• Introduction à la Kabbale.(Partie 11)

    L’homme est un être double : à la fois ego et corps physique (Malkuth), et conscience ou Soi (Kéther). Cependant, lors de la descente (involution), l’ignorance s’est installée, et l’homme ne s’identifie plus qu’au corps et à l’ego. Il a oublié, ou renié le Soi. Le but de la remontée (évolution), le but est de redécouvrir Kéther. Cependant, le corps physique et l’ego n’ont jamais cessé d’être sous le contrôle de la conscience universelle ou Soi.

     

     

    Introduction à la Kabbale.(Partie 11)

     

    L’homme est un être double : à la fois ego et corps physique (Malkuth), et conscience ou Soi (Kéther). Cependant, lors de la descente (involution), l’ignorance s’est installée, et l’homme ne s’identifie plus qu’au corps et à l’ego. Il a oublié, ou renié le Soi. Le but de la remontée (évolution), le but est de redécouvrir Kéther. Cependant, le corps physique et l’ego n’ont jamais cessé d’être sous le contrôle de la conscience universelle ou Soi.

    La conscience est illimitée en l’homme. Elle n’est affectée ni par le temps ni par l’espace, et elle n’est pas limitée aux choses matérielles. Le moi intérieur est une partie, un segment de la conscience universelle. Il n’est pas séparé de cette conscience universelle que nous pouvons appeler Dieu, ou Grand Architecte de l’Univers. Une partie non distincte de la conscience universelle revêt en nous une identité et édifie une personnalité dans votre corps et dans votre âme (l’ego). Donc la conscience de notre personnalité fait partie de l’univers entier. Notre conscience est une partie de la conscience universelle qui réside en toute chose, et c’est cela qu’il faut réintégrer. La conscience personnelle est en contact permanent avec la conscience universelle Tout est Un. Il en résulte également que notre moi intérieur est relié au moi intérieur de tous les êtres humains vivant sur terre, et qu’il est en relation avec tous les événements qui se produisent dans le monde.

    Exemple : un générateur auquel sont reliées diverses ampoules. Le générateur est la source de la conscience universelle. Les ampoules représentent les personnalités humaines. Le courant électrique est le flux de la conscience universelle. Une ampoule peut émettre une lumière plus ou moins intense qu’une autre, mais sa source de lumière est la même et toutes les ampoules dépendent de cette même source. Chaque ampoule a sa forme, sa couleur, sa puissance, etc.

    33

    Krishna est mort à 33 ans. Le mot « Dieu » est mentionné 33 fois dans la Genèse, tandis que le Nouveau Testament recense 33 « croix » et 33 « diable ». David a régné 33 ans sur Jérusalem. Joseph a épousé Marie à 33 ans.

    Le Christ a fait 33 miracles, avant de mourir à 33 ans.

    L’Église catholique s’est dotée de 33 docteurs. La basilique Saint-Pierre compte 33 chapelles.

    Dans sa Divine Comédie, Dante a consacré 33 chants au purgatoire et 33 autres au ciel. Créé à l’image de son créateur, le corps humain compte 33 vertèbres.

    De là à penser que c’est avec des intentions ésotériques, sinon kabbalistiques, déterminées, que les fondateurs du Rite écossais ancien et accepté ont décidé, un jour de 1801, de doter celui-ci de 33 grades, ceci à Charleston, ville américaine proche du 33e parallèle…

    Ce qui a permis, plus tard, à Harry Truman, titulaire du 33e degré, de devenir le 33e président des États-Unis.

    Bref, le nombre 33 représente, dit-on, le plus haut degré de conscience spirituelle de la part de l’être humain.

     

    Conclusion

    Quatre conditions pour être kabbaliste :

    1)      Confiance absolue en son maître intérieur.

    2)    Faire le vide et la mort dans son être et être versé dans les sciences profanes : Connaître l’hébreu. Ne pas négliger les sciences profanes.

    3)    Etre d’un âge mûr : Age : 40 ans.

    4)    Avoir un cœur bon et une pureté absolue.

    Une légende veut que, sur quatre maîtres qui étudient le Zohar, l’un meurt, le second devient fou, le troisième se convertit à la religion des gentils, et seul le quatrième revient entier et intact (rabbi Akiba).

    Le péché mortel : se prendre au sérieux. Le rire et le sens de l’humour. Le piège mortel serait de se prendre au sérieux. L’humour est une faculté qui doit régner collégialement avec la raison, l’intuition, l’imagination. Ceux qui ne cultivent pas l’humour s’arrêtent sur le chemin. Ils se rétrécissent dans leurs certitudes, ils pontifient. Puis ils condamnent. Enfin, ils tuent. La pire des choses qui puisse nous arriver, c’est de se prendre au sérieux : là réside la mal suprême.

    Importance de la dernière pensée. 

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