (1980).

     

    Maurice Levillain (1892-1974) : Ouvrier mécanicien. Chef d’atelier. Militant socialiste. SFIO. Président du conseil général de la Seine. Sympathisant de la LICA. Sous l’occupation allemande, il est membre du Rassemblement National Populaire, parti collaborationniste de Marcel Déat (1941). Il en est vice-président à partir de janvier 1943. Franc-maçon. Membre des loges « Clarté » et « Les Frères Unis Inséparables », Grand Orient.

     

    Jean Pierre Lévy (1911-1996) : Chef du mouvement de résistance, Franc-Tireur.

     

    Daniel Ligou (1921-2013) : Franc-maçon. Historien. A écrit « Le dictionnaire de la Franc-maçonnerie ». Initié en 1949, dans sa ville natale à Montauban. Il rejoint la loge « Solidarité Progrès » à Dijon, dont il a été vénérable entre 1968 et 1970. A cette époque, il accède au Conseil de l’Ordre du GODF, qu’il quitte en 1973.

     

    Lortholary :

     

    Jean Luchaire (1901- mort fusillé le 22 février 1946 au fort de Châtillon) : Journaliste et patron de presse. Franc-maçon. Orateur de Loge. Collaborationniste. Homme de gauche, briandiste zélé des années 30, il se fait le promoteur d’un rapprochement entre la France et l’Allemagne. Ami d’Abetz. Il fonde en 1927, le mensuel Notre Temps, qui appuie le pacifisme, et qui a pour collaborateurs : Bertrand de Jouvenel, André Weil-Curiel, Jacques Chabannes, Pierre Brossolette et Pierre Mendès-France. En novembre 1940, il fonde le journal collaborationniste Les Nouveaux Temps.

     

    M

     

    Aimé Machon (1878-1936) : Pharmacien. Franc-maçon. Chancelier du Grand Collège des Rites.

     

    Henry Malacrida (1903-1965) : Professeur. Un des chefs du groupe Libération et du Parti socialiste clandestin. Franc-maçon. Initié en 1933 à la loge « L’Etoile de Crau ». Révoqué par le gouvernement de Vichy. Membre du Conseil de l’Ordre du Grand Orient (1945). Grand Orateur (1950). Grand Maître adjoint (1951-1952).

     

    Jean Charles Mamy Pseudonyme : Paul Riche (1902-1949) : Réalisateur, monteur, acteur, scénariste, journaliste. Franc-maçon. Vénérable de la Loge « Renan », du Grand Orient de France. En 1940, il devient journaliste de la collaboration. Il est rédacteur en chef de L’Appel, le journal de Pierre Costantini, membre du Parti populaire français (PPF) et surtout à la pointe de la lutte contre la franc-maçonnerie qu’il rend responsable de tous les maux dont la France est accablée. Son dernier film, Forces occultes (1943) est une œuvre de propagande, attaque virulente contre la franc-maçonnerie, le parlementarisme et les juifs, dénonçant un complot judéo-maçonnique. Il est fusillé le 29 mars 1949 au fort de Montrouge, à Arcueil.

     

    Georges Mandel, de son vrai nom Louis Georges Rothschild (1885-assassiné le 7 juillet 1944 en forêt de Fontainebleau par la Milice française) : Journaliste. Conservateur.

    Jacques Gagliardi, ancien dirigeant de l’UIMM, ex-comité des forges, déclare dans un entretien au journal Le Monde du 24 juillet 2008 : « Tout le monde sait bien qu’avant 1914 des campagnes électorales sont financées par le Comité des Forges. M. Georges Mandel, qui était d’origine très modeste, menait grand train, et tout le monde se demandait d’où il tirait son train de vie. Eh bien, c’était le Comité des Forges qui subvenait à ses besoins, comme pour bien d’autres. ».

     

    Paul Henri Marie Joseph Marcchandeau (1882-1968) : Avocat. Maire de Reims (1925). Député de la Marne (1926-1942). Plusieurs fois ministre de 1930 à 1939. Auteur du décret-loi d’avril 1939 interdisant toute manifestation et toute parole hostile aux juifs. Franc-maçon. Initié en octobre 1904 à la loge « Orion », orient de Gaillac. Membre de la loge « La Sincérité », orient de Reims et de l’Association fraternelle des Journaliste.

     

    Ludovic Marcos :

     

    Jacques Maréchal :

     

    Gaston Havrard, dit Jean Marestan (1874-1951) : Militant anarchiste. Membre de la Fédération de la Libre Pensée. Auteur de : L’émancipation sexuelle en URSS (1836) et de A Marseille sous l’occupation allemande. Franc-maçon. Membre du groupe d’études ésotériques de Papus. Membre de la loge « La Parfaite Union », Grand Orient.

     

    Marguliès :

     

    André Marie :

     

    André Maroselli :

     

    Jean Marie Rivière, dit Jean Marquès-Rivière (1903-2000) : Ecrivain et journaliste. D’abord sollicité par la théosophie et la franc-maçonnerie, il s’intéresse par la suite au traditionalisme de René Guénon. Auteur de : L’Organisation secrète de la Franc-MaçonnerieComment la Franc-Maçonnerie fait une révolutionLes Grands secrets de la Franc-maçonnerieLa Trahison spirituelle de la Franc-Maçonnerie (ce dernier ouvrage est un réquisitoire contre la franc-maçonnerie), et Histoire de la Franc-Maçonnerie françaiseLes Rituels secrets de la Franc-Maçonnerie, etc. Franc-maçon. Initié à la Grande Loge. Démissionne en 1931 et trahit la franc-maçonnerie en collaborant sous le pseudonyme de Verax à La France catholique. Sous l’Occupation il adopte une politique de collaboration avec les nazis et contribue à la propagande par la publication de pamphlets violemment antisémites et antimaçonniques. Auteur de brochures anti-maçonniques : Les Documents NouveauxLes Documents maçonniques, dont il fut co-rédacteur en chef avec Robert Vallery-Radot de 1941 à 1944. Il était le scénariste du film de Jean Mamy, Forces occultes (1943). Directeur de l’un des départements du Service des sociétés secrètes fonctionnant au sein du Ministère de la Justice. Vit à l’étranger après la Libération. On n’est jamais trahi que par les siens !

     

    Adrien Marquet :

     

    André Marquet (1884-1955) : Chirurgien-dentiste. Issu de l’extrême-gauche. Député et maire socialiste de Bordeaux, ministre du Travail du gouvernement Gaston Doumergue II, il est ministre de l’Intérieur dans les gouvernements Pétain et Laval.  Il prône la collaboration avec l’Allemagne. Concernant la franc-maçonnerie, il déclare : « Pour le Maréchal, un Juif n’est jamais responsable de ses origines, un Franc-maçon l’est toujours de son choix ».

    Membre de la SFIO, il affirme, en 1933 : « « Ah ! Si la grande force que représente le socialisme était capable d’apparaître, dans le désordre actuel, comme un îlot d’ordre et un pôle d’autorité, quelle influence serait la sienne, quelles possibilités d’actions véritables s’offriraient alors à lui ! La dominante, dans l’opinion publique, c’est la sensation du désordre et de l’incohérence… Ordre et autorité sont, je crois, les bases nouvelles de l’action que nous devons entreprendre pour attirer à nous les masses populaires, sans le concours desquelles le [Secrétaire Général de la SFIO] Paul Faure indiquait que rien de grand ne pourrait être tenté… ». A quoi Léon Blum répond : « Il y a eu un moment, Marquet, où je me suis demandé si ce n’était pas le programme d’un Parti social-national de dictature. »

     

    Yves Marsaudon :

     

    Gaston Martin (1886-1960) : Instituteur. Professeur d’histoire à la faculté de Bordeaux. Député (1932-1936). Auteur de : Histoire de la Franc-maçonnerie française. Franc-maçon. 31°. Membre du Conseil de l’Ordre du Grand Orient.

     

    Georges Martin :

     

    Henri Jean Eugène Martin (1903- ?) : Propriétaire vigneron. Député de la Marne (1936-1942). Franc-maçon. Initié le 14 février 1926 à la loge « La Bienfaisance », orient de Reims.

     

    Marguerite Martin :

     

    André Marty (1886-1956) : Ingénieur mécanicien de la Marine. Directeur-adjoint de l’Humanité. Député de la Seine-et-Oise (1924-1928), de la Seine (1929-1932) et (1936-1940). Membre de l’Assemblée Consultative (1944-1945) et des deux Constituantes (1945-1946).  Franc-maçon. Initié à la loge « La Parfaite Union », Grand Orient. Membre de la loge « Saint-Jean des Arts et de la Régularité n° 112 », orient de Perpignan, Grande Loge. Il participe également aux travaux de la Loge « L’Action écossaise », toujours affiliée à la Grande Loge de France. Il prononce une conférence sur « La guerre en mer » à la Loge « Saint-Jean des Arts et de la Régularité », de Perpignan. Défendu par le convent du Grand Orient de 1922, alors qu’il était emprisonné. Il quitta la maçonnerie en 1923, sur les injonctions du PCF, mais garda toujours des relations amicales avec certains de ses anciens frères. Dirigeant du Parti Communiste Français, exclu en mars 1953. Il a également été député, de 1924 à 1955, avec quelques interruptions, et secrétaire de l’Internationale communiste de 1935 à 1943.

     

    Jean Martinon (1910-1976) : Chef d’orchestre et compositeur. Il a composé la musique du film Forces occultes (1943).

     

    Charles Marie Photius Maurras (1868-1952) : Journalise, essayiste, poète, théoricien du nationalisme intégral. Il dirige le journal L’Action française, fer de lance du mouvement Action française, autour de Léon Daudet, Jacques Bainville et Maurice Pujo. Nationaliste et contre-révolutionnaire, l’Action française prône une monarchie traditionnelle, héréditaire, antiparlementaire et décentralisée, mais également un antisémitisme d’Etat. Il soutint le régime de Vichy. Le 28 janvier 1945, la cour de justice de Lyon déclare Charles Maurras coupable, de haute trahison et d’intelligence avec l’ennemi et le condamne à la réclusion criminelle à perpétuité et à la dégradation nationale.

     

    Daniel Mayer (1909-1996) : Résistant. Socialiste, il entre dans la résistance en juillet 1940. Il fonde dès mars 1941 le Comité d’Action Socialiste et anime les réseaux de résistants socialistes. Secrétaire général du Parti Socialiste SFIO de 1943 à 1946.

     

    Allec Mellor :

     

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