• Les luttes de classes en France et les élections présidentielles et législatives de 2017. (Partie 19)

    Afin d’annihiler la lutte des classes, la bourgeoisie met en avant les élections, afin de se donner une image de légitimité au candidat investi. Ensuite, l’illusion est de faire croire que les décisions se prennent « démocratiquement » au sein de l’assemblée parlementaire. Or, la vie réelle, du point de vue social et économique se passe en réalité en dehors des périodes électorales.

    Il est urgent que la classe ouvrière, ainsi que le peuple, reprennent confiance en leurs propres forces, et prenne ses responsabilités : préparer et réaliser la révolution prolétarienne. Il n’y a pas d’autre issue pour l’avenir.

     

    Les luttes de classes en France et les élections présidentielles et législatives de 2017. (Partie 19)

     

    Afin d’annihiler la lutte des classes, la bourgeoisie met en avant les élections, afin de se donner une image de légitimité au candidat investi. Ensuite, l’illusion est de faire croire que les décisions se prennent « démocratiquement » au sein de l’assemblée parlementaire. Or, la vie réelle, du point de vue social et économique se passe en réalité en dehors des périodes électorales.

    Il est urgent que la classe ouvrière, ainsi que le peuple, reprennent confiance en leurs propres forces, et prenne ses responsabilités : préparer et réaliser la révolution prolétarienne. Il n’y a pas d’autre issue pour l’avenir.

    Les véritables solutions, comme « un travail pour tous », le refus des licenciement, l’amélioration du pouvoir d’achat, un logement décent pour tous, etc. passent inévitablement par la lutte !

    Du point de vue politique, la modernisation de la « démocratie » bourgeoises nécessite de nombreuses réformes :

    • Instaurer une véritable égalité électorale, à savoir « un homme, une voix » ;
    • Faire en sorte que l’assemblée nationale reflète véritablement la société, et comporte des élus issus de la classe ouvrière, des diverses minorités ethniques, avec une parité hommes/femmes ;
    • Les élus doivent faire connaître leur programme avant les élections. Ils doivent être responsables de leurs actes, et le peuple doit pouvoir les démettre à tout moment dans diverses hypothèses (malversation, mesures impopulaires, etc.) selon des règles à préciser ;
    • Un statut de l’élu doit préciser les diverses modalités d’exécution du mandat (indemnités modérées, nombre de mandats successifs, etc.).
    • Suppression du sénat, assemblée antidémocratique et élitiste.

    D’ores et déjà les sondages annoncent un ras de marais pour les députés En Marche : plus de 400 députés, avec plus de 30 % des suffrages exprimés. Ceci alors que le taux d’abstention va frôler les 50 % ! Les résultats n’ont, en conséquence, aucune légitimité. En quoi une telle assemblée est-elle à l’image du pays ?

    Résultats attendus de la nouvelle législature sont :

    • Création d’emplois et diminution du chômage ;
    • Création de logements neufs ;
    • Prise en compte de l’environnement ; comment, par exemple, lutter contre le réchauffement climatique, combattre avec panache la position du président américain Donald Trump, qui se retire des accords de Paris, et accepter la construction de l’aéroport de Notre Dame des Landes et l’enfouissement des déchets nucléaires à Bure (Meuse) ?
    • Egalité dans l’accès à l’éducation, la formation, le sport et la santé ; par exemple quel sera le pourcentage des enfants d’ouvriers et des quartiers dits populaires dans l’effectif global de l’Ecole Nationale d’Administration et des grandes écoles ?
    • Maintien de la paix dans le monde, lutte contre le terrorisme et retrait des divers conflits ;
    • Lutte contre l’expansion du fascisme et du nationalisme ; quelle sera, au cours du mandat d’Emmanuel Macron, la progression du Front National et des autres partis fascistes au cours des diverses échéances électorales ?

    Les critères d’appréciation des députés qui seront élus pour la nouvelle législature sont :

    • La courbe du chômage sur le moyen terme.
    • Le développement du travail précaire.
    • Fin de l’écart entre les plus riches et les plus pauvres : plus d’égalité.
    • Délocalisation des entreprises.
    • Paiement d’un impôt juste en France par les monopoles.
    • Développement de la culture et des loisirs pour tous.
    • Développement des quartiers dits populaires.

     

     

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