• Il n’est pas dit que les caciques du parti socialiste l’entendent de cette oreille et n’est pas envie, face à une situation délétère (effondrement de l’électorat de gauche et essor du parti frontiste), de plus en plus visible, de siffler la fin de la partie et de changer de logiciel, en mettant en place un/une représentant(e) plus « moderne », capable de redorer le blason « socialiste » à Metz. Pourquoi pas Aurélie Filippetti ? Les prochaines échéances électorales de 2015 seront sans doute le bon indicateur, pour savoir si Dominique Gros est encore « présentable".

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  • Dominique Grauche écrit dans « Le Chardon » : « Sport d’élite et sport de masse, sports de riches et sports de pauvres : Le conseil municipal est le seul lieu où, si l’on respecte un peu l’esprit démocratique, à défaut de véritablement associer les habitants à la gestion municipale, au moins les élus pourraient-ils prendre le temps de rendre compte de l’exécution de leur mandat. Il n’en est rien. Par exemple le point 2 relatif au versement d’une subvention à l’association Football Club de Metz est une démonstration de l’enfumage général, par Dominique Grausch, des électeurs, bien sûrs, mais aussi de son opposition et même de sa majorité. C’est l’un des 14 points adoptés à l’unanimité. Mais le vote aurait-il été le même, si le point avait été présenté en toute transparence et dans sa réalité vraie ? On peut en douter !"

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  • Nous allons donc imaginer ce que Dominique Grauche, militant socialiste cherchant à obtenir les voix des travailleurs, pourrait écrire à propos de Dominique Grausch, maire de Metz, dans le journal « Le Chardon ». En somme, Dominique Grauche juge Dominique Grausch !

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  • Paul Jacques Marius Rives (1895-1967) : Professeur de philosophie. Directeur politique de Germinal. Ancien député socialiste. Député de l’Allier (1932-1942). Franc-maçon. Membre du Grand Orient de France. Membre de la loge « Les Amitiés Internationales ». Un de ses plus éminents collaborateurs se nomme Robert Jospin, père de Lionel Jospin. Il fut un proche de la LICA. Il a voté en faveur de la remise des pleins pouvoirs au maréchal Pétain. Il s’engage fermement dans la voie de la collaboration, participant à plusieurs organes de presse collaborationnistes et rejoignant le Rassemblement national populaire, tout en continuant de se revendiquer du socialisme. Il codirige après 1940 le journal L’Effort, de Lyon, (1941-1944) avec Charles Spinasse. Membre du RNP, il insiste, en 1942, sur la nécessité d’une victoire de l’Allemagne. Il est exclu de la SFIO en 1945. Il participe à la création du parti socialiste démocratique, structure regroupant les socialistes SFIO épurés.

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  • Jean Marie Rivière, dit Jean Marquès-Rivière (1903-2000) : Ecrivain et journaliste. D’abord sollicité par la théosophie et la franc-maçonnerie, il s’intéresse par la suite au traditionalisme de René Guénon. Auteur de : L’Organisation secrète de la Franc-Maçonnerie, Comment la Franc-Maçonnerie fait une révolution, Les Grands secrets de la Franc-maçonnerie, La Trahison spirituelle de la Franc-Maçonnerie (ce dernier ouvrage est un réquisitoire contre la franc-maçonnerie), et Histoire de la Franc-Maçonnerie française, Les Rituels secrets de la Franc-Maçonnerie, etc. Franc-maçon. Initié à la Grande Loge. Démissionne en 1931 et trahit la franc-maçonnerie en collaborant sous le pseudonyme de Verax à La France catholique. Sous l’Occupation il adopte une politique de collaboration avec les nazis et contribue à la propagande par la publication de pamphlets violemment antisémites et antimaçonniques. Auteur de brochures anti-maçonniques : Les Documents Nouveaux, Les Documents maçonniques, dont il fut co-rédacteur en chef avec Robert Vallery-Radot de 1941 à 1944. Il était le scénariste du film de Jean Mamy, Forces occultes (1943). Directeur de l’un des départements du Service des sociétés secrètes fonctionnant au sein du Ministère de la Justice. Vit à l’étranger après la Libération. On n’est jamais trahi que par les siens !

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