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Sur le sentier mystique, je chemine seul : les groupes fraternels offrent des orientations, indiquent le chemin comme des poteaux indicateurs, mais je chercherai moi-même la bonne voie et la parcourrai. Les pouvoirs psychiques exceptionnels ont peu d’importance : l’important est d’aider l’humanité.
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RECIT DU CHEMINEMENT DE PIERRE QUADER QUI A AIME, TRAVAILLE ET PRIE POUR NE PLUS RENAITRE (Partie 68)
Au travail, j’ai le comportement de quelqu’un de trop bavard. Je serai plus constructif et me battrai, car tout n’est que rapport de forces.
VENDREDI 9 JUIN 1978
J’ai tenté, avec beaucoup de volonté, de ne pas haïr mon prochain et de dépasser le sentiment de colère.
Quelles difficultés à exécuter convenablement les deux exercices du matin et du soir !
LUNDI 12 JUIN 1978
Le non attachement signifie que « je » n’agis pas, mais que je suis le canal de Dieu qui agit en moi et par moi. Je m’écouterai et m’observerai moi-même et sans cesse critiquerai l’ego, car le corps n’est pas « Moi ».
Je testerai et expérimenterai tout par moi-même, sans chercher le paraître, sans manifester aucune crainte. Je n’ai pas peur de la solitude réelle, qui est une chance pour retrouver mon être réel. Lâcher les livres et laisser les idées me passer au travers. J’ai progressé, y compris grâce à mes ennemis, qui sont donc en réalité mes bienfaiteurs.
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Un travail envisagé uniquement sous l’angle du gagne-pain, je ne peux l’accomplir en donnant le meilleur de moi-même. La peur et le doute me rongent. La peur résulte de ma propension à l’attachement : elle traîne dans son sillage l’ignorance et l’anxiété.
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La mort peut arriver inopinément, de manière pour ainsi dire inaperçue, quand Dieu décide d’appuyer sur l’interrupteur, et il convient donc d’être toujours prêt à cette échéance. C’est un appel brusque et net pour lequel je n’ai pas le temps de me préparer : cela ne vaut vraiment pas la peine d’y songer constamment, car alors j’oublie de vivre.
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Le yin aime bien le yang et le yang le lui rend bien : c’est là le tao !
L’âme dit au corps :
« Moi qui t’avais connu si fort et si vivant, voilà que tu t’écroules. Etendu, cadavérique, tu luttes sans répit contre le chagrin et je cherche dans tes yeux ce que tu penses, ce que tu souffres. »
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