• (Partie 26) La mission de la franc-maçonnerie en France au XXI° siècle.

    Charles Michel Jean Louis Toussaint d’Aigrefeuille (1748- ?) : Procureur général de la Cour des Comptes. Chevalier de Malte. Franc-maçon. Vénérable de la loge « La Vraie Humanité », orient de Montpellier. Membre des loges « Saint-Jean d’Ecosse du Contrat Social, » orient de Paris, et « Les Philadelphes » (1807). Second représentant du Grand Maître Cambacérès, de l’Ordre écossais philosophique de France. Officier du Grand Orient.

    (Partie 26) La mission de la franc-maçonnerie en France au XXI° siècle. 

     

     

    ANNEXE 1 :

    Liste de Francs-Maçons de la période révolutionnaire (fin du XVIII° siècle et début du XIX° siècle) :

     

    A

     

    Charles Xavier Joseph de Franqueville d’Abancourt (1738- massacré le 19 septembre 1792 à Versailles) : Neveu de Calonne. Général de cavalerie. Ministre de la Guerre en juillet 1792. Mis en accusation pour avoir organisé la défense des Tuileries le 10 août. Franc-maçon. Membre de la loge "Les Bons Amis », orient de son régiment. Maître des Cérémonies.

     

    Achin Abos, marquis d’Abos (1756-1807) : Capitaine au régiment de Monsieur. Franc-maçon. Membre de la loge « Saint-Étienne de la Vraie et Parfaite Amitié », orient de Paris (1779).

     

    Jean Balthazar d’Adhémar de Montfallon (1731-1791) : Ambassadeur. Colonel au régiment de Chartres-Infanterie. Ambassadeur à Londres (1783-1787).Il refusa d’émigrer et mourut sous l’uniforme de la Garde nationale. Franc-maçon. Membre de la loge « Saint-Jean de Montmorency-Luxembourg », orient de Paris, régiment du Hainaut (1773).

     

    Henri Cardin Jean Baptiste Marquis d’Aguesseau de Fresnes (1752-1826) : Avocat général au Parlement de Paris (1774). Conseiller d’Etat (1784). Membre de l’Académie française (1789). Sénateur (1805). Marquis-pair honoraire (20 décembre 1817). Franc-maçon. Membre de la loge « Saint-Laurent », orient de Paris (1777-1778).

     

    Charles Michel Jean Louis Toussaint d’Aigrefeuille (1748- ?) : Procureur général de la Cour des Comptes. Chevalier de Malte. Franc-maçon. Vénérable de la loge « La Vraie Humanité », orient de Montpellier. Membre des loges « Saint-Jean d’Ecosse du Contrat Social, » orient de Paris, et « Les Philadelphes » (1807). Second représentant du Grand Maître Cambacérès, de l’Ordre écossais philosophique de France. Officier du Grand Orient.

     

    Armand Désiré de Vignerot du Plessis de Richelieu Duc d’Agenois, puis Duc d’Aiguillon (1761-1800) : Officier de la garde du roi. Colonel de Royal-Pologne cavalerie. Député de la noblesse d’Agen aux Etats généraux. Il vota régulièrement avec la gauche. La « nuit du 4 août »  fut, en grande partie, son œuvre. Reprend du service en 1791, mais essaie de s’opposer au 10 août 1792, ce qui l’amène à émigrer à Londres, puis à Hambourg. Royaliste constitutionnel sincère, il a été accusé d’avoir été de la « faction d’Orléans »Emigre en 1792 et meurt à Hambourg en 1800. Franc-maçon. Avant la révolution, il fut membre de la loge « L’Olympique de la Parfaite Estime », orient de Paris, du Grand Orient de France. En 1786, il fut membre de la loge « Société Olympique » (1786) et grand officier du Grand Orient de France. Partisan de la révolution jusqu’en 1792. Député de la sénéchaussée d’Agen, représentant la noblesse aux Etats Généraux, en 1789.

     

    André Suzanne, Marquis d’Alban (1760-1834) : Mestre de camp de cavalerie (1791). Maire de Lyon (1812). Baron d’Empire (1814). Maréchal de camp (1815). Député du Rhône (1820). Pair de France (1827). Franc-maçon. Membre de la loge « La Réunion des Etrangers », orient de Paris (1786).

     

    Jean le Rond d’Alembert (1717-1783) : Fils adultérin de la marquise de Tencin, qui l’abandonne à la naissance. Franc-maçon. Membre de la Loge des « Neuf Sœurs ». Philosophe. Mathématicien. Membre de l’Académie française. Il fut l’un des pères de « L’Encyclopédie »

     

    Thomas Marie, Marquis d’Aloigny, baron de Saint-Pardoux-la-Rivière et de Château Gaillard, seigneur du Puy-Saint-Astier (1754- ?) : Capitaine de cavalerie. Franc-maçon. Membre de la loge « L’Olympique de la Parfaite Estime », orient de Paris et membre de « La Société Olympique », à Paris (1786).

     

    Jean Baptiste Pierre Angebault (1745-1811) : Premier Commis des Finances avant 1789. Rose-Croix. Franc-maçon. Membre des loges « L’Amitié », orient de paris (1787-1789) et « Le Centre des Amis », orient de Paris (1796-1799), dont il fut vénérable.

     

    Comte  Etienne Alexandre Jacques Anisson, dit Anisson-du-Perron (1749-1794) : Directeur de l’imprimerie royale. Franc-maçon. Membre de la Loge « La Fidélité ».

     

    André Sauveur, comte Alexandre de Neufermeil (1756-1839) : Maître des requêtes. Franc-maçon. Membre de la loge « L’Olympique de la Parfaite Estime », orient de Paris et membre de la « Société Olympique », à Paris (1786).

     

    André Jean Baptiste Amar (1755-1816) : Son père est directeur de la Monnaie à Grenoble. Conventionnel. Avocat au Parlement de Grenoble et trésorier de France. Montagnard ardent. Il vote la mort du roi. Membre du Comité de Sûreté générale (1793) il dresse l’acte d’accusation des Girondins. Au 9 Thermidor, il contribue indirectement à la chute de Robespierre en prenant la défense des membres des comités. Impliqué dans l’affaire Babeuf, il est acquitté. Il se retire de la vie publique dès le Directoire. Franc-maçon. Initié le 17 mai 1778, à la loge « L’Egalité », orient de Grenoble. Maître en 1780. Maître écossais en 1784 à la loge « Bienfaisance et Progrès », loge aristocratique résultant de la fusion de deux ateliers. Il aurait été Elu Coen dès 1776 et reçut tous les grades (1785-1790). Garde des Sceaux et archiviste de la loge « Bienfaisance et Progrès ». Pas d’activité maçonnique après la Révolution. Adepte de Swedenborg après 1812.

     

    Anderson :

     

    Etienne Alexandre Jacques Anisson-Duperon (1748- guillotiné le 6 florial an II, 25 avril 1794) : Directeur de l’Imprimerie Royale (1783). Franc-maçon. Membre de la loge « La Fidélité », orient de Paris (1780-1782).

     

    Antoine Antignac (1772-1825) : Chansonnier. Employé de l’administration de la Poste. Chansonnier du « Caveau Moderne » sous le Premier Empire. Franc-maçon. Membre de la loge « Anacréon », orient de Paris (1808)<.

     

    Jean François Louis Charles de Damas d’Antigny (1758-1829) : A participé à la guerre d’indépendance des insurgents américains. Franc-maçon. Membre de la Loge « La Candeur ».

     

    Pierre Joseph d’Antil de Ligonès (1745-1843) : Juge de paix à Saint-Flour (Cantal)>. Franc-maçon. Membre des loges « Les Elus de Sully », à l’orient de Saint-Flour (1782), et « Saint-Vinent », à l’orient de Saint-Flour, dont il fut second surveillant.

     

    Louis de Pardaillan de Gondrin, duc d’Antin :

     

    Pierre Philippe Auguste Antoine Baron de Lauvan d’Aramon (1768-1858) : Capitaine au régiment des dragons-Conti (1786). Pair de France (1819). Franc-maçon. Membre de la loge « Les Amis de la Gloire », orient de Paris (1785).

     

    Auguste Marie Raymond prince d’Arenberg, plus connu sous le nom de Comte de Lamarck ‘1753-1833) : Lieutenant général. Ami de Mirabeau. Il servit en Amérique et aux Indes, général major autrichien, lieutenant général aux Pays-Bas (1816). Franc-maçon. Membre du Suprême Conseil du Rite écossais pour la France (1804).

     

    Louis Engelberg Marie Joseph Augustin, duc et prince d’Arenberg (1750-1820) : Comte d’Empire (1808). Sénateur de l’Empire (1806). Franc-maçon. Membre de la loge « La Candeur », orient de Paris (1783).

     

    Antoine Vincent Arnault (1766-1834) : Ecrivain poète, auteur dramatique. Secrétaire du cabinet de Madame. Admis à l’Académie française en 1799. Franc-maçon. Membre de la loge « Le Patriotisme » à l’orient de la Cour (1787-1788).

     

    Jean Baptiste Annibal Aubert-Dubayet (1759-1797) : Capitaine du régiment de Bourbonnais, il servit sous Rochambeau et La Fayette en Amérique. Député de l’Isère à l’Assemblée législative. Général de division. Ministre de la Guerre (novembre 1795- février 1796). Franc-maçon. Initié le 16 juin 1787, maître le 24 juin 1788. Membre de la loge « Les Vrais Amis », orient du régiment de Bourbonnais-Infanterie, dont il fut orateur.

     

    Louise Reine Audu surnommée la Reine des Halles. Son véritable nom serait Louise Renée Leduc. Fruitière à Paris. Elle se jette dans la Révolution française dès 1789. Le 5 octobre 1789, elle est avec Théroigne de Méricourt à la tête du cortège qui va à Versailles pour ramener le « boulanger, la boulangère et le petit mitron ». Ele participe activement à l’invasion du Palais des Tuileries par le peuple de Paris le 10 août 1792. Pour la Biographie moderne, ou galerie historique, civile, militaire, politique et judiciaire, elle tue plusieurs gardes suisses. Elle est honorée d’une épée par la Commune de Paris, qui l’employa ensuite à l’administration des subsistances. Ont été publiés à son sujet : Aux Citoyens dignes de ce nom. Récit de la part prise par Reine Audu aux journées des 5 et 6 octobre 1789, et de son incarcération, du mois d’août 1790 au mois de septembre 1791, et de Louis Barthélemy Chenaux, Pétition pour Reine Louise Audu, lue à l’Assemblée nationale, le dimanche 24 janvier 1792, au nom de plus de 300 citoyens actifs.

     

    Jacques Mathieu Augeard, marquis de Buzancy (1732-1805) : Secrétaire des commandements de la reine, premier fermier général. Franc-maçon. Membre de la Loge « L’Olympique de la Parfaite Estime ».

     

    Charles Pierre François Augereau (1757-1816) : Jacobin. Maréchal d’Empire et duc de Castiglione. Chambre des pairs sous Louis XVIII. Franc-maçon. Membre de la Loge « Les Enfants de Mars » à La Hague (Hollande) en 1801 (Orient 27° régiment d’infanterie, La Haye, 1801). Il fut Chevalier Rose-Croix, nommé Grand Hospitalier du Grand Orient le 23 brumaire an XIII, puis Grand Officier d’Honneur en 1813 (23 brumaire, an XIII), et Vénérable d’Honneur de la loge régimentaire « Les Amis de la Gloire et des Arts ».

     

    Jean Pierre, baron Augereau (1772-1836) : Frère du maréchal Augereau duc de Castiglione. Lieutenant général. Baron d’Empire (1811). Franc-maçon. Membre de la loge « Les Enfants de Mars », orient du 27° Léger à Breda (1802), et de la loge « Les Amis Philanthropes ».

     

    Louis Marie Céleste duc d’Aumont (1762-1831) : Lieutenant général. Pair de France (1815). Franc-maçon. Membre de la loge « L’Olympique de la Parfaite Estime », orient de Paris et de la « Société Olympique », Paris (1786).

     

    Louis Marie Guy duc d’Aumont (1732-1799) : Lieutenant général. Chef de division de la Garde nationale de Paris (1789). Franc-maçon. Membre de la loge « L’Olympique de la Parfaite Estime », orient de Paris et de la « Société Olympique », Paris (1786).

     

    Jean François Chevalier d’Avrange de Kermont (1753-1822) : Garde de la porte du roi (1765). Intendant de l’Hôtel des Invalides (1811). Franc-maçon. Membre de la loge « Les Trois Frères Unis », orient de la Cour (1780-1781).

     

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