• Qu’est-ce que le Peuple ? TOUT. Qu’a-t-il été jusqu’à présent dans l’ordre politique et dans l’ordre économique ? RIEN. Que demande-t-il ? TOUT (Partie 17)

    Depuis le 17 novembre, les idées ont progressé à grand pas : qui aurait pensé, il y a un mois, qu’il y aurait une telle nouvelle tonalité dans les médias, et sur les diverses scènes publiques ? Par tous les moyens, mais sans y parvenir, l’Etat bourgeois cherche à éteindre l’incendie qui se propage. Tous les moyens sont bons à cela : mettre en avant les éléments les plus pourris des gilets jaunes, la menace, la violence totale des forces de l’ordre, trafic sur les sondages, etc. Mais plus rien ne percute : le Peuple sait bien que s’il recule, ce seront des années de vache maigre, avant qu’une nouvelle occasion de révolte se représente.

     

    En conséquence, on peut le dire, parce que c’est ce qui est vécu tous les jours, en France, ici et maintenant, il n’y a, pour le Peuple, ni égalité, ni liberté, ni même démocratie : le Peuple, dans l’ordre politique et dans l’ordre économique, n’est RIEN. Il convient d’examiner, après environ deux cent trente années de domination politique et économique de la classe bourgeoise, ce qui a conduit à une telle situation : Première question.

    Si l’on considère l’infrastructure du pays, à savoir son socle économique, l’émergence et l’instauration du système capitaliste dans le cadre du système féodal, puis sa consolidation après la révolution de 1789, cette infrastructure a connu un développement des forces productives sans précédent dans l’histoire de l’humanité.  

    Qu’est-ce que le Peuple ? TOUT.

    Qu’a-t-il été jusqu’à présent dans l’ordre politique et dans l’ordre économique ? RIEN.

    Que demande-t-il ? TOUT (Partie 17)

     

    Il n’y a aucune contradiction antagonique entre les revendications des classes moyennes et des classes populaires : au contraire, si elle veulent survivre, et ne pas être paupérisées, et prolétarisées, les classes moyennes ont tout à fait intérêt à se mettre sous la direction de la classe ouvrière, seule classe déterminée et prête à aller jusqu’au bout du processus révolutionnaire. Par ailleurs, la classe ouvrière doit se doter très vite des outils indispensables à la réalisation de sa responsabilité historique : créer un nouvel Etat socialiste. Ces outils sont notamment : un parti communiste authentique, des syndicats révolutionnaires, un front populaire, unissant le peuple, et une armée rouge, capable de mener les combats de rue.

    Depuis le 17 novembre, les idées ont progressé à grand pas : qui aurait pensé, il y a un mois, qu’il y aurait une telle nouvelle tonalité dans les médias, et sur les diverses scènes publiques ? Par tous les moyens, mais sans y parvenir, l’Etat bourgeois cherche à éteindre l’incendie qui se propage. Tous les moyens sont bons à cela : mettre en avant les éléments les plus pourris des gilets jaunes, la menace, la violence totale des forces de l’ordre, trafic sur les sondages, etc. Mais plus rien ne percute : le Peuple sait bien que s’il recule, ce seront des années de vache maigre, avant qu’une nouvelle occasion de révolte se représente.

     

    En conséquence, on peut le dire, parce que c’est ce qui est vécu tous les jours, en France, ici et maintenant, il n’y a, pour le Peuple, ni égalité, ni liberté, ni même démocratie : le Peuple, dans l’ordre politique et dans l’ordre économique, n’est RIEN. Il convient d’examiner, après environ deux cent trente années de domination politique et économique de la classe bourgeoise, ce qui a conduit à une telle situation : Première question.

    Si l’on considère l’infrastructure du pays, à savoir son socle économique, l’émergence et l’instauration du système capitaliste dans le cadre du système féodal, puis sa consolidation après la révolution de 1789, cette infrastructure a connu un développement des forces productives sans précédent dans l’histoire de l’humanité.

    D’abord capitalisme libéral, cette formation sociale est devenue, de la fin du XIX° siècle à 1914, un impérialisme d’Etat. Ceci a été obtenu grâce au Travail du Peuple ; mais le Capital a su s’emparer de tous les leviers de commande pour s’accaparer les fruits de ce Travail. En cela, on peut dire que le Peuple est TOUT, du point de vue de la production, et que, de ce point de vue, la bourgeoisie n’est RIEN.

     

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