• (Partie 3) Les apparitions de Marie aux XIX°, XX° et XXI° siècles.

    Le premier secret tel que l'avait rédigé sœur Lucia :

    « Notre-Dame nous montra une grande mer de feu, qui paraissait se trouver sous la terre et, plongés dans ce feu, les démons et les âmes, comme s'ils étaient des braises transparentes, noires ou bronzées, avec une forma humaine. Ils flottaient dans cet incendie, soulevés par les flammes, qui sortaient d'eux-mêmes, avec des nuages de fumée. Ils retombaient de tous côtés , comme les étincelles retombent dans les grands incendies, sans poids ni équilibre, avec des cris et des gémissements de douleur et de désespoir qui horrifiaient et faisaient trembler de frayeur. Les démons se distinguaient par leurs formes horribles et dégoûtantes d'animaux épouvantables et inconnus, mais transparents et noirs. Cette vision dura un moment. »

    (Partie 3) Les apparitions de Marie aux XIX°, XX° et XXI° siècles.

     

    FATIMA

     

    Le premier secret tel que l'avait rédigé sœur Lucia :

    « Notre-Dame nous montra une grande mer de feu, qui paraissait se trouver sous la terre et, plongés dans ce feu, les démons et les âmes, comme s'ils étaient des braises transparentes, noires ou bronzées, avec une forma humaine. Ils flottaient dans cet incendie, soulevés par les flammes, qui sortaient d'eux-mêmes, avec des nuages de fumée. Ils retombaient de tous côtés , comme les étincelles retombent dans les grands incendies, sans poids ni équilibre, avec des cris et des gémissements de douleur et de désespoir qui horrifiaient et faisaient trembler de frayeur. Les démons se distinguaient par leurs formes horribles et dégoûtantes d'animaux épouvantables et inconnus, mais transparents et noirs. Cette vision dura un moment. »

     

    Le deuxième secret était la suite logique :

    « Notre-Dame nous dit : Vous avez vu l'enfer où vont les âmes des pauvres pécheurs. Pour les sauver, Dieu veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur immaculé. Si l'on fait ce que je vais vous dire, beaucoup d'âmes seront sauvées et on aura la paix. La guerre va finir. Mais si l'on ne cesse d'offenser Dieu, sous le pontificat de Pie XI, en commencera une autre pire encore. Lorsque vous verrez une nuit illuminée par une lumière inconnue (1), sachez que c'est le grand signe que Dieu vous donne qu'Il va punir le monde de ses crimes par le moyen de la guerre, de la faim et des persécutions contre l’Église et le Saint-Père. Pou empêcher cette guerre, je viendrai demander la consécration de la Russie à mon Cœur immaculé et la communion réparatrice des premiers samedis. Si on accepte mes demandes, la Russie se convertira et on aura la paix ; sinon elle répandra ses erreurs à travers le monde, provoquant des guerres et des persécutions contre l’Église. Les bons seront martyrisés, le Saint-Père aura beaucoup à souffrir, diverses nations seront détruites. A la fin, mon Cœur immaculé triomphera. Le Saint-Père me consacrera la Russie , qui se convertira , et il sera concédé au monde un certain temps de paix. »

     

    Le troisième message était le plus hermétique de tous :(2)

    « Après les deux parties que j'ai déjà exposées, nous avons vu sur le côté gauche de Notre-Dame, un peu plus en hauteur, un ange avec une épée de feu dans la main gauche ; elle scintillait et émettait des flammes qui, semblait-il, devaient incendier le monde , mais elles s'éteignaient au contact de la splendeur qui émanait de la main droite de Notre-Dame en direction de lui ; l'ange, indiquant la terre avec sa main droite , dit d'une voix forte : «  Pénitence ! Pénitence ! Pénitence ! » Et nous vîmes dans une lumière immense qui est Dieu – quelque chose de semblable à la manière dont se voient les personnes dans un miroir quand elles passent devant – un évêque vêtu de blanc, nous avons eu le pressentiment que c'était le Saint-Père. Divers autre évêques, prêtres, religieux et religieuses montaient sur une montagne escarpée, au sommet de laquelle il y avait une grande croix en troncs bruts, comme s'ils étaient en chêne-liège avec leur écorce ; avant d'y arriver, le Saint-Père traversa une grande ville à moitié en ruines et, à moitié tremblant, d'un pas vacillant, affligé de souffrance et de peine, il priait pour les âmes des cadavres qu'il trouvait sur son chemin ; parvenu au sommet de la montagne, prosterné à genoux devant la grande croix, il fut tué par un groupe de soldats qui tirèrent plusieurs coups avec une arme à feu et des flèches ; et de la même manière moururent les uns après les autres les évêques, les prêtres, les religieux et religieuses et divers laïcs, hommes et femmes de classes et de catégories différentes. Sous les deux bras de la croix, il y avait deux anges, chacun avec un arrosoir de cristal à la main, dans lequel ils recueillaient le sang des martyrs et avec lequel ils irriguaient les âmes qui s'approchaient de Dieu. »

     

    Troisième secret de Fatima. Texte rendu public par le Saint Siège en 2000 :

    « La troisième partie du secret révélé le 13 juillet 1917 dans la Cova de Iria-Fatima. J'écris en obéissance à Vous, mon Dieu, qui me le commandez par l'intermédiaire de Son Excellence Révérendissime Monseigneur l’Évêque de Leiria et de Votre Très Sainte Mère, qui est aussi la mienne.

    Après les deux parties que j'ai déjà exposées, nous avons vu sur le côté gauche de Notre-Dame, un peu plus en hauteur, un Ange avec une épée de feu dans la main gauche : elle scintillait et émettait des flammes qui, semblait-il, devaient incendier le monde : mais elles s'éteignaient au contact de la splendeur qui émanait de la main droite de Notre-Dame en direction de lui : l'Ange indiquant la terre avec sa main droite , dit d'une voix forte : Pénitence ! Pénitence ! Pénitence ! Et nous vîmes dans une lumière immense qui est Dieu : « Quelque chose de semblable à la manière dont se voient les personnes dans un miroir, quand elles passent devant » un Évêque vêtu de blanc, « nous avons eu le pressentiment que c'était le Saint-Père ». Divers autres Évêques, Prêtres, religieux et religieuses monter (sic) sur une montagne escarpée au sommet de laquelle il y avait une grande Croix en troncs bruts, comme s'ils étaient en chêne liège avec leur écorce : avant d'y arriver, le Saint-Père traversa une grande ville à moitié en ruines et à moitié tremblant, d'un pas vacillant, affligé de souffrance et de peine, il priait pour les âmes des cadavres qu’il trouvait sur son chemin ; parvenu au sommet de la montagne, prosterné à genoux au pied de la grande Croix, il fut tué par un groupe de soldats qui tirèrent plusieurs coups avec une arme à feu et des flèches : et de la même manière moururent les uns après les autres les Évêques, les Prêtres, les religieux et religieuses et divers laïcs, hommes et femmes de classes et de catégories différentes. Sous les deux bras de la Croix, il y avait deux Anges, chacun avec un arrosoir de cristal à la main, dans lequel ils recueillaient le sang des Martyrs et avec lequel ils irriguaient les âmes qui s'approchaient de Dieu. »

     

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