• La mission de la franc-maçonnerie en France au XXI° siècle. (Huitième partie).

    De nombreuses réunions publiques ouvertes à tous sont organisées, et partout des clubs et comités divers voient le jour. Dans les assemblées, qui ont lieu le soir, la parole est totalement libre, pour les hommes comme pour les femmes. Après les combats de la journée, les citoyens viennent s’instruire et débattre au club. Les clubs, qui se regroupent par quartiers ou par affinité politique, sont un puissant moyen de pression populaire sur les élus de la Commune, et de contrôle de leur mandat impératif. On en dénombre une trentaine. A l’origine, les réunions des clubs se tiennent dans les salles de spectacle ou les écoles ; mais avec l’avènement de la Commune, les églises deviennent le lieu privilégié des réunions politiques. Les républicains s’y installent le soir, laissant la journée aux offices des curés qui n’ont pas fui Paris. Ainsi, une dizaine d’Eglise parisiennes sont occupées.

    La mission de la franc-maçonnerie en France au XXI° siècle. (Huitième partie).

     

    • Annonce franc-maçonnerie. Journal Officiel de la Commune de Paris du 5 mai 1871.

    La franc-maçonnerie a fait partir hier deux ballons de la place de l’Hôtel –de-Ville, l’un à deux heures, l’autre à quatre heures et demie.

    Ces ballons portaient les emblèmes maçonniques des trois rites réunis, et étaient chargés de circulaires adressées aux loges de la province.

    Le vent les a portés dans la direction du nord.

     

    • Manifeste dit de la minorité, qui aurait du être lu à la séance du 15 mai :

    Déclaration :

    Par un vote spécial et précis, la Commune de Paris a abdiqué son pouvoir entre les mains d’une dictature à laquelle elle a donné le nom de Comité de salut public.

    La majorité de la Commune s’est déclarée irresponsable par son vote et a abandonné à ce Comité toutes les responsabilités de notre situation.

    La minorité à laquelle nous appartenons affirme, au contraire, cette idée, que la Commune doit, au mouvement révolutionnaire politique et social, d’accepter toutes les responsabilités et de n’en décliner aucune, quelque dignes que soient les mains à qui on voudrait les abandonner>.

    Quant à nous, nous voulons, comme la majorité, l’accomplissement des rénovations politiques et sociales ; mais, contrairement à sa pensée, nous revendiquons, au nom des suffrages que nous représentons, le droit de répondre seuls de nos actes devant nos électeurs, sans nous abriter derrière une suprême dictature que notre mandat ne nous permet d’accepter ni de reconnaître.

    Nous ne nous présenterons donc plus à l’Assemblée que le jour où elle se constituerait en cour de justice pour juger un de ses membres.

    Dévoués à notre grande cause communale, pour laquelle tant de citoyens meurent tous les jours, nous nous retirons dans nos arrondissements, trop négligés peut-être. Convaincus, d’ailleurs, que la question de la guerre prime en ce moment toutes les autres, le temps que nos fonctions municipales nous laisseront, nous iront le passer au milieu de nos frères de la garde nationale, et nous prendrons notre part de cette lutte décisive soutenue au nom des droits du peuple.

    Là encore nous servirons utilement nos convictions, et nous éviterons de créer dans la Commune des déchirements que nous réprouvons tous, persuadés que majorité ou minorité, malgré nos divergences politiques, nous poursuivons tous un même but :

    La liberté politique ;

    L’émancipation des travailleurs.

    Vive la république sociale !

    Vive la Commune !

     

    Ont signé : Ch. Beslay, Jourde, Theisz, Lefrançais, Eug. Gérardin, Vermorel, Clémence, Andrieu, Sérailler, Longuet, Arthur Arnould, Victor Clément, Avrial, Ostyn, Frankel, Pindy, Arnold, Jules Vallès, Tridon, Varlin, Courbet, Malon.

     

    • Annonces des francs-maçons. Journal Officiel de la Commune du mercredi 17 mai 1871 :

    Les francs-maçons et compagnons fédérés ont établi pour les vingt arrondissements, par une délégation, un service officieux qui a pour but de signaler à toutes les administrations civiles et militaires les abus qui existent ; ils recueillent également les plaintes pour y porter remède. Ils se proposent de faire exécuter strictement les décrets de la Commune. Un bureau est établi dans chaque mairie.

     

    Les francs-maçons et compagnons fédérés du XV° arrondissement prient leurs frères dudit arrondissement de se réunir demain 17 courant, à sept heures du soir, dans le pavillon de la justice de paix.

     

    • Nécrologie. Journal Officiel de la Commune, jeudi 18 mai 1871 :

    Les francs-maçons sont priés d’assister au convoi du F.°. Pierre-Jean Budor, mort en combattant pour la liberté, qui aura lieu jeudi 18 mai à trois heures et demie. On se réunira au G.°. O.°. de France, 16 rue Cadet.

     

    • Proclamation des francs-maçons de tous les rites :

    Journal Officiel de la Commune du mercredi 24 mai 1871 :

    Aux francs-maçons de tous les rites et de tous les grades.

    Frères,

    La Commune, défenseur de nos principes sacrés, nous appelle à elle.

    Vous l’avez entendue, et nos bannières vénérées sont déchirées par les balles et brisées par les obus de ses ennemis.

    Vous avez répondu héroïquement ; continuez avec l’aide de tous les compagnonnages.

    L’instruction que nous avons reçue dans nos respectables ateliers dictera à chacun de nous, à tous, le devoir sacré que nous avons à remplir.

    Heureux ceux qui triompheront ; glorieux ceux qui succomberont dans cette lutte sainte.

     

    Les doctrines de la Commune :

     

    La Commune est l’expression de diverses tendances : jacobine, blanquiste, internationaliste,…

    Les éléments participant à la Commune sont très hétérogènes :

    • Les ouvriers internationalistes ;
    • Les blanquistes, fidèles à la tradition du coup de force politique ;
    • Les proudhoniens, qui admettaient en théorie la lutte des classes, mais s’enlisaient dans un vain corporatisme ;
    • Les petits-bourgeois, qui s’élevaient avec fureur contre la loi des loyers et la loi des échéances ;
    • Les républicains, qui s’insurgeaient contre l’assemblée réactionnaire de Bordeaux ;
    • Les autonomistes, qui ne voulaient ni du centralisme napoléonien, ni de la décapitalisation de Paris ;
    • Les patriotes, meurtris par la défaite militaire.

     

    L’action de la Commune a été indécise et vacillante : on a tardé à marcher sur Versailles, et on a respecté avec une sorte de piété la Banque de France.

     

    Démocratie directe :

    Villiers de l’Isle-Adam, dans son « Tableau de Paris » : « On entre, on sort, on circule, on s’attroupe. Le rire du gamin de Paris interrompt les discussions politiques. Approchez-vous des groupes, écoutez. Tout un peuple s’entretient de choses graves, pour la première fois on entend les ouvriers échanger leurs appréciations sur des problèmes qu’avaient abordés jusqu’ici les seuls philosophes. De surveillants, nulle trace ; aucun agent de police n’obstrue la rue et ne gêne les passants. La sécurité est parfaite. Autrefois, quand ce même peuple sortait aviné de ses bals de barrière, le bourgeois s’écartait, disant tout bas : Si ces gens-là étaient libres, que deviendront-nous ? – Ils sont libres, et ne dansent plus. Ils sont libres, et ils travaillent. Ils sont libres et ils combattent. Quand un homme de bonne foi passe auprès d’eux aujourd’hui, il comprend qu’un nouveau siècle vient d’éclore, et le plus sceptique reste rêveur. ».

     

    Blanqui

    Blanqui affirmait que la révolution devait être le résultat d’une impulsion donnée par un petit groupe organisé de révolutionnaires, qui donneraient le « coup de main » nécessaire à amener le peuple vers la révolution. Les révolutionnaires arrivant ainsi au pouvoir seraient en charge d’instaurer le nouveau système socialiste. Engels définit ainsi le blanquisme dans Le programme des émigrés blanquistes de la Commune en 1873 : « Blanqui est essentiellement un révolutionnaire politique, qui n’est socialiste que de sentiment, par sympathie pour les souffrances du peuple, mais il n’a pas de théorie socialiste ni de projets pratiques de transformation sociale. Dans son activité politique, il fut avant tout un « homme d’action » qui croyait qu’une petite minorité bien organisée pourrait, en essayant au bon moment d’effectuer un coup de main révolutionnaire, entraîner à sa suite, par quelques premiers succès la masse du peuple et réaliser ainsi une révolution victorieuse. (…) De l’idée blanquiste que toute révolution est l’œuvre d’une minorité dérive automatiquement la nécessité d’une dictature après le succès de l’insurrection, d’une dictature que n’exerce naturellement pas toute la classe révolutionnaire, le prolétariat, mais le petit nombre de ceux qui ont effectué le coup de main et qui, à leur tour, sont soumis d’avance à la dictature d’une ou de plusieurs personnes. L’ont voit que Blanqui est un révolutionnaire de la génération précédente. ».

    En 1870, l’organisation de ses disciples comptait en France 2500 membres.

    Sur les 90membres élus le 26 mars à l’Assemblée de la Commune, 78 vinrent siéger à l’Hôtel de Ville. Sur ces 78 communeux, 15 membres formaient le groupe blanquiste. A la tête se trouvaient Raoul Rigault, François Eudes et Théophile Ferré.

     

    Proudhon

    La Commune réalise les options fondamentales de l’anarchisme : gestion collective, suppression de l’armée permanente, fédération, élection des hauts fonctionnaires, égalité des salaires ouvriers et des traitements de la fonction publique.

    Les principes de l’autonomie et du fédéralisme procèdent de Proudhon, qui voulait remplacer l’autorité étatique par des accords contractuels librement consentis. L’influence de Proudhon dépérit depuis 1868, et la Commune marque le point d’arrêt de la propagation de sa doctrine.

    Au sein de l’Association internationale des travailleurs, il y eut une scission entre les anarchistes proches de Bakounine et ceux qui étaient proches des idées de Proudhon. Les mutualistes proudhoniens pensaient que la propriété collective était indésirable et que la révolution sociale pouvait être atteinte pacifiquement.

    La théorie de Proudhon ne signifiait pas soulèvement violent, ni guerre civile, mais plutôt transformation de la société par l’avènement d’une classe moyenne.

    Proudhon désapprouve l’action révolutionnaire. Fils d’artisans, il se méfie de la classe ouvrière dont il redoute la violence.

    Dans Misère de la philosophie, en réponse à Philosophie de la misère de Proudhon, Marx démontre le caractère petit-bourgeois des théories de Proudhon.

     

    • Bakounine:

    Son influence fut déterminante dans le Midi de la France, en particulier à Marseille et à Lyon. Mais l’échec lamentable de l’insurrection de Lyon, qu’il ne sut ni préparer ni développer marque les limites de son influence.

     

    • La 1° Internationale (Association Internationale des Travailleurs)

    Sur la proposition du blanquiste Eudes, l’assemblée du conseil communal prend explicitement le nom de « Commune de Paris ». Choisir ce nom, c’est certes évoquer des compétences municipales, celles qui manquent à Paris. Mais c’est sans doute encore plus revendiquer un héritage, celui que tous les révolutionnaires parisiens ont en tête, celui qui est dans presque toutes les paroles et dans presque tous les discours, celui de la Commune insurrectionnelle de 1792, synonyme du contrôle du pouvoir par les sans-culottes parisiens. C’est aussi entrevoir une Commune autonome de Paris, se gouvernant seule, en attendant pour la France une future fédération des communes ;

    Au cours du troisième procès de l’Internationale à Paris, le procureur, se basant sur les documents des sections françaises, estime qu’en 1870, l’A.I.T. comptait 435000 membres en France.

    Les deux principales idées qui constituent le programme historique de l’émancipation du prolétariat, c’est-à-dire sa suppression, sont :

    a)     La nécessité pour les ouvriers de se constituer en classe autonome, avec leurs propres représentants et de devenir les sujets de leur affranchissement.

    b)    La dimension internationale du prolétariat – en tant que class universellement soumise aux mêmes conditions d’exploitation et d’esclavage – qui l’oblige à considérer son avenir dans la perspective d’une solidarité antinationale.

     

    Lors du IVe congrès de Bâle (6-12 septembre 1869), on peut apprécier le poids respectif de chacune des sensibilités. À partir de votes sur des motions ou amendements présentés par ces divers « courants », on peut établir le « rapport de force » comme suit :

    • 63 % des délégués de l'A.I.T. se regroupent sur des textes collectivistes dits « antiautoritaires » (« bakouninistes»).
    • 31 % se regroupent sur des textes collectivistes dits « marxistes ».
    • 6 % maintiennent leurs convictions mutuellistes (proudhoniens).

    Les deux premières sensibilités se retrouvent sur une proposition ayant trait à la socialisation du sol. Enfin, et à l'unanimité, le congrès décide d'organiser les travailleurs dans des sociétés de résistance (syndicats).

     

    Avant la Commune de 1871, l’Internationale a fait l’objet de trois procès en France :

    • La première fois le 28 mars 1898, devant le tribunal correctionnel de Paris. Les accusés étaient au nombre de 15 : Chémalé, Tolain, Murat, Camélinat, Perrachon, Fournaise, Dantier, Gautier, Bellamy, Gérardin, Bastier, Guyard, Delahaye, Delorme. Chacun des accusés eut cent francs d’amende et l’Internationale fut déclarée dissoute.
    • Le second procès eut lieu le 23 mai suivant, et les nouveaux prévenus étaient : Varlin, Malon, Humber, Grandjean, Bourdon, Charbonneau, Combault, Sandrin, Moilin. Les accusés étaient condamnés à trois mois de prison et cent francs d’amende, l’Internationale étant déclarée dissoute.
    • Puis eu lieu le procès dit des trente, qui comportait en fait 37 accusés. La première catégorie était composée de ceux que l’on considérait les chefs : Varlin, Malon, Murat, Johannard, Pindy, Combault, Héligon, Avrial, Sabourdy, Colmia dit Franquin, Passedouet, Rocher, Assi, Langevin, Pagnerre, Robin, Leblanc, Carle, Allard. La seconde catégorie comprenait les affiliés : Theisz, Collot, Germain Casse, Ducauquie, Flahaut, Landeck, Chalain, ansel, Berthin, Boyer, Cirode, Delacour, Durand, Duval, Fournaise, Frankel, Girot, Malzieux. Varlin, Malon, Pindy, Combault, Héligon, Murat, Johannard furent condamnés à un an de prison et 100 francs d’amende. Avrial, Sabourdy, Colmia dit Franquin, Passedouet, Rocher, Langevin, Pagnerie, Robin, Leblanc, Carle, Allard, Theisz, Collot, Germain Casse, Chalain, Mangold, Ansel, Bertin Royer, Cirode, Delacour, Durand, Duval, Fournaise, Giot, Malezieux furent condamnés à deux mois de prison et 25 francs d’amende. Assi, Ducanquie, Flahaut et Landeck furent acquittés. Tous furent solidairement privés de leurs droits civils et condamnés aux dépens. Ceux condamnés à une année d’emprisonnement ne l’achevèrent pas, puisque la Commune les délivrera.

     

    • Internationalisme:

    La Commune a un caractère international. Notamment en nommant des étrangers à des postes de dirigeants. « Le drapeau de la Commune est le drapeau de la République universelle » :

    • Le hongrois Léo Fränkel, siège au Conseil général de la Commune. Le 30 mars 1871, la commission des élections valide ainsi son élection : « Considérant que le drapeau de la Commune est celui de la République universelle ; considérant que toute cité a le droit de donner le titre de citoyen aux étrangers qui la servent, la commission est d’avis que les étrangers peuvent être admis et vous propose l’admission du citoyen Fränkel. Puis Fränkel est promu ministre du Travail.
    • Deux généraux polonais, Dombrowski et Wroblewski.
    • Une femme d’origine russe, Elisabeth Dmitrieff à la direction de l’Union des femmes. Etc.

     

    LES CLUBS POLITIQUES

    De nombreuses réunions publiques ouvertes à tous sont organisées, et partout des clubs et comités divers voient le jour. Dans les assemblées, qui ont lieu le soir, la parole est totalement libre, pour les hommes comme pour les femmes. Après les combats de la journée, les citoyens viennent s’instruire et débattre au club. Les clubs, qui se regroupent par quartiers ou par affinité politique, sont un puissant moyen de pression populaire sur les élus de la Commune, et de contrôle de leur mandat impératif. On en dénombre une trentaine. A l’origine, les réunions des clubs se tiennent dans les salles de spectacle ou les écoles ; mais avec l’avènement de la Commune, les églises deviennent le lieu privilégié des réunions politiques. Les républicains s’y installent le soir, laissant la journée aux offices des curés qui n’ont pas fui Paris. Ainsi, une dizaine d’Eglise parisiennes sont occupées.

     

    LISTE DES CLUBS :

     

    Le Club des Prolétaires : Il s’est emparé le 7 mai de l’église Ambroise dans le XI° arrondissement. Il a fondé son journal, Le Prolétaire. C’est le franc-maçon David qui est à l’origine de cette initiative.

    Le Club de la Révolution : On y retrouve le blanquiste Ferré et Louise Michel. Il occupe l’église Bernard.

    Le Club de la Révolution Sociale des Batignolles : Animé par les Internationaux, il occupe l’église Michel.

    Le Club de la Boule Noire à Montmartre.

    Le Club de l’église Saint-Sulpice.

     

    Clubs féminins :

    Eglise de la Trinité.

    Eglise Notre-Dame de la Croix.

     

    Dans le Journal Officiel de la Commune de Paris du vendredi 5 mai 1871, on lit :

    Un club a été ouvert hier soir, 3 mai, dans l’église Saint-Michel, rue Saint-Jean, à Batignolles.

    Il prend le nom de Club de la Révolution sociale.

    L’église était comble et les femmes en majorité. On sentait qu’en partant se battre pour la Commune, les maris avaient laissé au logis un germe solide d’idées révolutionnaires.

    Plusieurs membres de la Commune étaient présents.

    Le bureau, composé des citoyens Faillet, Sévin, Simon, Léon Angevin, était disposé juste en face de la tribune, la chaire naturellement.

    L’orgue a ouvert la séance par la Marseillaise, chantée tout au long par les citoyens et citoyennes du club, avec en enthousiasme admirable.

    Ce chant patriotique retentissant sous ces voûtes produisait un effet magistral.

    Après plusieurs discours révolutionnaires très intéressants, prononcés par les citoyens Combault, Sévin, Sassin, Faillet, l’écharpe rouge a été attachée à la chaire à prêcher, transformée désormais en une tribune populaire.

    Alors est venu le Chant du départ. Puis on a clos cette séance d’ouverture en reprenant la Marseillaise, et on s’est séparé aux cris unanimes de Vive la Commune ! Vive la Révolution sociale !

     

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