• Initiation : Jamais, l’initié ne pourra aller au-delà de son initiateur. (Partie 5)

    « A M. le Maréchal Pétain, chef de l'Etat français

    Monsieur le Maréchal,

    Devant les malheurs de la patrie, tous les Français doivent consentir les plus grands sacrifices ; mais en est-il de plus douloureux que celui de détruire l'œuvre à laquelle on a donné le meilleur de sa pensée et de son cœur ? Si pénible que cela nous soit, nous croyons accomplir notre devoir présent en nous soumettant à la décision du gouvernement français concernant la Franc-maçonnerie du Grand Orient de France, tout en vous présentant, en raison des mensonges répandus sur cet Ordre philosophique, une déclaration aussi solennelle que respectueuse.

     Dans l'impossibilité absolue de réunir l'Assemblée ou le Conseil qui détiennent les pouvoirs statutaires en cette matière, mais nous appuyant sur la confiance qui nous a maintes fois été accordée et prenant l'entière responsabilité de notre charge, nous déclarons que le Grand Orient de France cesse son fonctionnement et que toutes les Loges qui en relèvent doivent immédiatement renoncer à poursuivre leurs travaux, si elles ne l'ont déjà fait.

     Sans doute, comme toutes les institutions humaines, la Franc-maçonnerie française a eu ses faiblesses, mais durant ses deux siècles d'existence, elle compte à son actif de belles pages d'histoire depuis les encyclopédistes jusqu'au maréchal Joffre, vainqueur de la Marne. Elle a brillé par sa grandeur morale, elle ne peut rougir ni de son idéal ni de ses principes. Elle succombe victime d'erreurs à son endroit et de mensonges, car dans son essence elle a le respect de la pensée libre, des convictions et des croyances sincères. Elle a toujours honoré le travail. Son but suprême est l'amélioration morale et matérielle des hommes dont elle voudrait poursuivre l'union par la fraternité. Elle a conscience, dans les événements douloureux que la France vient de traverser, de n'avoir failli ni à sa tradition, ni au devoir national. A de nombreuses reprises, elle a fait appel aux bons offices du président Roosevelt dans le but de maintenir la paix entre les peuples et c'est le cœur saignant qu'elle a vu se déchaîner l'effroyable conflit.

     

    Initiation : Jamais, l’initié ne pourra aller au-delà de son initiateur. (Partie 5)

    Le Grand Orient de France ne supporte pas la lumière, parce qu’il est lui-même pleins d’ombre.

    La façon dont a été décidée la possibilité d’initier les femmes au Grand Orient de France a été un véritable crève-cœur pour de nombreux francs-maçons. De nombreux maçons se sont alors sentis outragés sur la façon dont s’est effectuée la réforme. Sans doute il y avait une prise de conscience que la franc-maçonnerie avait ce point commun avec l’Eglise catholique : le refus d’initier les femmes. Cependant, si de nombreux francs-maçons étaient favorables à une initiation des femmes au sein, de l’Obédience, ce qui paraissait choquant, c’est que la décision a été prise par en haut, sans aucune concertation, et sans vote de l’ensemble des membres. Si, dans ce cas, il s’agit d’une réforme   permettant de rendre justice à la moitié de l’humanité, et de sortir de l’ornière du patriarcat, ce qui peut déranger, c’est que rien n’empêche que demain ne soit prise une décision, de façon tout aussi unilatérale, mais cette fois-ci une décision tout à fait en opposition avec les principes maçonniques.

    Mais y a-t-il plus de démocratie au niveau de l’élection des responsables des loges ? Ceci est très variable d’une loge à l’autre. Il y a parfois confusion entre l’aspect profane de la loge, qui est également une association selon la loi de 1901, destinée à gérer les aspects matériels, et l’aspect initiatique. Il serait tellement plus simple de bien différencier le fonctionnement matériel de la loge, qui repose sur les mêmes règles que n’importe quelle association qui relève de la loi de 1901 (1908 pour l’Alsace –Moselle) et le caractère initiatique de la loge.

    Face aux dysfonctionnements au niveau national, ainsi que des loges, certains frères se réfugient dans l’entre soi. Certaines loges se réfugient sur la vie de la loge, faisant abstraction de ce qui se passe, notamment les magouilles, au niveau nationale (ceci en arguant le principe « Franc-maçon libre dans une Loge libre »).

     

    A)   Une histoire de la franc-maçonnerie à revisiter.

    Il serait temps d’écrire l’histoire de la franc-maçonnerie. Souvent celle-ci se résume à une longue litanie de personnages ayant été francs-maçons. Mais, à y regarder d’un peu plus près on constate :

    -         Au XVIII° siècle, les francs-maçons faisaient surtout partie de l’aristocratie et de la haute bourgeoisie. L’idéal, ce n’était pas un régime républicain, mais la monarchie constitutionnelle, à l’image de ce qui se déroulait en Angleterre. Lors de la Révolution française, de nombreux francs-maçons se sont retrouvés dans le camp des émigrés. La Révolution a été menée à bien surtout grâce aux mouvements populaires. De plus lorsqu’il s’agissait d’appliquer les principes de « liberté, égalité, fraternité », dans la vie réelle, la plupart des loges avaient étaient dissoutes.

     

    L’Obédience du Grand Orient de France était foncièrement hostile à la Commune et favorable au gouvernement de Thiers.

    Depuis plus de 140 années, de Thiers à Furet, une véritable chape de plomb recouvre les œuvres et les idéaux de la Commune. A l’époque, les responsables de l’obédience du Grand orient de France avaient un comportement indigne, puisqu’ils avaient condamnés la Commune et en particulier les francs-maçons qui avaient participé à celle-ci. Lorsque cette Obédience commémore chaque 1° mai, au Mur des Fédérés, la Commune, le devoir de mémoire exige a minima un rappel de cette position, en contradiction flagrante avec les idéaux de « liberté, égalité, fraternité ».

    Le nouveau Suprême Commandeur du Suprême Conseil de France, de 1869 à sa mort en 1880, Adolphe Crémieux, est lui aussi réservé sur l’insurrection communarde. Néanmoins, le Suprême Conseil apparaît alors (à tort ou à raison), comme l’obédience qui a résisté à l’Empire. En effet, de 1860 à 1868, le Souverain Grand Commandeur du Suprême Conseil de France, Jean Pons Viennet, a lutté pied à pied pour maintenir l’indépendance de son obédience contre le GODF et son Grand Maître, le maréchal Magnan, nommé par Napoléon III. Les loges parisiennes du Suprême Conseil voient alors affluer les opposants au régime impérial, plus qu’au GODF, perçu alors comme une obédience « officielle ».

    La récupération s’effectue a posteriori. Au moment des Communes, le président du conseil de l’ordre du Grand Orient juge qu’il s’agit d’une « criminelle sédition qui ensanglante la France et déshonore la franc-maçonnerie ». Les maçons qui s’engagent ne sont pas soutenus au niveau national. Les dignitaires considèrent que les communards maçons sont des éléments isolés dont la franc-maçonnerie ne peut se réclamer. Certaines loges s’impliquent, mais les plus révolutionnaires feront l’objet de sanctions. La franc-maçonnerie revendique, en revanche, la Commune à partir de 1880, quand les communards seront amnistiés.

    A partir de la seconde moitié du XIX° siècle, la maçonnerie a profondément modifié son recrutement. Auparavant, les maçons appartenaient à la noblesse et à la haute bourgeoisie, accueillant quelques intellectuels de la petite-bourgeoisie. Une petite –bourgeoisie, encore très proche des ouvriers et des paysans, composée essentiellement de petits patrons, de commerçants, de petits fonctionnaires, d’employés, de vignerons, d’instituteurs, de médecins de campagne et d’aubergistes va peu à peu y devenir majoritaire.

    Ces nouveaux maçons ont encore leurs racines sociales dans les classes laborieuses. Ils ne sont pas acceptés par la haute bourgeoisie et ils en ont conscience à chaque instant de leur existence.

    -         Au XIX° siècle, la franc-maçonnerie était composée essentiellement de la bourgeoisie, puis de la petite bourgeoisie. La plupart des francs-maçons étaient plutôt favorables aux régimes en place (Napoléon I° ; le retour des Bourbons, Louis Philippe, Napoléon III, …). Les francs-maçons républicains (II° République, III° République) étaient favorables à une république bourgeoise. Lors de la Commune de Paris en 1871, le ralliement des francs-maçons a été laborieux, et ils n’ont pas joué un rôle significatif. Les francs-maçons qui se sont véritablement engagés aux côtés des Communards l’ont fait à titre personnel. Les Obédiences, dont les représentants du Grand Orient de France, étaient plutôt favorables aux Versaillais.

    CITATIONS SUR LA COMMUNE DE PARIS

    Léonide Babaud-Laribière : Grand Maître du Grand Orient de France, dans une Circulaire du 1° août 1871, publiée dans le Bulletin officiel du Grand Orient :

    Il qualifie le mouvement communard de « criminelle sédition qui a épouvanté l’univers, en couvrant Paris de sang et de ruines ».

    « Il n’y a aucune solidarité entre ses [du Grand Orient] doctrines et celles de la Commune, et que si quelques hommes indignes du nom de maçons ont pu tenter de transformer notre bannière pacifique en drapeau de guerre civile, le Grand Orient les répudie comme ayant manqué à leurs devoirs les plus sacrés. ».

    François Saturnin Léonide Babaud-Laribière (1819-1873) : Avocat et journaliste à Limoges à partir de 1840. Prend part à la campagne des banquets. Commissaire de la République en Charente après la Révolution de février 1848. Membre de l’Assemblée constituante représentant la Charente (1848). Adversaire de l’Empire. Franc-maçon. Initié le 15 juillet 1838 à la loge « La Vraie Harmonie », orient de Poitiers. Conseiller de l’Ordre du Grand Orient en 1868, il fut élu Grand-maître du Grand Orient de France de juin  1870 à 1871. Au 4 septembre 1870, le gouvernement de la Défense nationale le nomma préfet de la Charente. Il est par la suite nommé préfet des Pyrénées Orientales (1872-1873). Il se montra discret au moment de la Commune de Paris, avant de condamner formellement les francs-maçons qui avaient « ès-qualités », pris parti pour l’insurrection.

    Un exemple de comportement de l’Obédience par rapport aux communards francs-maçons :

    François Jourde parfois prénommé Francis (1843-1893) : Franc-maçon. Clerc de notaire, comptable dans une banque, puis employé des Ponts et Chaussées de la Ville de Paris. Délégué au Comité central de la Garde nationale (160° bataillon). Tendance « internationaliste ». Elu du V° arrondissement à la Commune. Elu le 26 mars au Conseil de la Commune. Nommé délégué aux Finances. A publié en 1877 Souvenirs d’un membre de la Commune. Arrêté le 30 mars 1871. Condamné à la déportation, il embarque le 13 juin 1872 pour la Nouvelle-Calédonie ; il s’évada avec Rochefort en 1874.

    Il est initié à la loge « Les Zélés Philanthropes », orient de Paris, le 9 novembre 1866. Admis aux grades de Compagnon et de Maître le 16 avril 1867, il est orateur de la loge pendant trois ans, de 1868 à 1871. Le 9 juin 1871, la loge le radie « pour conduite indigne dans sa vie profane ». Décembre-Allonier le fait exclure alors qu’il était déporté en Nouvelle-Calédonie, d’où il s’évada avec la complicité des frères de la loge locale, qui sera fermée. Exilé à Londres après son évasion du bagne, il écrit en 1874 aux « Zélés Philanthropes », pour demander qu’on lui adresse son diplôme de Maître. Sans doute voulait-il s’affilier à la loge « Les Philadelphes » à Londres. Refus de l’obédience : « Le frère Jourde a été signalé aux Ateliers et aux maçons de l’obédience comme étant exclu de la maçonnerie française… ». L’obédience avait choisi Thiers contre la Commune.

    -         Au XX° siècle, la franc-maçonnerie était composée de membres de la classe bourgeoise, ainsi que de la petite bourgeoisie. S’il y a effectivement un peu plus de 500 francs-maçons victime du nazisme, la proportion est minime par rapport à l’effectif total de la franc-maçonnerie (plus de 50 000 membres) : cela représente 0,01 % du total, et encore certains victimes sont mortes parce que également juives. Pendant la période de 1940 à 1945, de nombreux francs-maçons se sont mis en retrait. Et on oublie trop souvent les francs-maçons qui ont collaboré avec le régime de Vichy, et avec les occupants allemands.

    Arthur Groussier (1863-1957) : Ingénieur des arts et métiers. Secrétaire de la Fédération nationale des ouvriers métallurgistes (1890). Député de Paris (1893-1902) et (1906-1924). Rapporteur du projet de loi sur la codification des lois ouvrières. Vice-président de la Chambre (1917). . Syndicaliste. Franc-maçon. Initié le 25 mai 1885 à la loge « L’Emancipation », orient de paris. Compagnon le 22 février 1896. Maître le 4 novembre 1896. Il s’affilie, en 1898, à la Loge « Bienfaisance et Progrès », à Paris. Il en devient le vénérable et la préside presque sans interruption jusqu’en 1922. Elu au Conseil de l’Ordre du Grand Orient en 1907. Chapitre et Conseil philosophique « L’Avenir ». 33° (1925). Admis au Grand Collège des Rites (1926). Grand Maître d’honneur ad vitam (1945). Grand Commandeur du Collège des Rites (1949,1951). Président du Conseil de l’Ordre en 1925, 1926, 1927-1930, 1931-1934, 1936-1939 et 1944-1945. . Auteur d’un Mémoire sur l’histoire de la franc-maçonnerie.

    Le Grand Orient n'est pas vraiment un phare de la résistance à l'oppression.

    Voici la lettre d'Arthur Groussier, président du Conseil de l'Ordre, au maréchal Pétain, envoyée le  7 août 1940.

    « A M. le Maréchal Pétain, chef de l'Etat français

    Monsieur le Maréchal,

    Devant les malheurs de la patrie, tous les Français doivent consentir les plus grands sacrifices ; mais en est-il de plus douloureux que celui de détruire l'œuvre à laquelle on a donné le meilleur de sa pensée et de son cœur ? Si pénible que cela nous soit, nous croyons accomplir notre devoir présent en nous soumettant à la décision du gouvernement français concernant la Franc-maçonnerie du Grand Orient de France, tout en vous présentant, en raison des mensonges répandus sur cet Ordre philosophique, une déclaration aussi solennelle que respectueuse.

     Dans l'impossibilité absolue de réunir l'Assemblée ou le Conseil qui détiennent les pouvoirs statutaires en cette matière, mais nous appuyant sur la confiance qui nous a maintes fois été accordée et prenant l'entière responsabilité de notre charge, nous déclarons que le Grand Orient de France cesse son fonctionnement et que toutes les Loges qui en relèvent doivent immédiatement renoncer à poursuivre leurs travaux, si elles ne l'ont déjà fait.

     Sans doute, comme toutes les institutions humaines, la Franc-maçonnerie française a eu ses faiblesses, mais durant ses deux siècles d'existence, elle compte à son actif de belles pages d'histoire depuis les encyclopédistes jusqu'au maréchal Joffre, vainqueur de la Marne. Elle a brillé par sa grandeur morale, elle ne peut rougir ni de son idéal ni de ses principes. Elle succombe victime d'erreurs à son endroit et de mensonges, car dans son essence elle a le respect de la pensée libre, des convictions et des croyances sincères. Elle a toujours honoré le travail. Son but suprême est l'amélioration morale et matérielle des hommes dont elle voudrait poursuivre l'union par la fraternité. Elle a conscience, dans les événements douloureux que la France vient de traverser, de n'avoir failli ni à sa tradition, ni au devoir national. A de nombreuses reprises, elle a fait appel aux bons offices du président Roosevelt dans le but de maintenir la paix entre les peuples et c'est le cœur saignant qu'elle a vu se déchaîner l'effroyable conflit.

    Combien d'hommes politiques et autres a-t-on prétendu être Francs-maçons qui ne l'ont jamais été. Et comme l'on se trompe facilement en affirmant que le Grand Orient de France, dans les vingt dernières années, a été le maître du pouvoir ou son serviteur.

     Il n'a jamais non plus subi une direction étrangère, notamment celle de la Grande Loge d'Angleterre avec laquelle il n'a aucun rapport, ni officiel ni officieux depuis 1877. En sens contraire, il n'a jamais cherché à influencer aucune puissance maçonnique d'autre pays, qui ont toujours eu le haut souci de leur indépendance nationale.

     Si, actuellement, nous ne pouvons donner personnellement la preuve de nos affirmations, puisque nos archives ont été saisies au siège et à nos domiciles par les autorités d'occupation, il doit exister en France non occupée une documentation qui peut sans conteste en démontrer la véracité.

     On insinue que nous sommes aux ordres de la finance internationale. Les signataires de cette lettre qui figurent parmi les plus hauts dignitaires de l'Ordre maçonnique sont restés de situation modeste ; la simplicité et la dignité de leur vie, faciles à contrôler, leur permettent de dédaigner une si déshonorable imputation.

     La Banque de France est le seul établissement bancaire, avec les chèques postaux, où le Grand Orient de France possède un compte courant. Des titres, au reste bien modestes, sont des titres français : rentes sur l'Etat et Bons de la Défense nationale.

     Enfin, le principal grief qui est fait, c'est d'être une société secrète, ce qui est encore inexact au sens légal du mot. Le 3 janvier 1913, le Grand Orient de France devenait une association déclarée, ayant personnalité civile en déposant ses statuts et en renouvelant tous les ans, à la préfecture, le dépôt des noms de ses trente-trois administrateurs. Il suffit du reste de consulter l'annuaire universel Didot-Bottin-Tome Paris pour trouver aux "Professions" à la rubrique "Franc-maçonnerie" toutes les indications du Grand Orient de France avec les noms et professions des membres du Bureau.

     Le Grand Orient de France comptait parmi les forces spirituelles qui composaient notre nation. Sa fermeture suffira t'elle à apaiser certaines haines ? Puisse-t-elle au moins aider au rapprochement de tous les Français qui, avec des tempéraments différents, ont l'intention de travailler loyalement au redressement moral et à la prospérité de la France.

    Nous vous prions, Monsieur le Maréchal, de vouloir bien agréer l'assurance de notre profond respect... »

    Lors du Convent du Grand Orient de 1945, Arthur Groussier revendique pleinement la paternité du texte. Il a tout fait pour qu'on ne poursuive pas les Francs-maçons. Il remarque que, pendant toute la durée de la guerre, aucun Franc-maçon ne lui a adressé de reproche pour cette lettre. Les frères moralistes ne sont pas non plus des modèles de la résistance à l'oppression.

    Il rajoute : "Mon sentiment était que pesait sur moi la responsabilité du sort des Maçons. Il ne fallait pas qu'un acte de moi pût servir à faire traiter les Maçons, puisqu'on en avait la liste, comme on a traité les Juifs. Les Maçons qui ont été poursuivis et maltraités l'ont été comme résistants, et non pas comme Maçons."

     

    Ainsi il est utile de considérer les trois étapes ou « nœuds » dans l’histoire de la Franc maçonnerie :

    1. Révolution française
    2. Commune de Paris de 1871
    3. Résistance de 1940 à 1945.

     

    La mythologie maçonnique est loin de la réalité. 

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