• Le Récit (fin)

    Cela que Je suis, dans l’Un :

    A rejoins le Soi.

    Désormais… qu’il en soit ainsi ! ».

     

    J’attache beaucoup de valeur et de dignité à la vie : je ne demande donc pas que l’on mette fin à ma vie, mais que mon agonie ne soit pas prolongée de manière déraisonnable, et que la dignité de la vie soit respectée.

    Etant convaincu de la justesse des enseignements de la sagesse occidentale concernant la mort, je demande que, à ma mort, aucune autopsie, ni embaumement ne soient exécutés et que, à la place, mon corps soit placé dans un endroit frais ou dans une chambre spéciale durant 3,5 jours (84 heures), avant toute crémation.

    Si, du fait de considérations légales, une autopsie doit être faite, je demande que cette autopsie ne soit pas faite durant les 3,5 jours (84 heures) après mon décès. Je demande aussi que l’autopsie soit suivie de la crémation. La présente requête est faite après mûre réflexion, alors que je suis en parfaite santé de corps et d’esprit. Bien que ce document puisse ne pas être considéré comme tout à fait légal, j’espère que, vous, qui avez quelques égards pour moi, vous sentirez moralement lié de mettre en pratique ces dernières volontés. Je suis conscient que cela accroît votre responsabilité, et c’est dans l’intention de partager cette responsabilité que ce document est rédigé.

    Fait en toute conscience, ceci est ma dernière volonté.

    21 novembre 1983.

    Signé : Pierre Quader.

     

     


    2) Texte lu par les frères de Pierre Quader lors de la remise de l’urne funéraire à sa famille :

    «  LES QUATRE SAISONS.

    Hiver-noir, printemps-blanc, été-jaune, automne-rouge.

    Les quatre saisons de l’année, avec les battements du cœur et les heures du jour et de la nuit, sont des phénomènes à la base de notre appréhension du Temps.

    L’hiver-noir.

    Solstice d’hiver : le Soleil s’arrête.

    Alors le Soleil est à sa plus haute déclinaison et le plus loin de l’équateur céleste.

    Alors la durée des nuits est la plus longue.

    Dehors, nos corps frissonnent aux gelées hivernales et notre regard s’attriste au paysage meurtri et désolé.

    Les forêts ont pris leur robe brune, froide, pitoyable.

    Les animaux, quels qu’ils soient, luttent âprement pour leur survie.

    L’hiver ne dévoile pas volontiers sa magie.

    Une magie saine où s’accumulent des forces insoupçonnables qui permettent la venue, l’existence du printemps.

    Le retour à la vie.

    Cultivons en nous ces forces, imprégnons-nous de leur puissance, inspirons-nous de cette harmonie afin de préparer, nous aussi, de grands projets d’amour et de lumière.

    Comme le Capricorne, le 21 décembre, retirons-nous quelque temps en nous-même, afin d’accumuler nos forces naturelles, de les concentrer en nous.

    Le signe des Poissons est le dernier de ceux d’hiver.

    A ce moment, les provisions amassées grâce aux dons généreux du Soleil de l’année précédente sont presque épuisées, et la nourriture de l’homme se fait rare.

    Puis c’est le printemps.

    Le printemps-blanc.

    A l’équinoxe du printemps, le Soleil croise l’équateur, et c’est la période de la mise en croix, car à ce moment, le dieu Soleil commence à donner sa vie sous forme de nourriture à ses adorateurs.

    Il mûrit le blé et le raisin dont sont faits «  le pain et le vin ».

    C’est la fête de Pâques, c’est-à-dire le passage.

    La Pâque marque l’époque où le Soleil passe par son point vernal, en croisant l’équateur au moment de quitter l’hémisphère sud, où il hiverne, pour commencer son voyage vers le nord dans son char de feu, salué avec joie par les hommes qu’il vient sauver de la faim et du froid qui les feraient inévitablement périr s’il restait dans les régions australes.

    A l’époque de l’équinoxe, le 20 mars, le jour et la nuit ont la même durée sur toute la terre.

    Au point vernal, 0 degré Bélier, le Soleil croise l’écliptique et entre dans l’hémisphère nord : c’est le début du printemps.

    Pendant tous les mois d’automne et d’hiver, et notamment au solstice d’hiver, moment privilégié, la nature nous a invités à la méditation et à l’introspection.

    Ce calme apparent nous a incités à la réflexion et à la prise de conscience de problèmes abstraits.

    Sur le plan matériel, le printemps est synonyme de renouveau, d’explosion de vie, de débordement de joie, de beauté et d’amour.

    C’est la vie qui renaît, les bourgeons sont gonflés de sève et vont donner des fleurs, des feuilles, des fruits.

    Le monde animal participe aussi à ce renouveau.

    Les oiseaux et les insectes repeuplent l’air.

    Sur terre et sous terre, la vie reprend son activité.

    Dans l’eau, les poissons quittent l’abri des rochers et des racines, pour se lancer dans le courant de l’eau vive.

    Tous, animaux et végétaux, sortent d’une longue léthargie.

    Puis c’est l’été-jaune.

    C’est au cours du solstice d’été que la durée des jours est la plus longue.

    A partir de la saint Jean d’été, le paysan moissonne ce qu’il a semé des mois auparavant.

    Et comme le dit le dicton : on récolte toujours ce que l’on sème.

    Juin, fleurs, parfum, Soleil…

    La nature nous dispense ses richesses, ses dons multiples.

    Juin prépare les fruits, réalisation finale, résultant d’un lent travail de maturation de la fleur, d’un épanouissement de l’être.

    C’est la plénitude espérée et l’aboutissement.

    Le Soleil à son zénith nous procure les jours les plus longs, ceux où l’influence solaire est à son apogée.

    C’est le moment de faire des provisions de forces physiques, mais aussi de ne pas oublier pour autant de nourrir les forces intérieures, qui tendent ensuite à renouveler les provisions emmagasinées.

    L’été est le temps de l’épanouissement.

    Toutes les fleurs se sont ouvertes, toutes les plantes ont fait des graines, tous les arbres ont mûri leurs fruits ou achèvent de le faire.

    Tous ont vécu la plénitude de leurs possibilités avant d’entrer dans le repos de l’automne, où la pluie et les vents froids vont dépouiller de leur vêture, et feront refluer la sève et la vie jusqu’aux racines même d’où était partie leur croissance.

    Spirituellement, la fin de l’été marque la fin d’une année, car l’influx de force vitale, qui a été donné à l’automne précédent, a fait germer et produire tout végétal.

    Cette force est totalement épuisée.

    La fin du signe de la Vierge coïncide avec l’équinoxe d’automne, ce moment de l’année où, après s’être élevé dans le ciel de Pâques, le Soleil dirige à nouveau son attention sur la terre.

    Enfin, c’est l’automne-rouge.

    A l’automne, le Soleil croise à nouveau l’équateur, après avoir donné à l’humanité le « pain de vie » grâce auquel elle pourra subsister jusqu’au prochain retour du Soleil dans l’hémisphère nord.

    A l’équinoxe d’automne, se concrétise un progressif, mais formidable influx de force vitale qui culminera à Noël.

    Cette force va se diffuser dans la planète et insuffler la vie à tout ce qui a dépéri à sa surface et dans son sol.

    Le signe de la Balance…

    Deux plateaux en équilibre fragile, prêts à monter ou descendre au moindre souffle, à la moindre brise…

    On y entre le 23 septembre…

    Equilibre et tristesse, entre lumière et obscurité, entre jour et nuit, entre obscurité et intériorité, entre cette période d’été pleine d’activités, de jeux, de chaleur et de Soleil et l’automne où insidieusement nous allons vers des énergies opposées.

    Automne où les arbres, si verts et si riches, si plein de sève, de vie et de bruissements d’insectes, vont passer au brun desséché en traversant toutes les nuances des rouges, orange et or.

    N’avez-vous jamais contemplé un arbre, une forêt entière, dont les feuillages d’un plus bel or illuminaient la fraîcheur déjà humide des derniers beaux jours ?

    Cet or qui, je vous le rappelle, pour les alchimistes, est le symbole de l’esprit !

    N’avez-vous jamais fait la relation entre cette lumineuse et merveilleuse couleur et celle du Soleil ?

    Le Soleil décline à l’extérieur, et les feuillages, en un dernier adieu, l’irradient de l’intérieur d’eux-mêmes !

    La nature nous montre la voie à suivre…

    L’automne marque la fin de la belle saison dans l’hémisphère nord.

    Les fortes chaleurs sont passées, la fraîcheur va s’accentuer et le froid venir, ainsi que les frimas de l’hiver…

    Ce cycle, en quatre temps : l’hiver, le printemps, l’été et l’automne, qui mélange dans l’union et la désunion, les quatre éléments, la terre, l’eau, l’air et le feu, compose les quatre règnes, le règne minéral, le règne végétal, le règne animal et le règne divin, ce cycle peut s’observer à tous les niveaux.

    Une journée peut être découpée en quatre parties : l’avant-minuit, l’après-minuit, le matin et l’après-midi.

    De même une vie d’homme n’est qu’un cycle de 70 fois la terre autour du Soleil en passant par les stades de la naissance, de la maturité, de la vieillesse et de la mort.

    Enfin le solstice d’hiver, l’équinoxe de printemps, le solstice d’été et l’équinoxe d’automne forment les tournants de la vie de la terre.

    Et c’est dans le limon même de cette terre que les âmes passées ont laissé leurs pleurs et leurs joies.

    Et c’est avec cette glaise que nous devons pétrir sans cesse les corps de nos vies à venir.

    Véritablement, comme l’indique Hermès : « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ».

    Ou encore : « Sur la terre, comme au ciel ».

    Solstice d’hiver, équinoxe du printemps, solstice d’été et équinoxe d’automne font référence au voyage qu’effectue le Soleil.

    Dans l’Evangile de saint Jean, en parlant du christ, Jean-Baptiste dit : « Il faut qu’il croisse, et que je diminue », ce qui symbolise le Soleil au solstice d’été, alors que le christ, par sa naissance à Noël, s’identifie au Soleil nouveau-né qui fait croître les jours jusqu’à l’été.

    Ainsi, à partir du solstice d’été, le Soleil décroît, les jours raccourcissent jusqu’au solstice d’hiver, nuit la plus longue de l’année.

    Puis, à partir du solstice d’hiver, le nouveau Soleil naît, les jours rallongent jusqu’au solstice d’été, journée la plus longue de l’année.

    Le solstice d’hiver inaugure la période de la croissance aboutissant à la maturité du solstice d’été.

    Le solstice d’été marque l’apogée de la course solaire ; le Soleil est au zénith, au plus haut point du ciel.

    C’est pourquoi ce jour est choisi pour célébrer la fête du Soleil, symbolisée par l’antique tradition des feux de la saint Jean.

    La légende d’Hiram Abiff, le « fils de la Veuve », l’architecte du Temple de Salomon, représente la descente du Soleil après le solstice d’été.

    Sur le plan du microcosme, le Temple de Salomon est aussi le corps de l’homme, où évolue son esprit individuel.

    Hiram Abiff, grand maître du Temple, est le Soleil qui voyage devant les douze signes zodiacaux, jouant le drame de la légende maçonnique.

    A l’équinoxe de printemps, le Soleil quitte le signe d’eau des Poissons, qui est féminin et docile, pour entrer dans le signe de feu, belliqueux, martial, énergique du Bélier.

    Il remplit la terre d’un feu créateur que s’approprient immédiatement les milliards d’êtres de la nature pour en construire le Temple de l’année qui vient, avec ses forêts, ses prairies et ses landes.

    Les forces de fécondation font germer les myriades de graines qui sommeillent dans le sol, recouvrant bientôt la terre d’une végétation luxuriante, tandis que les animaux se reproduisent suffisamment pour maintenir la faune à son niveau normal.

    Hiram Abiff se servait d’un marteau pour appeler ses ouvriers ; or le symbole du signe du Bélier, où commence cette merveilleuse activité créatrice, est représenté par les cornes du Bélier, qui rappellent la tête d’un marteau.

    Pendant l’été, l’influence du Soleil donne lieu aux chants de gratitude de tout ce qui respire, et Hiram, qui en est le symbole, peut donner le Verbe, le Logos, c’est-à-dire la Vie, à tous.

    Au moment où le Soleil entre dans les signes de l’hémisphère sud, à l’équinoxe d’automne, la nature devient muette, et Hiram, le Soleil, ne peut plus transmettre le Verbe, le Mot Sacré.

    Il rencontre ses trois meurtriers, les signes zodiacaux de la Balance, du Scorpion et du Sagittaire, traversés pendant les mois d’octobre, de novembre et de décembre.

    Le premier le frappe avec une règle de 24 pouces, qui symbolise les 24 heures que met la Terre pour tourner sur son axe. Le second le frappe avec une équerre de fer, symbolisant les quatre saisons de l’année ; enfin le troisième lui donne le coup de grâce avec un maillet qui, ayant une forme ronde, annonce que le Soleil a terminé son cycle vital et meurt pour faire place au Soleil d’une autre année.

    Le combat entre la lumière et les ténèbres dans le monde physique est en relation étroite avec la lutte de la lumière spirituelle et de la vie, contre les pouvoirs des ténèbres et de l’ignorance.

    Dans de nombreuses religions, mais c’est aussi le cas en franc-maçonnerie, le Temple a son entrée face à l’orient, afin que l’entrée soit illuminée par le Soleil levant, proclamant ainsi chaque jour la victoire de la lumière sur les ténèbres.

    Et puisque « tout est bien », en sachant avec quoi frapper, et à quel endroit frapper, les trois compagnons ne sont pas si mauvais que cela, et ils démontrent qu’ils ont acquis leurs lettres de noblesse.

    Ils peuvent, par leur action, intégrer le grade de maître et par là même, ils permettent à Hiram Abiff de mourir pour devenir maître secret.

    Le voyage du Soleil peut aussi être simplifié et ramené à deux phases de six mois, à l’image de l’expiration et de l’inspiration, de la nuit et du jour.

    Alors, le solstice d’hiver ouvre la phase ascendante du cycle annuel et le solstice d’été ouvre la phase descendante.

    D’où le symbolisme gréco-latin des portes solsticiales, représenté par les deux faces de Janus, et dans notre tradition judéo-chrétienne, par les deux saints Jean, la saint Jean d’été et la saint Jean d’hiver.

    La porte estivale introduit à la phase d’obscurcissement du cycle, la porte hivernale à la phase lumineuse du cycle.

    Il s’agit de la porte des hommes et de la porte des cieux, de la porte de l’enfer et de la porte du ciel.

    Cette porte symbolise le lieu de passage entre la lumière et les ténèbres ; elle invite à un voyage vers l’au-delà, du domaine profane au domaine sacré.

    Cette porte, par où passe l’axe du monde, c’est le sommet du crâne, à savoir la porte étroite qui donne accès au royaume des cieux.

    Ainsi la vie se présente à nous sous la forme d’un cycle, d’un cercle plus exactement, lorsque nous la considérons sur le plan physique seulement ; mais la vie se présente à nous en lemniscate lorsque nous l’envisageons dans ses phases physique et spirituelle.

    La lemniscate est le signe de l’infini, que nous retrouvons dessinés dans le Temple maçonnique sous forme de lacs d’amour.

    Dans la lemniscate, ou nombre 8, il y a deux cercles convergeant vers un point central.

    Ces cercles peuvent être regardés comme le symbole de l’esprit qui évolue, l’esprit étant le Soleil intérieur à chaque corps.

    Un des cercles signifie la vie de l’esprit en ce monde physique, de la naissance à la mort.

    Pendant ce laps de temps, chacun des actes de l’esprit est une semence dont il devrait recueillir une certaine somme d’expériences.

    Le travail objectif de l’existence terminé, le jour de l’action dépensé, l’esprit commence le travail subjectif de l’assimilation, qui s’accomplit au cours de la nuit pendant le séjour dans le monde invisible que l’esprit traverse dans la période qui s’écoule de la mort à la nouvelle naissance, période symbolisée par l’autre cercle d’une lemniscate.

    Lorsqu’il arrive au point central d’une lemniscate qui divise les deux mondes, le monde physique et le monde spirituel, la porte de la naissance à la mort, selon que l’esprit entre ou quitte la région où il lui arrive d’être en ce moment, il possède une somme de facultés acquises dans les existences antérieures, qu’il peut alors – à son choix – faire fructifier ou laisser improductive, pendant la vie présente.

    De l’emploi de ce qu’il possède dépend la croissance de l’âme.

    Ainsi, chaque corps est le Temple, l’instrument, le terreau d’un esprit intérieur qui en constitue le Soleil.

    Lorsque l’esprit commence son pèlerinage dans le monde matériel, il vit dans une coque dure et insensible qui cache la lumière intérieure.

    Un voile cache l’entrée du Temple intérieur et l’initiation, vécue de l’intérieur et non comme une cérémonie extérieure, permet d’entrer en contact avec les impulsions solaires.

    L’esprit est pareil à un diamant dans sa gangue, un diamant dont il s’agit de s’efforcer constamment d’user la rude enveloppe pour permettre à l’esprit de rayonner à travers le véhicule qui l’anime.

    Lorsque dans l’atelier du lapidaire, le diamant est appliqué contre la meule, il fait entendre un grincement comparable à un cri de douleur, à mesure que s’use sa dure enveloppe, mais, peu à peu, après de multiples applications sur la meule, il pourra devenir une gemme d’une beauté et d’une limpidité incomparables.

    De la même façon, nous sommes maintenus contre la meule de l’expérience : il en résulte des douleurs et des souffrances, qui éveillent l’esprit intérieur ensommeillé.

    Ceci est symbolisé, lors de l’initiation, par le récipiendaire qui goûte à la coupe de l’amertume, résultant de ses passions, et qui doit la vider jusqu’à la lie.

    Cette pierre que nous travaillons petit à petit, vie après vie, sans bruit de marteau – parce que « le bruit ne fait pas de bien et que le bien ne fait pas de bruit » – cette pierre, nous la transformons en étoile – l’étoile à cinq branches qui est dévoilée au Compagnon.

    Ne sommes nous pas d’ailleurs, chacun d’entre nous, des poussières d’étoile, étoile symbolisée par le Soleil dans le monde physique ? ».

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    3) Epitaphe de Pierre Quader.

    « Pierre Quader.

    2 novembre 1915 – 9 mai 1985.

    Passant, réjouis-toi,

    Ici ne repose que l’un de mes corps.

    Cela que Je suis, pour le monde :

    Fils d’homme

    Cela que Je suis, en moi-même :

    Fils de Dieu

    Cela que Je suis, dans l’Un :

    A rejoins le Soi.

    Désormais… qu’il en soit ainsi ! ».

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


     

     

     

     

     

     

     

     

    Table des matières.                              Pages

     

    Prologue.                                                 7

     

    Cahier noir   : Fils d’homme.                     9

     

    Cahier citrine: Sagesse,Force,Beauté       41

     

    Cahier vert   : Le Feu Divin                    89

     

    Cahier blanc : Fils de Dieu.                   113

     

    Cahier rouge: Un.                                 189

     

    Epilogue.                                              263

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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