• Pour ce qui concerne les dernières échéances électorales, l'analyse des résultats doit prendre en compte TOUS les éléments, dont une abstention sans précédent, plus de deux électeurs sur trois, y compris ceux qui ne se sont pas inscrits sur une liste électorale, et ceux qui ont voté blanc. Et de plus, la grande majorité des abstentionnistes sont les plus jeunes. Cela veut dire que ceux qui ont encore voté , les anciens essentiellement , l'ont fait par habitude. Cela signifie que le régime bourgeois (la démocratie bourgeoisie , la république bourgeoise) n'a plus de base légale. Il est difficile à la classe bourgeoise, y compris en Lorraine et à Metz, de se réclamer d'une légitimité et elle ne peut plus gérer le pays. Il manque le deuxième élément : que le peuple ait l'intention de s'emparer du pouvoir politique pour gérer lui-même le pays. Cela va venir : crise économique et financière sans précédent, deuxième crise générale du capitalisme, après la crise sanitaire, avec la volonté de la classe bourgeoise de faire payer la baisse du taux de profit aux classe populaires et aux classe moyennes. Et aussi volonté des impérialismes (américain, russe, chinois, allemand , et aussi français de trouver une solution par un repartage du monde et par le recours à la guerre ( Afrique, Pacifique, Ukraine, etc) . Voici ce que je lis dans le résultat de ces élections. Et comme l'a écrit Lénine : « Toutes les doctrines sur le socialisme hors classes et la politique hors classes se révèlent un vain bavardage. »

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    1. La bourgeoisie capitaliste est composée de propriétaires des moyens de production (Usines, machines, terres) qui achètent la « force de travail » des ouvriers pour en tirer le profit maximum.

    Le propriétaire capitaliste, à notre époque, existe sous diverses catégories : bancaire, industrielle, agricole, et se présente sous diverses formes : celle des monopoles capitalistes, celle des capitalistes indépendants ou privés (ou petits et moyens capitalistes relativement aux groupes capitalistes monopolistes). La propriété capitaliste se dissimule en général sous le couvert de sociétés de capitaux dites « anonymes ».

     

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  • « Toutes les doctrines sur le socialisme hors classes et la politique hors classes se révèlent un vain bavardage. » Lénine.

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  • La faillite de la Deuxième Internationale, et la trahison du prolétariat par les partis sociaux-démocrates, phénomène négatif, entraîne dialectiquement l’apparition de son contraire, le phénomène positif de la fidélité absolue de Lénine et, sous sa direction, du parti ouvrier social-démocrate de Russie, au marxisme. Le léninisme est à la fois la sauvegarde et le prolongement des principes de Marx et Engels, leur enrichissement.

    Si on comprend à quel point les courants révisionnistes de Bernstein et de Kautsky avaient révisé le marxisme, l’on apprécie comme Lénine l’a sauvegardé. Il convient d’apprécier à la fois cette sauvegarde et cet enrichissement du marxisme, devenu marxisme-léninisme, en ce qui concerne le problème fondamental du pouvoir politique et du parti marxiste-léniniste.

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  • Le Manifeste du parti communiste nous interpelle par son extraordinaire actualité. Sans doute, depuis 1847, le monde a changé, et bien changé ! Mais le capitalisme est toujours présent : il s’est même renforcé et étendu au monde entier.

    Aujourd’hui un grand nombre de spécialistes et d’experts en tout genre tentent de démontrer que la classe ouvrière n’est plus ce qu’elle était, qu’elle a peut-être même disparue, engloutie sous l’amas des richesses produites, et donc Marx et Engels se seraient trompés dans leur analyse. Mais n’avaient-ils pas constaté que le capitalisme permettait un développement des richesses comme aucun mode de production comme auparavant ?

    Les idéologues de la bourgeoisie affirment que les conditions sociales d’aujourd’hui diffèrent de celles qui existaient en 1789 en France, en 1917 en Russie et en 1949 en Chine, et ils en concluent péremptoirement que l’époque des révolutions est à jamais révolue, et en particulier, que la révolution prolétarienne n’est plus à l’ordre du jour.

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