• (Partie 63 ) La mission de la franc-maçonnerie en France au XXI° siècle.

    Victor Henri de Rochefort, marquis de Rochefort-Luçay, plus connu sous le nom d’Henri Rochefort (1831-1913) : Franc-maçon. Sous l’Empire, il fonde La Lanterne, puis La Marseillaise.  Membre des Amis de la Renaissance. Le célèbre polémiste fut initié le 17 novembre 1870 à la loge « Les Amis de la Patrie », orient de Paris. Il cessa de « maçonner » à son retour d’exil. Fait partie du gouvernement de la Défense nationale. Sous la Commune, il s’élève dans ses écrits contre les Versaillais. Il fut sauvé par Thiers sur la requête de Victor Hugo. Le journaliste avouera lui-même, dans une lettre à Edmond About, qu’il devait la vie à Thiers. Condamné à la déportation, il s’évade. Après l’amnistie, il fonde L’Intransigeant. Au retour du bagne de Nouvelle-Calédonie, il se rapproche progressivement du boulangisme et de l’extrême droite. Lorsqu’éclate l’affaire Dreyfus, il laisse libre cours à son antisémitisme pour mener campagne avec les « anti ». A écrit en 1896-1898 : Les aventures de ma vie.

    Antiparlementariste, antidémocrate révolutionnaire. Créateur de divers mouvements politiques nationaux et socialistes, dont La Ligue Intransigeante Socialiste et le Parti Républicain Socialiste Français. Animateur du boulangisme de gauche. Antisémite militant, il est une des grandes figures de l’antidreyfusisme de gauche. Dans son article « Le triomphe de la juiverie », paru dans Le Courrier de l’Est le 20 octobre 1899, il y menace les juifs d’un « effroyable mouvement antisémitique ». Il devient monarchiste.

     

    (Partie 63 ) La mission de la franc-maçonnerie en France au XXI° siècle.

     

    Paul Charles Louis Jean Robin (1837-1912) : Instituteur. Professeur de physique. Bakouniniste. Membre du conseil général de l’Internationale en 1870-1871. Après avoir participé à la Commune, il s’exile à Londres de 1871 à 1879. Ensuite, néomalthusien. Il se suicide en 1912.

     

    Jean François Eugène Robinet (1825-1899) : Médecin et publiciste. Maire du VI° arrondissement en 1870. Elu membre du Conseil de la Commune, il refuse d’y siéger,et démissionne le 30 mars, mais proteste ensuite avec vigueur contre la répression. Il aide avec le groupe positiviste, un grand nombre de proscrits à y échapper. Ami d’Auguste Comte, historien de Danton.

     

    Eugénie Robit : Communarde.

     

    Ernest Roche (1850-1917) : Ouvrier graveur. Socialiste blanquiste, délégué des associations syndicales ouvrières au Congrès socialiste de Marseille. Responsable de la rubrique ouvrière de l’Intransigeant.

    Député boulangiste en 1889, réélu en 1893, il adhère au groupe socialiste parlementaire. Lors de l’affaire Dreyfus, il rallie le mouvement nationaliste. Président du Parti Républicain Socialiste Français.

    Dans l’Appel de son comité électoral, on lit en 1898 : « N’oublions pas […] que dans l’abominable conspiration dreyfusarde qui paralyse les affaires, tue le travail et déshonore la patrie, Ernest Roche a, par deux fois, à la tribune de la Chambre, démasqué et flétri les traîtres et tous ceux qui, à la solde de la juiverie et de l’Allemagne, visent à affaiblir la France et la République ».

     

    Madame de Rochebrune : Pétroleuse qui venge la mort de son mari, le fusil au poing.

     

    Victor Henri de Rochefort, marquis de Rochefort-Luçay, plus connu sous le nom d’Henri Rochefort (1831-1913) : Franc-maçon. Sous l’Empire, il fonde La Lanterne, puis La Marseillaise.  Membre des Amis de la Renaissance. Le célèbre polémiste fut initié le 17 novembre 1870 à la loge « Les Amis de la Patrie », orient de Paris. Il cessa de « maçonner » à son retour d’exil. Fait partie du gouvernement de la Défense nationale. Sous la Commune, il s’élève dans ses écrits contre les Versaillais. Il fut sauvé par Thiers sur la requête de Victor Hugo. Le journaliste avouera lui-même, dans une lettre à Edmond About, qu’il devait la vie à Thiers. Condamné à la déportation, il s’évade. Après l’amnistie, il fonde L’Intransigeant. Au retour du bagne de Nouvelle-Calédonie, il se rapproche progressivement du boulangisme et de l’extrême droite. Lorsqu’éclate l’affaire Dreyfus, il laisse libre cours à son antisémitisme pour mener campagne avec les « anti ». A écrit en 1896-1898 : Les aventures de ma vie.

    Antiparlementariste, antidémocrate révolutionnaire. Créateur de divers mouvements politiques nationaux et socialistes, dont La Ligue Intransigeante Socialiste et le Parti Républicain Socialiste Français. Animateur du boulangisme de gauche. Antisémite militant, il est une des grandes figures de l’antidreyfusisme de gauche. Dans son article « Le triomphe de la juiverie », paru dans Le Courrier de l’Est le 20 octobre 1899, il y menace les juifs d’un « effroyable mouvement antisémitique ». Il devient monarchiste.

     

    Louis Augustin Rogeard (1820-1896) : Elève de l’Ecole normale supérieure de Paris, docteur ès lettres, enseignant privé, il est révoqué pour son refus de prêter serment de fidélité à l’Empereur Napoléon III. En 1864, il crée le journal La Rive Gauche, où il écrit en 1865, les Propos de Labienus. Il est élu aux élections complémentaires du 16 avril 1871 au Conseil de la Commune. Mais il démissionne jugeant le nombre de ses électeurs trop faible.

     

    Jean Théoxène Roques de Filhol (1824-1889) : Maire de Puteaux pendant le siège de Paris et pendant la Commune de 1871, il fut accusé par le gouvernement de Versailles d’avoir favorisé l’insurrection communaliste. Arrêté, il fut condamné par le 4° conseil de guerre aux travaux forcés à perpétuité.

     

    Louis Nathaniel Rossel (1844-1871) : Colonel de l’armée française. Il rejoint la Commune le 19 mars 1871. Le 3 avril, il est chef d’état-major de la Commune. Il écrit ses souvenirs (« Mon rôle pendant l’insurrection »), dans la prison de Versailles, quelques jours avant son exécution. Voir : Mémoires et correspondance de Louis Rossel (1908). Il est fusillé par les Versaillais le 28 novembre 1871.

     

    Armand Gustave Rouanet (1855-1927) : Fils d’un proscrit du 2 décembre 1851. Journaliste. Conseiller municipal  et député de Paris. Franc-maçon. Disciple de Benoît Malon, dont il devient le secrétaire. Entraîné en maçonnerie par Malon.

    Partisan d’un socialisme national, opposé au socialisme allemand, il rend hommage à Drumont : « Sa guerre au capitalisme juif témoigne sans doute d’une préoccupation louable ». (La question juive et la question sociale, dans La Revue Socialiste, n° 62, février 1880, page 233).

    Rédacteur, avec Malon, du journal des « socialistes indépendants », La Revue Socialiste, qui prône un socialisme national et antisémite. Selon Rouanet, la Révolution française est le « plus glorieux événement, non seulement de l’histoire de France, mais de l’histoire du monde. » (La Revue Socialiste, n° 30, juin 1887, page 581). Collaborateur de Le Cri de Jules Vallès, rédacteur en chef de l’Humanité. Député de la Seine (1893-1914). Auteur de : Les complicités de Panama (1893) et de Les juifs de Roumanie (1902). Membre de la loge « Les Vrais Amis », orient de Paris et de la loge « La Raison », orient de Paris.

     

    Victorine Rouchy-Brocher (1838-1921) : Piqueuse de bottines. Son père est un cordonnier franc-maçon et républicain. Adhère à l’Association internationale des travailleurs et y entraîne son mari. Ambulancière. A publié Victorine B…Souvenirs d’une morte vivante en 1909. Plusieurs femmes furent fusillées en 1871 parce qu’on pensait qu’elles étaient Victorine…

    Dans le Journal Officiel de la Commune du 17 mai 1871, on lit : « Défenseurs de la république. Turcos de la Commune. Le bataillon félicite notre cantinière, la citoyenne Charles Rouchy, du courage qu’elle a montré en suivant le bataillon au feu, et de l’humanité qu’elle a eue pour les blessés dans les journées du 29 et 30 avril. ».

     

    Jean Pierre Rouillac (1852-1872) : Ouvrier journalier. Accusé sans preuves, dans l’affaire des Dominicains d’Arcueil. Exécuté à Satory le 6 juillet 1872.

     

    Rousseau : Membre du Comité central de la Garde nationale.

     

    Elise Rousseau, femme Cabot (née en 1832) : Elle a suivi le 84° bataillon. Elle a fait arrêter un garde national qui fut exécuté pour trahison. Elle a déclaré avoir tiré quatorze coups de canon. Condamnée à quinze ans de travaux forcés.

     

    Rousselet : Franc-maçon. De la Loge des « Travailleurs », orient de Levallois. Signataire de l’appel du 5 mai 1871.

     

    Auguste Roussel dit Roussel de Méry : Auteur du patriotique Lion surpris.

     

    André Rousselle :

     

    Pierre Maurice Rouvier (1842-1911) : Membre de l’Assemblée nationale de 1871. Député en 1876. Sénateur des Bouches-du-Rhône. Plusieurs fois ministre. Président du Conseil (1905-1906). Franc-maçon. Membre de la loge « La Réforme », orient de Marseille.

     

    Adolphe Royannez (1829-1894) : Publiciste. Membre de la Commune de Marseille, compagnon de Gaston Crémieux, proscrit en 1851.

     

    Clémence Royer (1830-1902) : Fille d’un Chouan de 1832 qui fut obligé de s’exiler. Partage la vie de Pascal Duprat en 1863. Franc-maçonne. Féministe. Elle cofonde avec Maria Deraismes l’obédience mixte le Droit Humain, en 1893. Elle est reçue apprentie lors de la première tenue de l’obédience, le 14 mars 1893. Présidente d'honneur de la Loge Mère. A publié des ouvrages scientifiques.

     

    Rudoyer : Franc-maçon. De la Loge des « Amis de la paix », orient d’Angoulême. Signataire de l’appel du 5 mai 1871.

     

    S

     

    Saint-Albin :

     

    Antoine de Saint-Jean (1809-1883) : Docteur en médecine. Franc-maçon. Il est initié le 17 juillet 1834, à la loge « Saint Pierre des Vrais Amis » et accède au vénéralat en 1837. Réélu 11 fois à cette charge. Elu en 1857 au Conseil du Grand Maître. Joue un rôle important dans l’élimination de Murat. Régulièrement réélu à ce Conseil, puis au Conseil de l’Ordre jusqu’à sa mort. Président du Conseil de l’Ordre de 1865 à 1871, vice-président en 1871-1872, puis à nouveau président de 1872 à 1883. Ami de Gambetta. Pendant la Commune, il appuie, au nom du Conseil de l’Ordre, l’initiative prise par « Les Disciples du Progrès » de jeter un pont sur des bases humanitaires entre Versailles et les insurgés. Après l’échec de la rencontre avec Jules Simon, il approuve l’envoi d’une seconde délégation, car la majorité de ses membres est toujours composée de « conciliateurs ». Toutefois, il s’oppose à la manifestation du 29 avril, comprenant que le ralliement à la Commune risque de provoquer de graves ennuis ultérieurs au Grand Orient.

    Le Conseil de l’Ordre qu’il préside, réuni le 29 mai, soit après la chute de la Commune, dénonce les manifestations de maçons « ou soi-disant tels » qui se sont compromis avec l’insurrection, afin de freiner une campagne antimaçonnique, conduite par les monarchistes. En effet, le 29 ami 1871, il affirme au nom du Conseil de l’Ordre : la Maçonnerie « est restée parfaitement étrangère à la criminelle sédition qui a épouvanté l’univers, en couvrant Paris de sang et de ruines, qu’il n’y a aucune solidarité possible entre ses doctrines et celles de la Commune et si quelques hommes indignes du nom de Maçon ont pu tenter de transformer notre bannière pacifique en drapeau de guerre civile le Grand Orient les répudie comme ayant manqué à leurs devoirs les plus sacrés. » Et il propose que le Convent, fixé en septembre, étudie « les mesures à prendre au sujet des manifestations en faveur de la Commune ». Le Conseil de l’Ordre publie « Les Francs-maçons et la Commune : du rôle qu’a joué la Franc-maçonnerie pendant la guerre civile » (Paris, 1871), du même ton. Le Convent n’alla pas aussi loin : Les Constitutions d’Anderson interdisent les exclusions pour « complot », mais jugea prudent de ne pas discuter la proposition de Desmons d’amnistie générale. Le dernier mot est prononcé par le frère Caubet, orateur : « La Franc-maçonnerie française, dans l’immense majorité de ses membres, ne s’est mêlée à nos discordes civiles que dans un but louable d’apaisement et de conciliation. ».

     

    Le comte de Saint-Laurent :

     

    Emile Joseph Adrien de Saint Omer (1827-1872) : Négociant. Elu lieutenant au 74° bataillon, blessé à Neuilly. Exécuté à Satory le 25 juillet 1872.

     

    Paul Jacques Raymond Binns de Saint-Victor (1825-1881) : Essayiste et critique littéraire. A publié en 1872 : Barbares et bandits : la Prusse et la Commune.

     

    Claude Henri de Rouvroy, comte Saint-Simon (1760-1825) : Sous-lieutenant (1777). Participe à la guerre d’Indépendance Américaine. Colonel (1788). Se consacre à la philosophie. Chef de l’école dite Saint-simonienne, qui eut une influence considérable sur le mouvement social du XIX° siècle. Œuvres complètes publiées en 20 volumes de 1865 à 1869 ; par son disciple Enfantin. Franc-maçon. Membre de la lige « L’Olympique de la Parfaite Estime », orient de Paris. Membre de La Société Olympique, à Paris (1786).

     

    Jean Marie Joseph Théodore Saisset ou de Saisset, appelé l’amiral Saisset (1810-1879).  : Amiral. Nommé général en chef de la Garde national de Paris au début de la Commune de Paris, il tente une difficile médiation entre Paris et le gouvernement réfugié à Versailles. Désavoué par l’Assemblée nationale, qui refuse toute concession, Saisset démissionne de la garde nationale et reprend place à l’Assemblée nationale.

     

    Armandin Lucile Aurore Dupin, baronne Du devant, dite Georges Sand (1804-1876) : Romancière et femme de lettres. Elle manifeste une forte hostilité à la Commune de Paris. Le 22 mars, elle écrit, à propos des communards : « Ce sont des ânes, grossiers et bêtes, ou des coquins de bas étages. La foule qui les suit est en partie dupe et folle, en partie ignoble et malfaisante ». Le 23 mars : « Ils pillent les munitions, les vivres. Leur Officiel est ignoble. Ils sont ridicules, grossiers et on sent qu’ils ne savent que faire de leurs coups de main ». Le 6 avril : « Tout va bien pour les Versaillais. La déroute des Fédérés est complète. On continue à voler et à arrêter dans Paris. On ne peut plaindre l’écrasement d’une pareille démagogie ».

     

    Louis Benoît Félix Santallier (1830-1885) : Franc-maçon. Journaliste. Maçon et chef de file du courant républicain havrais. Initié à « L’Aménité », du Grand Orient de France, le 1° octobre 1860, il est Rose-Croix en 1866. Acquis au principe de l’égalité entre les frères, il prend position au Convent de 1871 contre le maintien des hauts grades. Vénérable de « L’Aménité » en 1871, il œuvre à la rédaction du Manifeste de la maçonnerie havraise qui appelle communards et versaillais à cesser « l’effusion du sang français » au nom des intérêts supérieurs de la nation.

     

    Théodore Emmanuel Sapai (1838-1871) : A signé l’Affiche rouge. Le 7 octobre 1870, commandant du 146e bataillon de la Garde mobile, il essaie en vain d'entraîner ses troupes contre le gouvernement. Tué le 22 janvier 1871 lors de la fusillade qui a suivi le soulèvement à Paris, place de l’Hôtel de Ville, contre le gouvernement de Défense nationale, fusillade commandée par Gustave Chaudey.

     

    Francisque Sarcey (1827-1899) : Critique dramatique et journaliste. Fils de canut lyonnais. En 1848, il entre à l’Ecole normale supérieure. Enrôlé dans la Garde nationale durant le siège. Il en tire un livre de souvenirs : Le Siège de Paris : impressions et souvenirs (1871). Pendant la Commune, il publie une brochure hebdomadaire, Le Drapeau tricolore. Il y écrit une série d’articles anti-communards dans lesquels il se résout à ce qu’on doive fusiller « 80000 gredins » pour sauver l’ordre bourgeois et républicain. Il s’en prend violemment à Jules Vallès, « rongé de ce double cancer de la haine et de la fainéantise », et à Victor Hugo, « le manitou de la Commune ».

     

    Saugé : Franc-maçon. Cordonnier. Vénérable. Signataire du Manifeste de la Franc-maçonnerie du 8 avril 1871. Vénérable de la loge « Les Disciples du Progrès ». Il rédige le 8 avril 1871 un manifeste conciliateur, approuvé par 12 vénérables parisiens, dont le docteur Bécourt et Montanier. Il glisse des conciliateurs aux pro-communards. Le 26 avril, il préside l’assemblée des francs-maçons du Châtelet.

     

    Caignard de Saulcy :

     

    Marie Schmitt (née en 1837) : Femme d’un fabricant d’équipements militaires. Elle suit son mari, le garde national Gaspard, au 101° bataillon. On la vit revêtue d’un uniforme, et portant un fusil, faire le coup de feu dans la défense de la Butte-aux-Cailles. Son attitude hardie à l’audience indispose le Conseil de Guerre :

    -- Je regrette, dit-elle, de ne pas avoir fait tout ce qu’on me reproche.

    Elle est envoyée en Nouvelle-Calédonie.

     

    Victor Schœlcher (1804-1893) : Franc-maçon. Il adhère à la franc-maçonnerie à la loge « Les Amis de la Vérité » à Paris, avant 1848, puis à « La Clémente Amitié » et à la Société pour l’abolition de l’esclavage. Ayant voyagé aux colonies, il se fit l’apôtre de l’abolition de l’esclavage, qu’il réalisa le 24 avril 1848, lorsqu’il fut ministre de la Marine du gouvernement provisoire. Député à la Législative de 1849. Proscrit après le 2 décembre. Après l’exil, il fréquenta « La Renaissance par les Emules d’Hiram », orient de Paris. Après l’abdication de Napoléon III, il est réélu grâce aux réseaux maçonniques des Antilles, député de la Martinique à l’Assemblée nationale de mars 1871 à décembre 1875. Sénateur inamovible.

    Dans le Journal Officiel de la Commune du 12 mai 1871, on peut lire :

    « Le citoyen Schœlcher a été arrêté ce soir aux Tuileries. Il s’y trouvait en compagnie du citoyen Cernuschi. C’est un lieutenant de la garde nationale, le citoyen Barrois, qui a invité le député Schœlcher à le suivre à l’ex-préfecture de police ;

    Le délégué à la sûreté générale a maintenu l’arrestation du citoyen Schœlcher. L’ex-représentant du peuple de Paris est accusé de connivence avec l’ennemi. ».

     

     

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