• Peu à peu, grâce au Travail du Peuple, organisé il est vrai dans un cadre capitaliste, l’infrastructure s’est encore considérablement développée, offrant à partir du milieu du XX° siècle, lors des années dites des « Trente Glorieuses » (1945-1975), une assise qui rend de plus en plus indispensable la fin de l’anarchie et de l’individualisme bourgeois, pour instaurer une société socialiste, libre, plus égalitaire, démocratique, mieux organisée, fraternelle, enfin. La taupe communiste n’a cessé de continuer de creuser son territoire, sous les pieds de la bourgeoisie, jusqu’à ébranler tout le système ancien, afin que lui soit substitué un système nouveau.   

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Depuis le 17 novembre, les idées ont progressé à grand pas : qui aurait pensé, il y a un mois, qu’il y aurait une telle nouvelle tonalité dans les médias, et sur les diverses scènes publiques ? Par tous les moyens, mais sans y parvenir, l’Etat bourgeois cherche à éteindre l’incendie qui se propage. Tous les moyens sont bons à cela : mettre en avant les éléments les plus pourris des gilets jaunes, la menace, la violence totale des forces de l’ordre, trafic sur les sondages, etc. Mais plus rien ne percute : le Peuple sait bien que s’il recule, ce seront des années de vache maigre, avant qu’une nouvelle occasion de révolte se représente.

     

    En conséquence, on peut le dire, parce que c’est ce qui est vécu tous les jours, en France, ici et maintenant, il n’y a, pour le Peuple, ni égalité, ni liberté, ni même démocratie : le Peuple, dans l’ordre politique et dans l’ordre économique, n’est RIEN. Il convient d’examiner, après environ deux cent trente années de domination politique et économique de la classe bourgeoise, ce qui a conduit à une telle situation : Première question.

    Si l’on considère l’infrastructure du pays, à savoir son socle économique, l’émergence et l’instauration du système capitaliste dans le cadre du système féodal, puis sa consolidation après la révolution de 1789, cette infrastructure a connu un développement des forces productives sans précédent dans l’histoire de l’humanité.  

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Le vieux monde est irréformable, en allant vers l'arrière (retour vers l'ultralibéralisme, ou un capitalisme "humain"). Mais comme le disait déjà Giscard, nous serons en système socialiste, si la part du PIB consacrée aux dépenses communes dépasse les 50 %. Ce qui est le cas. Donc, il suffit de pousser le système un peu lus vers l'avant, et nous passons à un autre système (démocratie populaire, partage et fraternité,...). C'est un peu comme l'eau qui chauffe: à un moment (100 degrés, je crois), elle boue, et se transforme en vapeur...   

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Lors de la Révolution de 1789-1794, l’ancienne classe des privilégiés, les aristocrates et le clergé, dont Louis XVI, est, par sa situation, restée sourde et aveugle, aux demandes exprimées par le Tiers-état, notamment dans les cahiers de doléances. C’est là un point commun avec la situation d’aujourd’hui, de 2017 à 2022 : l’ancienne classe dominante, la bourgeoisie, dont les très riches, représentée par Emmanuel Macron, reste sourde et aveugle aux demandes exprimées par le Peuple (« classe moyenne » et prolétariat), notamment dans les cahiers de doléances : exigences d’amélioration du pouvoir d’achat (manger, s’habiller, se loger, travailler, etc.), exigences de justices fiscales, démocratie populaire dans les cités et les entreprises, etc. Il en résulte, immanquablement, que, dans les prochains mois, le mouvement révolutionnaire ne peut que s’approfondir. Le grand débat, lui-même, par les déceptions qui en résultent, a comme conséquence de faire plonger de nouvelles couches sociales (jeunes, cités, etc.) dans le mouvement général.   

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • La recréation de discussions et de contactes sociaux, au sein de communautés de personnes (en particulier dans les barrages sur les routes), qui étaient jusque là isolées, séparées par des murs (travailleurs, chômeurs, retraités, étudiants, etc.), qui jusque-là ont perdu toute dignité, car oubliés et méprisés par la bourgeoisie.

     

    La confrontation directe, pour beaucoup, avec les instruments de toutes sortes de la bourgeoisie, qui servent à celle-ci à maintenir sa domination : police, justice, préfets, hommes politiques, etc.

     

    Voilà donc deux expériences cruciales pour l’avenir, que font les gilets jaunes :

     

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique