Mais la base minimale de l'union est la suivante :

• Analyse des classes de la société française, tant au niveau global, qu'au niveau local. Pour ce faire, l'outil est l'idéologie du marxisme-léninisme.

• Comme le disait Lénine, il n'y a pas de pratique révolutionnaire sans théorie révolutionnaire.

• Défendre l'autonomie et refuser de se mettre à la remorque de toute initiative bourgeoise ou petite-bourgeoise. Défendre la démocratie populaire et avoir un esprit de disciple. Accepter la direction des éléments avancés de la classe ouvrière.

Nous sommes dans une phase où la classe bourgeoise est à l'offensive, et il est donc nécessaire de lui opposer l'union à la base la plus large possible, dans l'actions, comprenant les trotskystes, les maoïstes, les anciens membres du P « C » F et toutes personnes de bonne volonté, y compris les francs-maçons authentiques. Le grand Jean Paul Marat, auteur des « Chaînes de l’esclavage » et bien d'autres révolutionnaires de 1789 n'étaient-ils pas francs-maçons ? 

Bilan Élections municipales 2020 Metz Commune Libre.(Partie 7)

Mais la base minimale de l'union est la suivante :

• Analyse des classes de la société française, tant au niveau global, qu'au niveau local. Pour ce faire, l'outil est l'idéologie du marxisme-léninisme.

• Comme le disait Lénine, il n'y a pas de pratique révolutionnaire sans théorie révolutionnaire.

• Défendre l'autonomie et refuser de se mettre à la remorque de toute initiative bourgeoise ou petite-bourgeoise. Défendre la démocratie populaire et avoir un esprit de disciple. Accepter la direction des éléments avancés de la classe ouvrière.

Nous sommes dans une phase où la classe bourgeoise est à l'offensive, et il est donc nécessaire de lui opposer l'union à la base la plus large possible, dans l'actions, comprenant les trotskystes, les maoïstes, les anciens membres du P « C » F et toutes personnes de bonne volonté, y compris les francs-maçons authentiques. Le grand Jean Paul Marat, auteur des « Chaînes de l’esclavage » et bien d'autres révolutionnaires de 1789 n'étaient-ils pas francs-maçons ? Les francs-maçons authentiques n'ont-ils pas pris part aux divers mouvements d'avant-garde, dont la Commune de Paris de 1871, ou la Résistance en 1940-1945 ? Ceci sans sectarisme et sans exclusive, qui serait contre-productif, et consisterait à s'enfermer dans une petite secte, comme c'est le cas de Lutte Ouvrière et sans avoir peur d'opposer la résistance des classes populaires à la violence réactionnaire de la classe bourgeoise.

Jean Bernard RITT

Janvier 2021.

ANNEXE 1 : Demande de bilan, juillet 2020 :

Bonjour à tous,

Nous avons suffisamment de recul pour faire un bilan de la liste Metz Commune Libre, de son apparition à sa disparition. Étant entré en contact en janvier 2020, avec des membres de la liste, je pensais sérieusement qu'elle allait proposer aux élections municipales un programme à la fois d'urgence sociale et d'urgence écologique, ainsi que démocratique, en montrant l'exemple dans son propre fonctionnement. Vue sa composition (un élu de la ville de Metz, des militants chevronnés, dont certains déjà plusieurs fois candidats à diverses élections,...), elle en était capable. Au lieu de cela, j'ai rencontré une liste confinée depuis sa création, bien avant le confinement officiel de mars 2020. D'abord un programme flou (donc un loup?), puis un fonctionnement manipulatoire. Tout cela est justifié : pas le temps, pas d'argent, pas de militants,... Puis ensuite le confinement,... enfin, les « yeux dans les yeux ». Pour finir dans un silence de morts... Cela n'est ni honnête ni sérieux. Bien avant le confinement, d'autres et moi-même, avons posé des questions, sans jamais avoir de réponses : sauf des sarcasmes (voir Laurent, par exemple) , comme Didier : « Quoi ? Mais c'est du terrorisme intellectuel, toutes ces questions... et puis je n'ai pas cette haute connaissance politique... ». Encore une façon de dénigrer pour obtenir le silence dans les rangs et l’alignement sur la position dominante. Tous ces moyens dilatoires permettent de tourner en dérision, pour ne jamais répondre sur le fond. Par contre, il y a deux ou trois cadors de la liste, pour qui tout est permis. Je rappelle que la démocratie, c'est « un homme (ou une femme)/ une voix ». De plus, MCL ne devait-elle pas faire de la politique autrement et laisser la parole (« yeux dans les yeux » ou internet) libre ? Si crise (pandémie ou autre), doit-on lever le pied et arrêter de faire de la politique ? Un seul exemple, parmi bien d'autres (mais MCL refuse de faire ce bilan auquel ont droit ceux qui se sont engagés, adhérents ou sympathisants) : J'ai posé la question : pourquoi le numéro trois de la liste fait-il un recours juridique contre Xavier Bouvet, mais pas contre François Grosdidier (qui traîne trente années de casseroles) ? Pourquoi en-dehors de toute discussion des membres de la liste, comme si elle n'était pas engagée dans ce choix fondamental ? Au lieu de cela un silence de morts. Il y a donc bien deux ou trois cadors, qui ont tous les droits, et les autres qui doivent s'aligner. Passez, il n'y a rien à voir. En plus qui ne dit mot consent : donc, de fait, plutôt Grosdider que Bouvet. Pourquoi ne pas en discuter, argument contre argument ? Y avait-il des comptes personnels à régler avec Dominique Gros et la fausse liste de gauche ? Grosdidier avait-il un programme métropolitain sur les Universités permettant plus de promotions ? Ne fallait-il pas condamner notre ennemi principal, le fascisme, et exploiter la fissure entre Grosdidier et Bouvet ? Au moins en discuter ? Toujours silence radio, et cela avant confinement officiel, comme après, (« yeux dans les yeux » ou par internet). Pourquoi un représentant de la liste n'a-t-il pas participé au débat sur l'Université (8 listes représentées sur 10) ? Quand y aura-t-il enfin des réponses sur le fond, au lieu d'afficher un silence méprisant ou des sarcasmes ?

Bien à vous,

Jean Bernard.